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#1 Re: Jour de match » [Europa League, Phase de poules, 3e journée] Rennes - Celtic 1-1 » 20-10-2011 22:16:21

Bah moi je m'en fous! Je me marre, quand on parle de respect j'en connais en France et en Écosse qui devrait y prendre de la graine ( hein platoche et les dirigeants du celtic wink

Ma fois nous au moins on gagne sur le terrain tongue

Ah oui vous avez quand même marqué un but d'anthologie de quoi faire rougir iniesta...

Allez sans rancune! Bonne chance aux équipes à deux points big_smile

Celtic et Renne en finale!!! Allez, faites nous rêver!!!

#2 Re: Jour de match » [Europa League, Phase de poules, 3e journée] Rennes - Celtic 1-1 » 20-10-2011 21:09:00

Hahaha je me marre autant je rêvais que le celtic se ramasse autant ça me fait tordre de rire que Rennes n'arrive pas à gagner contre le tout petit Celtic, qui je le rappelle c'est fait fesser 3-1 contre Sion!

Merci les gars de me faire autant rire et pour ces moments de bonheur...

#5 Re: Football généraliste » Axpo Super League / Football Suisse en général » 27-08-2011 01:30:10

Voilà un article qui pourra ( peut être ) vous faire comprendre le pourquoi du comment entre FC Sion VS FIFA/UEFA


Au début, une histoire d'amour

Tout part d'une hélice qui vrombit, premier souffle d'une bataille juridique pas piquée des hannetons. En ce 14 février 2008, jour où calendriers et fleuristes célèbrent l'amour, Christian Constantin a besoin d'acheter un gardien de but, et le temps presse: le marché des transferts ferme le 15 à minuit. Le président du FC Sion enfourche donc son jet et se fend d'un aller-retour au Caire afin d'y dénicher Essam El-Hadary. Comme une hélice qui vrombit. C'est l'effet papillon. Trois ans et demi plus tard, l'affaire continue à faire des vagues, et des grosses, qui mettent à nu les multiples failles des plus hautes instances nationales et internationales du football.

Au Caire pour engager qui ça? Essam El-Hadary, un objet sacré, alias le «grand barrage», pilier de la sélection nationale et d'Al-Ahly, club que 60% des Egyptiens portent dans leur cœur. Car il s'agit bien, à l'origine, d'une histoire d'amour. L'ange gardien a tapé dans l'œil de Christian Constantin, lui-même ancien portier. Sur le joyau, on peut lire: «Ne pas toucher». Il s'en empare. Une journée chrono pour convaincre la vedette et s'entendre avec ses dirigeants, selon la version des faits que donne l'architecte. Détail fâcheux: il rentre à Martigny sans document signé par les trois parties, or, El-Hadary est sous contrat avec Al-Ahly jusqu'en 2010.

L'amour ne devrait pas avoir besoin de papier mais là, oui. Selon Christian Constantin, l'affaire était dans le sac, il ne restait plus qu'à faire le joint entre 350 000 et 450 000 dollars. Et puis Le Caire s'est agité, hurlant au traître. «Les dirigeants d'Al-Ahly, exposés à la colère populaire pour avoir laissé partir le monument, sont revenus sur les engagements pris avec moi pour sauver la face», analyse Constantin. Tandis que le patron sédunois demande et obtient la qualification provisoire d'El-Hadary auprès de la FIFA, ladite Fédération internationale de football reçoit une plainte du club cairote pour rupture de contrat illégale. Nous sommes en avril, deux mois après le coup de foudre, et c'est le début des emmerdes. Pendant ce temps-là à Martigny, la Fondation Pierre Gianadda déroule les fastes de sa dernière exposition: «Offrandes aux dieux d'Egypte».

Un effet papillon qui vole bas

L'affaire va voler bien bas, dès les premiers coups d'aile. En juin 2009, au moment d'assigner sa sanction (deux périodes d'inactivité sur le marché des transferts et une amende de 900 000 euros en guise de réparation envers Al-Ahly), la FIFA s'adresse à l'Association du FC Sion et non pas à Olympique des Alpes SA, l'entité qui chapeaute le secteur professionnel du club. Tel un Farinet des temps modernes, le brushing et la Ferrari en plus, Christian Constantin joue sur les mots et s'engouffre dans la brèche.

