Vous n'êtes pas connecté.
Les supporters de Sheffield Wednesday ont plus de grinta que nous.
Prenons exemple :
La place d'Espagne
Hors ligne
On prend un point d'avance sur notre temps de passage de la saison dernière. Bravo à toutes les équipes
Hors ligne
La stat qui fait mal...
Rennes a mené 257 minutes à l'extérieur cette saison, plus que tout autre équipe. Mais le SRFC n'a remporté aucun de ces matches...
Hors ligne
Heureusement qu'on a la cellule performance la plus développée de Ligue 1, sans elle je me demande dans quel état seraient les joueurs.
"Le problème, ce n'est pas le fait qu'on aille dans le mur ou pas. On va dans le mur ! Le problème, c'est à quelle vitesse on y va, à 50 km/h ou à 5 km/h ?"
Jean-Marc Jancovici, spécialiste du CLIMAT.
Hors ligne
Comme dit Reis Carona, un staff de 850 personnes. C'est plaisant de voir le résultat sur le terrain, bravo à tous
Hors ligne
Je ne sais vraiment où poster cela, mais je suis réellement ému de voir que derrière les xG, les momentums, les schémas tactiques, les M€ de transferts et de salaires, ce sont des humains. Quand je vois les regards abattus en fin de match, l'émotion de Pouille, la détresse de Beye, moi cela me touche. Pensez que je suis naïf ou trop sensible, mais si j'aime le football c'est pour l'émotion de cela procure et cette émotion (postitive ou négative) je la ressens par empathie avec la joie, la tristesse, la colère, la honte, la détresse que montre "mes" joueurs, "mon" entraîneur, "mon" club.
On ne connaît évidemment pas tout l'envers du décor et du décorum qui se joue en coulisses, mais ce club, loin d'être parfait me semble tellement humain, dans ces forces comme dans ces fragilités. Alors avec ceux qui le veulent, il va se relever, on doit continuer d'y croire, de se réjouir quand cela va bien et de le supporter quand cela va mal.
Et pour tous les autres, il y a le dernier football manager qui sort le 4 Novembre.
Hors ligne
Suffit de regarder Monaco pour comprendre ce qu'il fallait faire.
Hors ligne
Je ne sais vraiment où poster cela, mais je suis réellement ému de voir que derrière les xG, les momentums, les schémas tactiques, les M€ de transferts et de salaires, ce sont des humains. Quand je vois les regards abattus en fin de match, l'émotion de Pouille, la détresse de Beye, moi cela me touche. Pensez que je suis naïf ou trop sensible, mais si j'aime le football c'est pour l'émotion de cela procure et cette émotion (postitive ou négative) je la ressens par empathie avec la joie, la tristesse, la colère, la honte, la détresse que montre "mes" joueurs, "mon" entraîneur, "mon" club.
On ne connaît évidemment pas tout l'envers du décor et du décorum qui se joue en coulisses, mais ce club, loin d'être parfait me semble tellement humain, dans ces forces comme dans ces fragilités. Alors avec ceux qui le veulent, il va se relever, on doit continuer d'y croire, de se réjouir quand cela va bien et de le supporter quand cela va mal.
Et pour tous les autres, il y a le dernier football manager qui sort le 4 Novembre.
J'ai plutôt l'impression que c'est le club de Rennes qui joue à football manager. Ce club aura tenté toutes les politiques sportives possibles et imaginables en un temps record pour le même constat d'échec. Et avec pourtant les moyens financiers de ses ambitions.
Dernière édition de: ritoninho (Aujourd'hui 01:16:53)
"Le problème, ce n'est pas le fait qu'on aille dans le mur ou pas. On va dans le mur ! Le problème, c'est à quelle vitesse on y va, à 50 km/h ou à 5 km/h ?"
Jean-Marc Jancovici, spécialiste du CLIMAT.
Hors ligne
J'ai plutôt l'impression que c'est le club de Rennes qui joue à football manager. Ce club aura tenté toutes les politiques sportives possibles et imaginables en un temps record pour le même constat d'échec. Et avec pourtant les moyens financiers de ses ambitions.
Non ! on n'a pas encore essayé la stabilité... Faudrait peut-être y penser.
Hors ligne
Avec cet effectif un autre coach fera peut etre mieux en terme de contenu.
fier du peuple rouge et noir.
Hors ligne
Je lis un bouquin de développement personnel qui me pousse à retravailler les émotions négatives pour essayer de les rendre positives, partant du principe que nos émotions ne sont pas le fruit de la réalité mais de notre perception de la réalité.
Du coup, j'ai pris l'exemple de la situation du Stade qui me contrit fortement et j'ai constaté que nous avions fait 6 nuls depuis le début de saison. Et qu'un nul, c'est toujours mieux qu'une défaite et bien mieux qu'une branlée. Cela veut dire que nous sommes à chaque fois à un minuscule but de la victoire et des trois points.
Et si nous avions converti ces 6 nuls en victoires, nous serions actuellement premier du championnat. Cela veut donc dire qu'il en faudrait finalement assez peu pour faire de cette équipe un prétendant a l'Europe.
