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On va arrivé à la Terre est plate
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Sauf que pour ce qui me concerne, je suis plus proche de Galiléé et Copernic que des cyclopes des carpettes télévisuelles qui nous ânonnent leur psittacisme anthropique.
Amusez-vous vous bien je continue sur des sujets plus consensuels comme le rugby.
Le sage montre la lune, l'imbécile regarde le doigt.
Un peuple ignorant est un peuple docile car crédule.
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John Baez, un des plus grands mathématiciens de la deuxième moitié du 20è siècle, pourtant critique face à la science officielle, a créé il y a quelques années un indice du "félé du bocal" pour identifier les individus qui se croiraient individuellement supérieurs à l'entreprise collective des scientifiques: https://math.ucr.edu/home/baez/crackpot.html
Sur un ensemble de critères donnant des points de 1 à 50, il donnait notamment:
- 20 points pour chaque utilisation de l'expression "défenseur autoproclamé de l'orthodoxie".
- 40 points pour avoir prétendu que "l'establishment scientifique" est engagé dans une "conspiration" visant à empêcher vos travaux d'acquérir la renommée qu'ils méritent, ou quelque chose du genre.
- 40 points pour vous comparer à Galilée, suggérer qu'une inquisition moderne est à l'œuvre sur votre cas, etc.
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Pour ce qui est du "consensus scientifique" et des deux personnes qui assènent le taux de 97% du consensus scientifique, une petite vidéo pour démonter ce mythe.
https://www.youtube.com/watch?v=_RqCluTrjgs&t=3s
Pour tous ces scientifiques (liste qui suit, de A à F pour ne pas saturer le topic) qui contestent le mythe du réchauffement climatique anthropique et qui ne font pas partie des 97% du "consensus scientifique", chacun tirera ses propres conclusions.
Cette liste de scientifiques sceptiques sur le réchauffement climatique indique les scientifiques à travers le monde qui sont climatosceptiques, c’est-à-dire sceptiques sur la réalité d’un réchauffement climatique exceptionnel, son origine humaine ou sur le fait qu’il ait des conséquences négatives.
Ils sont Prix Nobel, Ph.D., lauréats de nombreux prix, auteurs d’articles majeurs.
Les idées de ces scientifiques sont détaillées sur leurs articles.
Elles nuancent le consensus scientifique sur la réalité d’un réchauffement climatique d’origine humaine.
A
Khabibullo Abdusamatov, mathématicien et astronome à l’observatoire de Pulkovskaya de l’académie des sciences russe montre que l’évolution de la température peut être majoritairement imputée à l’activité solaire, qui a été inhabituellement élevée.
Arun D. Ahluwalia, Géologue à l’Université de Punjab, membre du comité International Year of the Planetparrainé par l’ONU. Il déclare que « le GIEC fonctionne en circuit clos, il n’écoute pas les autres. Ses membres manquent de largeur de vue. … Je suis étonné que le Prix Nobel ait été donné pour des conclusions inexactes par des gens qui ne sont pas des géologues».
Ralph B. Alexander, physicien, diplômé d’Oxford. Ralph Alexander a été chercheur dans différents laboratoire en Europe et en Australie et professeur à l’université d’état de Wayne, Detroit. Il est auteur du livre Global Warming False Alarm[1].
Syun-Ichi Akasofu, ancien professeur de géophysique, fondateur de l’International Arctic Research Center au sein de l’université d’Alaska : « la méthode d’étude adoptée par le GIEC est déficiente à la racine, ce qui entraîne des conclusions sans fondement. […] Contrairement à ce qu’affirme le GIEC, il n’y à ce jour aucune preuve définitive que “la plupart” du réchauffement actuel soit dû à l’effet de serre. […] [Le GIEC] aurait dû reconnaître que les variations climatiques passées ne devaient pas être ignorées et donc que leurs conclusions étaient très approximatives. Le terme “la plupart” dans leurs conclusions est sans fondement.»
Claude Allègre, géochimiste, lauréat de nombreux prix de premier plan, dont l’équivalent du Nobel de la géologie, Institut de physique du globe (Paris), un des premiers à avoir soulevé la possibilité d’un réchauffement climatique: il souligne que l’on ne connaît à peu près rien du rôle du CO2 d’origine humaine dans le réchauffement climatique et que d’autres facteurs sont bien plus importants : vapeur d’eau, formation des nuages, nuages de poussières et activité volcanique. Le plus important facteur est l’activité solaire selon Allègre, « mieux corrélée avec le réchauffement que les variations du CO2 ».
