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Pas de sushis.
La place d'Espagne
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A cause du poisson frais et des normes : 40 kg à jeter par jour. En plus on n'avait ps des masses de client. L'entreprise avait des antennes dans d'autres pays : Chine, Roumanie par exemple.
Hyper bien payé tout en étant en autonomie. J'ai du vor 3 fois nos patrons. J'avais mon week-end plus u jour par semaine.
Quand tu repasses en resto tradi avec les heures de coupures et les heures en sup non payées : Tu pleures....
Je bossais au black dans un resto thaï rue de Penhoet : le patron avec qui j'étais en CM1 me filait que 8 euros de l'heure.... Un pote qui faisait exactement la même chose que moi en face (crêpreie la Rozel) En gros plonge, entrées, desserts on lui payait 15 par heure en mode black. Enfoiré de patron...
Dernière édition de: Harry Badgé (04-04-2024 18:13:03)
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Pour ma part (en usine chez un des plus gros employeurs en France), nos dirigeants veulent nous imposer le 9/10e, c'est à dire un week-end de 3 jours toutes les 2 semaines.
Sachant qu'on est à 38h je crois et qu'on est en 2*8.
Si je me souviens bien, c'est des journées à plus de 8h les semaines où on travaille le matin, et l'après midi du 13h-22h sur 4 jours.
Grosse résistance de notre part (enfin surtout de ceux qui ont une famille), les essais ont conclus à une fatigue supplémentaire (sachant que le travail en quart est déjà bien usant).
"Comment diable un homme peut-il se réjouir d'être réveillé à 6h30 du matin par une alarme, bondir hors de son lit, avaler sans plaisir une tartine, chier, pisser, se brosser les dents et les cheveux, se débattre dans le trafic pour trouver une place, où essentiellement il produit du fric pour quelqu'un d'autre, qui en plus lui demande d'être reconnaissant pour cette opportunité ?"
Bukowski
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Oui, je pense à juste titre que le travail d'une semaine en 4 jours c'est faisable pour des postes de bureaux.
Pour des postes en usine, physiques et éreintants, le plus adapté ce sont les semaines de 4 jours (donc 32h) avec du turn-over salariale.
Dans les faits, je fais déjà des journées de 8h au bureau, donc pousser 3/4 d'heures de plus sachants que je finirai potentiellement le jeudi soir, ça ne me dérange pas.
De toute manière, je suis plus productif quand je gère mes horaires en flux tendu. Quand je dois faire x nombre d'heures imposées, j'ai tendance à procrastiner et faire mon taff sur un temps court.
Je préfère encore être un cochon décadent plutôt qu’un fasciste.
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Il faudrait cesser je crois de considérer que la pénibilité n'est que physique et qu'un emploi de bureau finalement permet de tout accepter.
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Personne ne dit ça.
Il suffit simplement de prendre en compte les données concernant les décès/handicap/TMS prématurés.
Et faire en fonction.
C'est incohérent. On ne prend pas en compte uniquement les chiffres les plus dramatiques pour finir par dire que les semaines en 4 jours sont possibles quand on travaille dans un bureau.
Prenons les chiffres sur l'épuisement professionnel, le stress, les burn out, les maladies liées à la sédentarité, les TMS également, les conditions de travail pointées du doigt par les syndicats également dans le milieu tertiaire etc.
Dernière édition de: Sowann (11-04-2024 21:45:14)
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J'aurais dû préciser "liste non exhaustive"
Mais oui je suis d'accord
Dernière édition de: Yoyoceltik Ier (12-04-2024 11:58:10)
C'est incohérent. On ne prend pas en compte uniquement les chiffres les plus dramatiques pour finir par dire que les semaines en 4 jours sont possibles quand on travaille dans un bureau.
Prenons les chiffres sur l'épuisement professionnel, le stress, les burn out, les maladies liées à la sédentarité, les TMS également, les conditions de travail pointées du doigt par les syndicats également dans le milieu tertiaire etc.
Et n'oublions pas la flemmingite aïgue surtout!! Les hémorroïdes, ça compte à la fois dans les critères stress et fatigue, où ça relève de la faute à pas de chance qu'il faudrait rajouter à ta liste?
Bref, faut écouter tous les pignoufs qui ne veulent pas bosser et on leur donne des aides sociales, j'ai bon?