Voila, mon exercice est terminé.
Hors ligne
Je ne lis pas de livre... mais ce calcul je me le suis aussi fait. Après je me suis dit que ça c'est pour l'aspect uniquement comptable parce qu'en poussant l'analyse, je me suis qu'on s'ennuyait à regarder nos matchs, qu'on manquait d'ailiers percutants ou de vitesse devant pour varier nos attaques et gagner en dangerosité, que notre défense faisait trop souvent dans son slip quand un ballon arrivait dans ses 20m... et que cette équipe paraît triste, comme je le suis devant mon écran à essayer de ne pas perdre mon amour pour ce club qui part en déliquescence depuis plus de 2 ans.
Enfin bref, tout va bien !
L'Europe en ligne de mire!
Hors ligne
C’est curieux, supporteur depuis être allé voir un Rennes-Sedan, le 23 novembre 1961, je ressens la même lassitude pour la première fois. Pour la première fois, je n’ai pas regardé le match hier soir. Le jeu de cette équipe me débecte : pas d’ailiers de débordement (seule chose qui fasse frémir un stade), pas de dribbleurs, pas de jeu collectif, etc. Bref je commence à être fatigué de ce club qui ne veut pas gagner de titres malgré sa potentielle puissance financière, et à la gouvernance incertaine (le maintien d’un entraîneur-farceur à la tête de l’équipe en étant le signe le plus visible).
À chaque époque, il est des gens qui ne pensent pas comme tout le monde, c’est à dire qui ne pensent pas comme ceux qui ne pensent pas.
-Marguerite Yourcenar -
En ligne
Moi je continu a croire en ce groupe qui a été créé lors du dernier mercato
Il reste de l envie chez les joueurs
Je pense qu il y a de la qualité et du talent dans cet effectif contrairement a l' an dernier avec une 15aine de joueurs sur lesquels on peut s appuyer
Il manque "juste" un projet de jeu et un collectif...
Plus le temps passe et plus je doute que Beye soit la bonne personne pour créer ce collectif... J espère me tromper et je pense qu il lui reste deux matchs pour le prouver avant que la patiente de la direction s arrête
Certains prônent la patiente... Ok mais jusqu' ou et combien de temps ?
Nous avons perdu beaucoup de point en route et qui vont nous coûter cher a la fin dans la course a l Europe... Et vu les investissements réalisés, notamment sur les salaires, si on ne finit pas européen, je suis inquiet pour nos comptes
Bref l impression que les musiciens sont tous bons mais ne savent pas ce qu ils doivent jouer comme musique et que cela donne une cacophonie
En ligne
Il y a ce sentiment que la pièce tombe du mauvais côté à chaque match alors que des ingrédients sont mis en place. Au final il y a un tout, l'entraineur, les joueurs, la tactiques la modification et l'adapatibilité, l'arbitre à chaque fois ca craque. On est presque capable de faire chier tout les clubs pendant 60 minutes, et après le club se crispe. Habib veut jouer la gestion, les joueurs cablent et puis patatras.
A chaque fois un joueur foire son match, certains sont constant dans le foirage d'autres non, typequement un peu comme Blas. Alors lui surnage mais car sa qualité technique aussi est là et n'a pas disparue.
Pèle-mèle, je pense que le club doit clairement dire que les objectifs sont en reflexion tant que il n'y a aucune embeillie. Gouverner c'est anticiper. Oui ça fait chier de ne pas revoir l'Europe mais la prio c'est des résultats favorable mais surtout de voir du jeu plaisant car pour le moment c'est emmerdant. On a entraperçu ça hier par moment mais ceci doit se concrétiser de la 0 à la 90ème minutes.
On peut virer Beye mais pour en tirer qui et quoi. Ils sont tous dans le même bâteau à tous les niveaux. Soit il s'en sortent ensemble, soit ca coule potentiellement direction L2. On aura bien sûr le mercato d'hiver pour ajuster si catastrophe industrielle mais on peut au moins reconnaître à Beye cette envie et se plaisir malgré les vents contraire et la tempête.
Maintenant est-ce que la roue tourne va tourner...
"Je pense à jouer : le terrain est vert partout et prendre du plaisir est le plus important pour moi." Mevlut Erding
47' : Pitroipa ! Il rentre dans la surface et longe la ligne de sortie de but mais se prend les pieds dans le terrain !
Hors ligne
Il y a de la qualité et de la densité dans ce groupe, l' équipe devrait mieux finir la saison qu' elle ne l' a commencé.
Les joueurs n' adhèrent pas à la méthode Beye le changement est inévitable.
fier du peuple rouge et noir.
Hors ligne
Du coup, j'ai pris l'exemple de la situation du Stade qui me contrit fortement et j'ai constaté que nous avions fait 6 nuls depuis le début de saison. Et qu'un nul, c'est toujours mieux qu'une défaite et bien mieux qu'une branlée. Cela veut dire que nous sommes à chaque fois à un minuscule but de la victoire et des trois points..