David Archibald, scientifique australien, spécialiste de l’activité solaire et de son interaction avec le climat estime que c’est le Soleil qui est le véritable responsable de l’évolution du climat et prédit un refroidissement climatiqueau vu de l’évolution de l’activité solaire.
Hacène Arezki, géographe spécialisé en géographie physique, biogéographie et climatologie, nie dans son livre Climat, mensonges et propagande(éd. Thierry Souccar, 2010) le caractère “sans précédent” de la récente évolution climatique ainsi que l’hypothèse du rôle de premier plan joué par les gaz à effet de serre ; il souligne le rôle essentiel du Soleil pour le climat.
Robert H. Austin, physicien à Princeton, Ph.D. : signataire de l’Oregon Petition, il signe une lettre ouverte dans laquelle est écrit que « Les enregistrements de températures, mesurées ou reconstruites, indiquent que les changements climatiques du 20e et du 21e siècle ne sont ni exceptionnels, ni persistants, et les relevés historiques ou géologiques montrent de nombreuses périodes bien plus chaudes qu’aujourd’hui. [..] Les modèles climatiques actuels semblent insuffisamment fiables pour mesurer la part respective des contributions naturelles et humaines aux changements climatiques passés et, plus encore, futurs»[2].
B
Sallie Baliunas, astronome au Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, Ph.D. en astrophysique à Harvard : elle a souligné l’impossibilité que le réchauffement climatique soit causé par les rejets humains de CO2. Elle a reçu de nombreuses récompenses et a écrit plusieurs dizaines d’articles scientifiques dans des revues de premier plan.
Tim Ball, Ph.D. en climatologie, ancien professeur à l’université de Winnipeg (Canada) : il rappelle les faiblesses des modes de mesure de la température et l’absence de fondement scientifique à la théorie liant émissions de CO2et réchauffement climatique.
Gary Becker, Prix Nobel d’Économie, Professeur Université de Chicago : « Ce qui menace la planète, ce n’est pas le réchauffement climatique, mais les politiques économiques stupides qui pourraient en dériver, poussées par des politiciens en quête d’une bonne cause. »
David Bellamy, botaniste environnementaliste, ancien maitre assistant Université de Durham : « Le réchauffement global est pour une large part un phénomène naturel. Le monde dépense d’énormes sommes d’argent pour stabiliser quelque chose qui ne peut l’être. »
Elliott D. Bloom, physicien, professeur à la Stanford University, membre de l’équipe du Stanford Linear Accelerator Laboratoryqui reçut le prix Nobel de physique, lauréat du prix Senior Scientist Award de la fondation Alexander von Humboldt, rappelle la complexité du climat, son imprévisibilité, l’inadéquation des modèles invoqués par le GIEC. La politique devrait laisser les mains libres à la science en ce domaine, ce qui n’est pas le cas actuellement.[3].
Jean-Marc Bonnamy, ingénieur, expert climatologue pour la FAO, auteur de Réchauffement climatique : le pavé dans la mare(éd. L’Harmattan, 2018), parle à propos du réchauffement climatique d’un « débat d’opinions basé sur des interprétations contestables de corrélations statistiques hasardeuses entre des données douteuses ». Il affirme l’absence de tout effet possible de l’augmentation du taux de CO2 sur la température terrestre et dénonce les procédés utilisés par le GIEC, acculé, pour faire taire les faits.
Reid Bryson, professeur émérite de météorologie à l’université du Wisconsin, Ph.D. en météorologie, un des pères fondateurs de la climatologie moderne : il considère que les variations climatiques ont toujours existé et que le réchauffement climatique depuis le XIXesiècle est dû à la sortie du Petit Âge Glaciaire.
C
Bob Carter, paléoclimatologue australien, professeur à la James Cook University (Australie) : il rappelle que même les mesures du GIEC ne montrent aucun réchauffement depuis 1998 et que les températures semblent au contraire baisser. Il écrit ainsi : « Il y a tout lieu de douter que le moindre réchauffement climatique soit en train d’avoir lieu, et plus encore qu’il soit causé par l’activité humaine»[4].
John Christy, professeur de sciences de l’atmosphère et directeur du centre des sciences de la terre à l’université de l’Alabama, ancien rédacteur des rapports du GIEC : « je ne vois venir ni la catastrophe qu’on nous annonce, ni la preuve évidente que l’activité humaine doive être mise en cause dans le réchauffement que l’on peut observer. Je vois plutôt l’utilisation aveugle de modèles climatiques (utiles mais qui ne sont jamais des “preuves”) et la coïncidence entre augmentation de la concentration en CO2et réchauffement qui fonctionne de moins en moins avec le temps ». Son bureau à l’université a été visé par sept coups de feu en avril 2017, à l’occasion du “Jour de la Terre”.