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Tu cherches à dire quoi, Zouave?
“And I’d just like to say… from the bottom of my heart, I’d like to take this chance to apologize… to ABSOLUTELY NOBODY!”― Conor McGregor
“They all said I couldn’t do it… LOOK AT ME NOW!!! Level it… Pound for pound!! Headshot : DEAD!! That’s it…” ― Leon Edwards
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Je suis un pignouf et fier de l'être: Rien à cirer
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Sowann a écrit:C'est incohérent. On ne prend pas en compte uniquement les chiffres les plus dramatiques pour finir par dire que les semaines en 4 jours sont possibles quand on travaille dans un bureau.
Prenons les chiffres sur l'épuisement professionnel, le stress, les burn out, les maladies liées à la sédentarité, les TMS également, les conditions de travail pointées du doigt par les syndicats également dans le milieu tertiaire etc.Et n'oublions pas la flemmingite aïgue surtout!! Les hémorroïdes, ça compte à la fois dans les critères stress et fatigue, où ça relève de la faute à pas de chance qu'il faudrait rajouter à ta liste?
Bref, faut écouter tous les pignoufs qui ne veulent pas bosser et on leur donne des aides sociales, j'ai bon?
S'il y a bien quelque chose de fainéant dans cette discussion ce sont tes neurones.
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Et n'oublions pas la flemmingite aïgue surtout!! Les hémorroïdes, ça compte à la fois dans les critères stress et fatigue, où ça relève de la faute à pas de chance qu'il faudrait rajouter à ta liste?
Bref, faut écouter tous les pignoufs qui ne veulent pas bosser et on leur donne des aides sociales, j'ai bon?
Post effarant de bêtise et d'ignorance du monde du travail
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Tu cherches à dire quoi, Zouave?
Il veut dire que si t'es pas milliardaire c'est parce que tu ne t'en donnes pas les moyens.
Il a raison Ras-le-bol de tous ces fainéants de smicards qui au lieu de faire de l'argent se lèvent aux aurores pour aller bosser à la chaine, et qui en plus trouvent le moyen de se plaindre.
Mais bon on sera bientôt débarrasser de tous ces tire-aux-flans qui nous pourrissent l'économie grâce à la robotisation et l'IA (AlélouIA). Et encore on les entendre se plaindre parce qu'ils veulent du boulot, et en plus avec un salaire convenable, on est tombé sur la tête.
Semaine de 4 jours, congés (payés hein tant qu'à faire), primes, avantages. L'économie va mal et eux ils veulent avoir une vie convenable, profiter de leurs enfants (ils n'avaient qu'à pas en faire). Quand tu vois le prix qu'ils coutent aux patrons, à cause de ça les entreprises n'engrangent pas assez pour concurrencer les mastodontes américains ou chinois, au moins dans ces pays il n'y a pas de pleureuses, les gens vivent leur misérable vie sans qu'on les entende, et c'est tant mieux !!!!
NB : Je m'excuse pour ce post, mais je sature tellement des discours paternalistes et tellement déconnectés de la réalité.
L'ouverture d'esprit ne se limite pas toujours à une fracture du crâne.
"Plus on est de fous, mieux on évite la camisole." Oxmo Puccino
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Ouais t'es ironique là ?
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Non Il a raison.Un de mes rdv chez un DRH, elle m'avait demandé l'estimation de mon salaire : J'ai failli répondre : Rien je veux faire ce boulot de merde bénévolement
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Ouais t'es ironique là ?
Pardon, je pensais que c'était évident
Oui c'est totalement ironique bien sûr.
L'ouverture d'esprit ne se limite pas toujours à une fracture du crâne.
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Question délicate que le temps de travail.
Tout dépend de l'intérêt que l'on attribue à son travail principalement.
Si c'est purement alimentaire, il est vrai que tout un chacun aurait tendance à le restreindre au maximum afin de consacrer son temps à d'autres priorités (famille, sport, .loisirs...)
Quand le métier est intéressant en lui même et qu'il laisse entrevoir à moyen terme des perspectives d'évolution (responsabilités et rémunérations) il me semblerait qu'il faut se donner à fond et ne pas compter ses heures.