Le plus gros problème, c'est la manière dont ces nuls sont arrivés : 4 fois après avoir mené dont 3 fois après avoir mené 2-0.
Si on avait fait 6 nuls dont 4 après avoir été menés 2-0, l'ambiance serait peut-être moins morose.
Hors ligne
Les résultats resteraient très insuffisants.
Hors ligne
Le plus gros problème, c'est la manière dont ces nuls sont arrivés : 4 fois après avoir mené dont 3 fois après avoir mené 2-0.
Si on avait fait 6 nuls dont 4 après avoir été menés 2-0, l'ambiance serait peut-être moins morose.
Je suis tout à fait d'accord. Encore une fois, c’était un exercice mental pour trouver du positif dans une situation qui est malheureusement dramatique.
Hors ligne
Je lis un bouquin de développement personnel qui me pousse à retravailler les émotions négatives pour essayer de les rendre positives, partant du principe que nos émotions ne sont pas le fruit de la réalité mais de notre perception de la réalité.
Du coup, j'ai pris l'exemple de la situation du Stade qui me contrit fortement et j'ai constaté que nous avions fait 6 nuls depuis le début de saison. Et qu'un nul, c'est toujours mieux qu'une défaite et bien mieux qu'une branlée. Cela veut dire que nous sommes à chaque fois à un minuscule but de la victoire et des trois points.
Et si nous avions converti ces 6 nuls en victoires, nous serions actuellement premier du championnat. Cela veut donc dire qu'il en faudrait finalement assez peu pour faire de cette équipe un prétendant a l'Europe.
Voila, mon exercice est terminé.
Concernant le changement de perception de la réalité, il est aussi possible de se demander ce que change à ta vie une victoire ou une défaite. Pour les acteurs qui gagnent des sous, on peut voir une causalité. Pour spectateurs qui dépensent pour un divertissement, c'est moins clair.
S'arrêter à l'émotion que suscite le jeu peut faire du bien. Et s'il y a une branlée dans un match, ça signifie aussi que l'équipe dont on n'est pas supporter à produit quelque chose d'intéressant.
Ou simplement être content pour les autres-sois qui supportent ceux qui réussissent.
Veux encourager EDOUARDO CAMAVeNdre, JEREMise bOKU, FAITOUT MAliA$$e, YAgN GBOH€urO la saison prochaine...
Hors ligne
C’est curieux, supporteur depuis être allé voir un Rennes-Sedan, le 23 novembre 1961, je ressens la même lassitude pour la première fois. Pour la première fois, je n’ai pas regardé le match hier soir. Le jeu de cette équipe me débecte : pas d’ailiers de débordement (seule chose qui fasse frémir un stade), pas de dribbleurs, pas de jeu collectif, etc. Bref je commence à être fatigué de ce club qui ne veut pas gagner de titres malgré sa potentielle puissance financière, et à la gouvernance incertaine (le maintien d’un entraîneur-farceur à la tête de l’équipe en étant le signe le plus visible).
Tu n'as jamais été lassé dans les années 70/80 ? Ni lors des saisons galères à jouer uniquement le maintien (96-97, 97-98, 2001-2002, 2002-2003...) ?
Ni après les catastrophes contre Guingamp (2009/2014) et Quévilly (2012), pour ne citer que ça ?
Hors ligne
Concernant le changement de perception de la réalité, il est aussi possible de se demander ce que change à ta vie une victoire ou une défaite. Pour les acteurs qui gagnent des sous, on peut voir une causalité. Pour spectateurs qui dépensent pour un divertissement, c'est moins clair.
S'arrêter à l'émotion que suscite le jeu peut faire du bien. Et s'il y a une branlée dans un match, ça signifie aussi que l'équipe dont on n'est pas supporter à produit quelque chose d'intéressant.Ou simplement être content pour les autres-sois qui supportent ceux qui réussissent.
Je pense qu'on s'est tous dit à un moment de notre vie de supporter qu'il était absurde de se faire des nœuds à l'estomac pour un match de foot sur lequel nous n'avons aucune prise, ni aucune influence.
L'idéal serait de pouvoir vivre l'émotion des victoires sans celle des défaites et ce n'est pas forcément quelque chose d'impossible avec un travail sur soi-même.
Hors ligne
Hein ?
Quelle émotion existe dans la victoire si on s'en fout d'une défaite ? Parfois faut essayer d'aller un minimum au bout de ses ébauches de raisonnement.
Hors ligne
Hein ?
Quelle émotion existe dans la victoire si on s'en fout d'une défaite ? Parfois faut essayer d'aller un minimum au bout de ses ébauches de raisonnement.
Tu penses sincèrement que tu ne peux pas ressentir la joie d'une victoire si tu ne ressens pas la douleur d'une défaite ? Tu as du travail devant toi.
Hors ligne
On a affaire à un phénomène là
Hors ligne
[ Généré en 0.029 secondes, 9 requêtes exécutées - Utilisation de la mémoire: 724.43 KiO (Pic : 765.33 KiO) ]