Ian Clark, hydrogéologiste, professeur à l’université d’Ottawa et auteur de plus d’une cinquantaine d’articles académiques : il écrit que les modèles climatologiques fondés sur l’augmentation du CO2et de la vapeur d’eau sous-estiment l’effet des nuages qui font baisser la température atmosphérique. Pour Clark, c’est le soleil et la variation de son activité qui est le principal responsable des changements climatiques, comme dans le passé.
Piers Corbyn, astrophysicien, spécialiste de la prévision météorologique à long terme dont il fait une activité commerciale, notamment par le site weatheraction.com.
Vincent Courtillot, géophysicien français, docteur en physique, professeur à l’université de Paris VII et auteur de nombreux articles scientifiques dans Science ou Nature.
Richard Courtney, relecteur expert du GIEC, consultant en science du climat et de l’atmosphère, admet qu’aucune preuve convaincante d’un réchauffement climatique causé par l’homme n’a été découverte.
Uberto Crescenti, professeur titulaire de géologie appliquée à l’Université G. d’Annunzio de Chieti, fondateur et président en 2001 de l’Association italienne « géologie et tourisme », est l’auteur d’une Pétition sur le réchauffement climatique anthropique adressée aux autorités italiennes et signée par une centaine de scientifiques. Il y affirme que « la responsabilité anthropique du changement climatique observée au siècle dernier est exagérée de façon injustifiée et les prévisions catastrophiques sont irréalistes ».
Judith Curry, professeur à l’école des sciences de la terre et de l’atmosphère au Georgia Tech d’Atlanta. Décorée par l’American Meteorological Society, l’American Geophysical Union, la NASA, la NOAA et la Fondation Nationale des sciences. Elle affirme que « presque la moitié du réchauffement constaté au XXe siècle s’est produite lors de sa première moitié, avant le développement mondial ». Pour elle, « la climatologie est devenue un parti politique de tendance totalitaire », « une science douteuse au profit d’un projet politique »[5]. En 2017, elle démissionne de son poste de professeur d’université, en soulignant qu’un scientifique est obligé d’adhérer à l’idéologie du GIEC pour obtenir des crédits et avancer dans sa carrière : soit on renonce à l’intégrité scientifique, soit on peut faire une croix sur sa carrière.
D
Dai Davies, physicien à l’Université de Canberra, affirme que le CO2n’a qu’un effet négligeable sur le climat terrestre[6] et n’est pas toxique mais éminemment bénéfique pour la biosphère. Même si sa quantité était doublée, cela n’aurait aucun effet significatif sur la thermodynamique atmosphérique.
Delgado Domingos, professeur en science environnementale au Portugal, avec plus de 150 publications à son actif. Pour le professeur Domingos, « créer une idéologie à partir du dioxyde de carbone est un non-sens dangereux… L’alarmisme actuel sur le changement climatique est un instrument de contrôle social, un prétexte pour des batailles politiques et économiques. Cela devient une idéologie préoccupante ».
Diane Douglas, paléoclimatologue, auteur et éditeur de plus de 200 rapports scientifiques. Pour elle, les facteurs naturels et non le CO2dominent le climat.
Richard Dronskowski, professeur de chimie-physique à l’Université d’Aix la Chapelle, Allemagne, au Département de Chimie des Solides et Chimie Quantique. Lauréat du Prix Otto Hahn de l’Institut Max Planck, il est membre du Collegium de la Société de Recherche allemande, de la Société de Physique allemande et de l’American Chemical Society. Il a déclaré que “la courbe en crosse de hockey est une falsification grossière destinée à répandre la peur”, “qu’il n’y a absolument aucun consensus, zéro consensus [au sujet du réchauffement climatique]” et qu’il connaît “des collègues qui financent des instituts entiers grâce au climat. Ils n’ont aucun moyen de faire machine-arrière car leurs instituts seraient ruinés”[7].
Geoffrey G. Duffy, physicien, professeur de mécanique des fluides au Department of Chemical and Materials Engineering de l’Université d’Auckland[8]. Selon Geoffrey Duffy, « même si l’on doublait ou triplait la quantité de dioxyde de carbone, cela n’aurait quasiment aucun impact, car la vapeur d’eau a dominé et domine tout l’effet de serre ».
Jacques Duran, physicien, directeur de recherche CNRS, ancien Vice-Président Chargé de la Recherche de l’Université Pierre et Marie Curie (1986-1992) et auteur du site sceptique de référence francophone pensee-unique.fr[9].