Si je prend mon cas personnel à mes débuts, pendant deux ou trois ans, j'étais payé au SMIC en bossant 60 à 70 heures par semaine parce que je ne me suis pas posé de questions en fait.
Et après j'ai grassement gagné ma vie comme on dit sans compter mes heures non plus et sans baisser mon rythme de travail.
A côté de cela, un copain qui avait postulé au même poste avait refusé ces conditions qu'il trouvait inacceptable.
Il s'est retrouvé flic à Limoges.... (pourquoi pas)
Je n'ai pas pu voir beaucoup mes enfants durant toutes ces nombreuses années mais maintenant je peux redistribuer ce que j'ai gagné et m'offrir à peu près ce que je veux (voyages, cadre de vie et tous les plaisirs que je privilégie) .
C'est un "choix de vie" en fait.
La place d'Espagne
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Je ne crois pas que ce discours colle à la réalité du monde du travail d'aujourd'hui. Peut-être qu'il a collé à une époque, c'est possible (je ne t'offense pas poupoune ).
D'une part ce qui fait le monde du travail aujourd'hui c'est la rareté de l'emploi en général, et de l'emploi de qualité en particulier (il faudrait mettre des critères dessus). Il y a concurrence pour obtenir un emploi, qui se joue avec les diplômes, la situation géographique, la mobilité, etc. En gros : diplômé du supérieur, vivant en ville, sans enfant : énormes avantages concurrentiels. Ce n'est donc pas véritablement un choix de vie, puisque tout dépend du milieu social de ta naissance, c'est suffisamment documenté en sociologie pour savoir qu'il y a une reproduction sociale assez stable, ce qui n'empêche pas le mythe de "l'ascenseur social" de fonctionner ici ou là sur des cas individuels.
Ensuite, la rémunération ne dépend pas des heures travaillées ou de la passion que tu y mets, ou des soi-disant "sacrifices" (qui n'en sont pas) consentis : aides-soignantes, infirmières, ouvriers de chantiers notamment, on peut parler des professeurs, des policiers aussi. Rémunération qui n'est pas forcément (voire jamais) liée à l'utilité sociale du métier. L'exemple extrême étant bien entendu le footballeur pro.
Le marché du travail est pyramidal : beaucoup d'emplois mal rémunérés, difficiles, pour lesquels tu peux avoir des soucis de santé précoce, et bien peu d'emplois très bien rémunérés : 20% au-dessus de 3 000€ nets mensuels dont 10% au-delà de 4 000€.
Donc, non, il n'y a pas de choix de vie : ou plutôt comme souvent le choix est fait parmi des options que tu n'as pas choisies.
Dernière édition de: Lost in Roazhon (16-04-2024 10:16:45)
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Et tout ça c'est sans tenir compte de l'impact de nos choix de vies sur l'environnement, terme horrible pour désigner un équilibre à la fois magnifique et fragile et sur lequel on s'arroge le droit d'intervenir sans avoir demandé la permission à qui que se soit.
S'éclater dans un taf c'est bien mais encore faut-il que ça ne nuise à personne.
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Je ne crois pas que ce discours colle à la réalité du monde du travail d'aujourd'hui. Peut-être qu'il a collé à une époque, c'est possible (je ne t'offense pas poupoune ).
D'une part ce qui fait le monde du travail aujourd'hui c'est la rareté de l'emploi en général, et de l'emploi de qualité en particulier (il faudrait mettre des critères dessus). Il y a concurrence pour obtenir un emploi, qui se joue avec les diplômes, la situation géographique, la mobilité, etc. En gros : diplômé du supérieur, vivant en ville, sans enfant : énormes avantages concurrentiels. Ce n'est donc pas véritablement un choix de vie, puisque tout dépend du milieu social de ta naissance, c'est suffisamment documenté en sociologie pour savoir qu'il y a une reproduction sociale assez stable, ce qui n'empêche pas le mythe de "l'ascenseur social" de fonctionner ici ou là sur des cas individuels.
Ensuite, la rémunération ne dépend pas des heures travaillées ou de la passion que tu y mets, ou des soi-disant "sacrifices" (qui n'en sont pas) consentis : aides-soignantes, infirmières, ouvriers de chantiers notamment, on peut parler des professeurs, des policiers aussi. Rémunération qui n'est pas forcément (voire jamais) liée à l'utilité sociale du métier. L'exemple extrême étant bien entendu le footballeur pro.