La plus haute instance du football a commis d'entrée de match une erreur de débutant. Et le rebelle des Alpes s'appuie sur une solide expérience juridico-sportive – Sion a entamé son championnat six semaines avant Noël en 2003, au terme d'un âpre bras de fer; son président, d'abord suspendu pour 30 mois, s'est ensuite tiré d'une affaire qui avait assez clairement établi que son pied avait terminé sa course dans les testicules d'un arbitre en décembre 2004 à Kriens). «Tintin» est déterminé à lutter jusqu'au bout, avec ses méthodes et ses avocats. «De toute manière, la seule personne avec qui je dois absolument être en adéquation, c'est moi.» En écho, on tremble dans les couloirs de la SFL: «Nous avons affaire à des gens très habiles, toujours à la limite.» Christian Constantin ne fait en somme «rien d'autre» qu'exploiter les maladresses de l'adversaire et les subtilités du terrain vague qui sert de pont entre la loi sportive et la justice civile. Mais il le fait très bien.

Un embrouillamini géant

De recours en contre-recours, d'effets suspensifs en mesures superprovisionnelles, du Tribunal arbitral du sport (TAS) au Tribunal fédéral en passant par le juge civil de Martigny et les diverses commissions de la FIFA ou de la SFL, les doux parfums du Caire ont depuis longtemps été douchés par un cocktail procédurier peu digeste au Béotien. Le vrombissement d'une hélice a viré à la cacophonie kafkaïenne. Un ping-pong infernal qui a vu le TAS (en juin 2010), puis le TF (janvier 2011) débouter le FC Sion – enfin, l'Olympique des Alpes. Christian Constantin et ses conseillers, sûrs de leur bon droit, n'en démordent pas. C'est à ce moment-là que la Swiss Football League, qui a pour délicate mission de faire respecter la sanction de la FIFA, se retrouve sur le devant de la scène. «Nous sommes pris entre le marteau et l'enclume», pestait récemment encore son senior manager Edmond Isoz.

Mi-juillet dernier, la SFL est contrainte de confirmer l'interdiction de transferts pour le club valaisan. Corollaire: les six recrues sédunoises (Mario Mutsch, Stefan Glarner, José Gonçalves, Gabri, Pascal Feindouno et Billy Ketkeophomphone) sont sifflées hors-jeu. Privés du droit d'exercer leur métier, ils saisissent alors le juge civil de Martigny, qui leur donne raison et prononce des mesures superprovisionnelles en leur faveur. Violation du règlement, s'indigne Thomas Grimm, président de la SFL, qui rappelle qu'une partie n'a pas le droit de faire appel à la justice civile avant d'avoir épuisé toutes les voies proposées par les instances sportives. Le 6 août, quelques minutes avant le début d'une rencontre à Bâle que Sion compte aborder avec ses nouveaux mercenaires, l'homme décide de son propre chef de suspendre les joueurs pour un match. M. Grimm, qui pose des soucis d'indépendance puisqu'il fait par ailleurs office de conseiller juridique auprès de la FIFA, a depuis été dessaisi du dossier. Il ne sera pas réélu à la tête de la SFL cet automne. Sa dernière action, très déplacée, aura été celle de trop. «On ne devait surtout pas se mettre à leur niveau, et c'est exactement ce qu'on a fait», déplore Edmond Isoz.

Lex Sportiv a versus Tribunal fédéral

Le sport prend parfois des airs enfantins. Il vous dit que tout va bien se passer et un quart d'heure plus tard, il vous appelle pour savoir comment on éteint le gaz. Le monde sportif tient mordicus à son autonomie quand ça l'arrange, c'est-à-dire sur les plans financier et légal; mais les impérities de ses instances l'empêchent souvent de s'autogérer correctement. «Cette affaire, à laquelle je suis heureux de ne pas participer, est très intéressante parce qu'elle soulève la question de fond, qui est le problème de l'autonomie du sport et de ses instances», remarque François Carrard, avocat du TAS et du Comité international olympique, dont il fut aussi le directeur général. «Il y a une Lex Sportiva, comme il existe une Lex Mercatoria pour les affaires commerciales. C'est une forme de droit qui, sans être au-dessus des lois, se dégage naturellement, en fonction des caractéristiques du domaine. Sans être parfaite, et même s'il y a des exceptions, je pense que la justice arbitrale sportive est plus adéquate que la justice ordinaire pour ce genre de cas.»

Le TAS se sent-il dribblé dans ses prérogatives? «Ce n'est pas une compétition entre la justice civile et nous», répond Matthieu Reeb, secrétaire général. «Le TAS constitue la voie habituelle et les joueurs sédunois en ont choisi une autre, c'est un peu curieux. Nous prenons tout ça avec philosophie, mais le fait d'avoir deux instances sur le même cas ne simplifie pas les choses.» Et les insinuations de Christian Constantin, qui ne manque pas de souligner les liens étroits entre TAS et FIFA, qu'en pense M. Reeb? «Beaucoup de choses erronées ont été publiées à ce sujet et je me sens à l'aise pour parler de notre indépendance. C'est vrai que le football représente une grande partie de nos affaires, mais la FIFA est rarement partie. J'en discuterai avec plaisir avec M. Constantin si j'ai le plaisir de le rencontrer. Mais je ne l'ai jamais vu, je connais surtout ses avocats.»