Freeman Dyson, physicien, professeur émérite à l’université de Princeton, récompensé par de très nombreux prix : selon lui, la menace du réchauffement climatique est « largement exagérée »[10][11].
E
Don J. Easterbrook, professeur émérite de géologie à l’Université de Western Washington, spécialiste en glaciologie, auteur de 8 livres et de 150 papiers scientifiques. Même s’il croit à la nécessité d’une réduction des gaz à effet de serre, il critique les projections de températures du GIEC. Lors d’une présentation à la conférence annuelle de la Société de Géologie Américaine, en 2006, il affirma que “si les cycles continuent comme par le passé, le cycle de réchauffement actuel va bientôt se terminer et la température va se refroidir légèrement jusqu’en 2035 environ… Le réchauffement total pour le 21e siècle devrait être autour de 0,3°C et non celui catastrophique de 3-6°C prédit par le GIEC“.[12].
James A. Eden, spécialiste en physique de l’atmosphère dit : beaucoup de scientifiques sont en train de chercher un moyen de revenir doucement en arrière (sur les causes humaines du réchauffement climatique) sans ruiner leur carrière.
Suren Erkman, professeur à l’Université de Lausanne, spécialiste en écologie industrielle, affirme : « Il y a encore, aujourd’hui, une discussion scientifique sur la contribution réelle du CO2en tant que gaz à effet de serre. C’est une discussion qui n’est pas close. Très vite, dès le début, la question climatique a été instrumentalisée à différentes fins, économiques, politiques, ou purement idéologiques. »[13]. Pour lui, qui se veut « climato-critique » et dénonce « un discours de plus en plus dogmatique, souvent tenu par des gens qui ne sont pas des spécialistes du domaine », « le véritable enjeu serait l’adaptation aux changements climatiques, et non l’atténuation des causes de ces changements. »[14]
David Evans, mathématicien, ex-collaborateur du Bureau Australien sur l’effet de serre. Il a mis au point des modèles du cycle du carbone destiné au mécanisme de réduction de CO2dans le cadre du protocole de Kyoto (1999-2005). Sur la base de nouvelles données, il a déclaré ne plus croire à l’influence du CO2 dans le réchauffement climatique.
F
Chris de Freitas, professeur au sein de la faculté de géographie, de géologie et de sciences de l’environnement de l’université d’Auckland : « il y a des preuves du réchauffement climatique mais ce réchauffement ne confirme pas que c’est le dioxyde de carbone qui en est à l’origine. Le climat se réchauffe ou se refroidit perpétuellement».
...
Instrumentaliser un phénomène naturel à des fins politiques est du terrorisme, la même chose s'est produite récemment avec la crise covidique, elle se produit maintenant avec l'hystérie autour de l'Ukraine (qui a bizarrement éclipsé du jour au lendemain, la crise covidique des chaînes de diffusion, télévisuelles, radiophoniques, journalistiques papier et internet et par les réseaux sociaux, de bobards en continu).
J'arrête là, chacun se fera sa propre opinion, et si Puchkin décide de me bannir, ce serait une injustice à laquelle je consentirais à mon corps défendant.
Le sage montre la lune, l'imbécile regarde le doigt.
Un peuple ignorant est un peuple docile car crédule.
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Ouvre les yeux, le changement climatique est évident et son accélération est due à l'Homme et sa consommation de masse etc...Être scientifique n'empêche pas d'être orienté ou contestataire. Nier qu'il faut changer nos comportements, je n'ai pas de mots!!
Allez Rennes for ever
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Et ça sert à quoi cette liste. Qui a vérifié les CV que tu nous présentes ? phd ça veut juste dire doctorants, ce n'est pas non plus un titre extraordinaire. Combien sont vraiment légitimes pour parler de climat ? Combien ont leurs recherches payées par les pétroliers ou équivalents et ont donc un point de vue un peu biaisé ?
Et quelle représentativité ont ils par rapport à l'ensemble de la communauté scientifique ? On doit pouvoir faire une liste 20 fois plus longue et impressionnante de prix nobel avec ceux qui défendent le réchauffement la véracité de l'accélération du réchauffement climatique du à l'homme avec des références beaucoup plus impressionnante que ceux de ta liste.
Mais ne t'en fait pas, le réchauffement climatique n'est qu'une des limites planétaires et finalement cela ne sera pas forcément celui qui fera tomber en premier notre modèle de société basée sur la surconsommation (disponibilité des métaux, biodiversité, disponibilité d'eau douce et salubre...).