Le marché du travail est pyramidal : beaucoup d'emplois mal rémunérés, difficiles, pour lesquels tu peux avoir des soucis de santé précoce, et bien peu d'emplois très bien rémunérés : 20% au-dessus de 3 000€ nets mensuels dont 10% au-delà de 4 000€.
Donc, non, il n'y a pas de choix de vie : ou plutôt comme souvent le choix est fait parmi des options que tu n'as pas choisies.
Je ne suis pas complètement d'accord avec toi sur différents points.
Le taux de chômage à l'époque était sensiblement supérieur à 10 % donc on n'était pas non plus dans un âge d'or de l'emploi.
Sociologiquement, je suis issu d'une famille de petits fonctionnaires (technicien et secrétaire) et j'étais marié avec des enfants à charge et donc aucunement prédisposé à percevoir une rémunération élevée. .
Pour ce qui me concerne et je ne prétend pas décrire le marché du travail dans sa globalité.
J'ai bien compris que cela n'est pas transposable à tous les emplois (mon épouse gagne à peine 2.000 Euros mensuel et elle pourrait travailler dix fois plus qu'elle ne gagnerait pas un fifrelin en plus)
En conclusion, je reste purement factuel:
Si je n'avais pas accepté à l'époque de consacrer tant d'heures à mon travail au détriment de ma vie personnelle, je gagnerais aujourd'hui aux alentours de ce que gagne mon épouse.
C'est pourquoi je parlais de choix de vie.
Dernière édition de: poupoune (16-04-2024 11:01:22)
La place d'Espagne
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J'avais préparer une page entière, mais j'ai supprimé faute de raconter ma vie. Mais en gros je suis dans les 20% décris par Lost, ma femme elle doit être même dans le 5% (mais profession libérale).
Et je ne travaille pas par passion, je fais même grève pour que la direction verse de meilleurs salaires à tous 😆
En fait je pense que mon salaire aujourd'hui est une anomalie (bien payé et pas bien difficile), mais ne devrait pas en être une. Un meilleur salaire et de meilleurs avantages rend le travail de facto plus agréable.
Mon métier avec un SMIC, je chercherais autre chose. Etant en région parisienne avec le prix des loyers et le coût de la vie, je ne comprends même pas comment arrivent à vivre les gens avec si peu, sans parler qu'ils doivent surement aller habiter loin de Paris, pour un temps de transport conséquent...
L'ouverture d'esprit ne se limite pas toujours à une fracture du crâne.
"Plus on est de fous, mieux on évite la camisole." Oxmo Puccino
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Là tu as raison, tout est une question de choix et de priorité.
C'était quoi ton boulot @poupoune ?
Edit: encore faut-il avoir la possibilité de faire des choix ou conscience que des choix sont possibles.
Dernière édition de: Petit Jean (16-04-2024 11:54:09)
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Je cite ce passage dans l'excellente analyse de Lost in Roazhon au cas où il n'aurait pas été compris.
==> "ce qui n'empêche pas le mythe de "l'ascenseur social" de fonctionner ici ou là sur des cas individuels"
Les écarts de richesses continuent d'augmenter, il faut activer tous les leviers permettant de les reduire au bénéfices des plus précaires et de la transition énergétique.
Perso je trouve plus facile d’être optimiste à propos des chances de qualification européenne du Stade Rennais que sur un mouvement spontané ou légiféré permettant une diminution des inégalités dans un pays où les gens continuent majoritairement d’élire des néo-libéraux
Sérieux vaut mieux en rire qu’en pleurer… Le monde de l’entreprise c’est comme la politique : si tu t’en occupes pas, il s’occupe de toi…
Après, je veux bien reconnaître que c’est plus facile de monter sa boîte quand ta famille te mets les fonds à disposition, mais je ne suis pas certain que ça soit la seule raison…
Le concept de soumission volontaire n’a rien de nouveau…
“And I’d just like to say… from the bottom of my heart, I’d like to take this chance to apologize… to ABSOLUTELY NOBODY!”― Conor McGregor
“They all said I couldn’t do it… LOOK AT ME NOW!!! Level it… Pound for pound!! Headshot : DEAD!! That’s it…” ― Leon Edwards
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