Les mouches o nt changé d'âne

Et maintenant, que peut-il se passer? La réunion de vendredi 17h30, en présence des gens de la SFL et de huit des dix clubs de l'élite – Xamax et Servette absents –, n'a pas fait avancer le schmilblick. Le communiqué de la SFL, timoré, rappelle que tout est entre les mains du TAS, que la plainte initiale émanait de la FIFA, qu'elle ne fait que passer par là et qu'elle est «confrontée à une situation difficile». «C'était une séance d'information, rien de plus», commente vendredi soir Alexandre Zen-Ruffinen, avocat du FC Sion. «Je n'aime pas parler d'optimisme, parce que ce serait présomptueux, mais nous sommes confiants, parce que sûrs de notre bon droit.»

Le fond du litige aujourd'hui, est le suivant. Le club valaisan, qui n'a effectué aucun transfert durant le mercato d'hiver 2011, et qui a été suspendu un total de 63 jours à cheval sur les étés 2009 et 2010, estime avoir purgé sa peine. La FIFA, elle, exige une seconde période complète d'inactivité. Sion s'appuie sur la «jurisprudence Mexès», référence à un cas similaire qui avait donné raison à l'AS Rome dans le cadre du transfert du Français de l'AJ Auxerre. «Plus qu'une jurisprudence, c'est un cas unique pour l'instant», observe Matthieu Reeb. Le secrétaire général du TAS aimerait que les choses avancent, lui aussi. «Il faudrait déjà que les gens aient envie de venir chez nous…» La SFL et la FIFA, qui s'annonce à nouveau comme partie prenante, sont pressées. Le FC Sion, qui a longtemps eu intérêt à accélérer le rythme dans cette affaire, calme désormais le jeu. En rugby, on dirait que les mouches ont changé d'âne. «Depuis que le juge civil de Martigny a qualifié nos joueurs, la donne a changé, il n'y a plus d'urgence», admet Me Zen-Ruffinen.

Comment trouver une issue? «Mon sentiment très personnel, car je souligne que je ne suis pas partie dans cette affaire, c'est que la raison et l'intelligence vont finir par l'emporter», conclut François Carrard. «Après avoir sorti les canons, ils vont trouver une solution conforme à l'esprit du sport. Enfin je l'espère… Aller jusqu'à exclure les clubs suisses et l'équipe nationale des compétitions européennes serait totalement absurde. Les choses vont se calmer, personne n'a d'intérêt à ce que cela dure.»

Christian Constantin peut-être. Le président du FC Sion, s'il arrive à geler le match jusqu'à Noël, pourra ensuite la jouer beau perdant en ayant tout gagné, et purger la deuxième partie de sa sanction lors du mercato hivernal – son effectif est au complet. Ça ferait une fin heureuse à cette drôle d'histoire d'amour.

#6 Re: Vie du club » Le SRFC en Europa League » 27-08-2011 01:19:52

Bonjour/soir a vous toutes et tous. Je suis un supporter de Sion et comme énormément d'internautes à l'heure actuelle j'écume les forums de nos peut être futurs adversaires et je m'en réjouis.

L'esprit chafouin a écrit:

Au vu du calendrier des matchs et de celui concernant la décision du maintien ou de l'exclusion du FC Sion (en comptant les recours en appel), on risque de jouer l'aller le 20 octobre contre les Suisses pour jouer le retour le 3 novembre au Celtic Park yikes

Depuis le rachat de Sion par le Waldemar Kita du riche, à savoir Chagaev, ce club m'intrigue beaucoup. Entre le "I'll kill you all" de Chagaev à ses joueurs, le limogeage de Sonny Anderson et de son staff dès le début de saison et la suspension des recrues, il se passe des trucs passionnants, là bas.
Dernier gag en date : l'arrivée de Laurent Roussey à la tête de l'équipe.

Enfin, non, en fait il y a un gag encore plus récent : avec Laurent Roussey, l'équipe a des résultats... yikes

Je me permets de te signaler que le Tchétchène Bulat Chagaev n'a rien à voir avec le FC Sion. C'est le président du club de Neuchatel Xamax. La phrase "I kill you all" a été dite lors de la finale de coupe suisse 2011 ( Xamax - Sion ) à la mi-temps du match quand les Neuchatelois ont pris 2 buts dans les dents lors des 6 premières minutes... Score final 0 - 2.

Je ne pensais pas poster sur votre forum mais là c'était vraiment trop gros! Du reste j'espère que nous pourrons jouer dans se groupe en tant que out sider.

Blague à part: n'oubliez pas que l'un de vos meilleurs buteurs ( si ce n'est le meilleur, je sais pas ) est de nationalité Suisse...

Bonne chance à vous et bonne continuation.

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