Tu parles d'instrumentalisation de la question. Qui instrumentalise ? Et dans quel but ? Car je vois pas bien où est le lobbye écologiste tant on voit que les questions écologiques sont quasiment pas pris en compte dans les politiques publiques. Ah ça on en parle mais concrètement, qu'est ce qui est fait ? Alors s'il y a un grand complot écologiste, il est pas très efficace... Par contre, les lobbyes pétroliers, du plastiques, des mines, économiques en général... eux sont bien réels et n'ont aucun intérêt à ralentir et changer la donne tant ils s'enrichissent de la société carbonée de surconsommation.
Mais comme tu le dis, chacun se fera son idée...
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Je ne comprends pas bien les enjeux d'un "complot" visant à nous faire croire à un réchauffement climatique anthropique ?
Je n'ai pas nécessairement envie de remettre 2 balles dans la machine mais peux-tu éclaircir ta pensée le Zoreil ?
Qu'est-ce qui sous-tendrait un tel machiavélisme et pourquoi ?
" La justice c'est comme la sainte vierge, si on la voit pas de temps en temps, le doute s'installe"." Pile ou face " Audiard.
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Peut-être que ça les rassure sur l'état de santé de la planète, c'est effectivement beaucoup moins anxiogène de se dire que les bouleversements en cours sont naturels et qu'un retour à la normale se réalisera "mécaniquement".
En tout cas, je vois très bien à qui pourrait profiter l'idée d'un réchauffement climatique naturel.
Le zoreil n'est pas tout seul manifestement : www.lemonde.fr/idees/article/2023/09/10/l-aggravation-recente-des-effets-du-rechauffement-coincide-et-c-est-une-autre-cause-de-sideration-avec-un-retour-apparent-du-climatoscepticisme_6188661_3232.html
"Le problème, ce n'est pas le fait qu'on aille dans le mur ou pas. On va dans le mur ! Le problème, c'est à quelle vitesse on y va, à 50 km/h ou à 5 km/h ?"
Jean-Marc Jancovici, spécialiste du CLIMAT.
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Pour ce qui est du "consensus scientifique" et des deux personnes qui assènent le taux de 97% du consensus scientifique, une petite vidéo pour démonter ce mythe.
mais y'a rien qui va dans cette vidéo...
- le mec fait de la finance et essaie juste de justifier la moralité de certains de ses investissements.
- il justifie sa connaissance par le fait qu'il fait de la rando et de la photo en opposition à l'homme de paille du chercheur citadin... il idéalise ainsi une "nature" comme si les villes ne faisaient pas partie de l'écosystème global, comme si les chercheurs en géologie ou en sciences de l'environnement vivaient tous à Paris et ne faisaient jamais de terrain, comme si, de toute façon, il fallait avoir une "pratique" de la nature pour la comprendre.
- il parle de "l'église climato-alarmiste", de "partisans de la privation de tout", de "dictature marxiste"...
- il dit que le chiffre de 97% est obtenu après avoir fait une sélection parmi les chercheurs. Oui, une sélection des experts du domaine, logique non?
- il ne prend qu'un seul papier qui parle du consensus de 97%, alors qu'il y en a plein d'autres comme le montre la méta-analyse que j'ai fourni plus haut.
- il mélange "reconnaissance du changement anthropique" et "recommandations pour le limiter".
Bref, tout est à jeter...
Et ta liste (comme dit Elinguia) bah oui, on n'a jamais dit que TOUT le monde était d'accord, seulement 97%.... donc tu vas en trouver des gens en désaccord...
Dernière édition de: romrom (10-09-2023 10:23:52)
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97% de 1% (une sélection d'experts dans leur domaine) ne fait pas un consensus.
Toutes les personnes qui contestent les conclusions du GIEC ou relativisent les travaux mathématiques de ce derniers, forme un dissensus plutôt conséquent (nombre important).
Chacun est libre d'interpréter comme il l'entend les arguments des uns et des autres, mais les travaux du GIEC souffrent d'un manque de sérieux scientifique, certains membres du GIEC se sont désolidarisés de l'organisme et sont depuis devenus climato-sceptiques à l'aune de découvertes et controverses nouvelles sur le sujet.
Le sage montre la lune, l'imbécile regarde le doigt.
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Bon déjà la liste vient d'une vidéo youtube d"un compte spécialisé dans la finance. Bref. Pour la liste :
Khabibullo Abdusamatov : a indiqué qu'on avait atteint l'apogée du réchauffement en 2005... Chapeau champion. On vit une année record. De plus il n'a présenté aucune étude devant comité de lecture pour confirmer cela.
Arun D. Ahluwalia : n'a jamais nié les causes du réchauffement climatique.
Ralĥ Alexander : voici sa seule expertise sur le climat : Ralph B. Alexander is a former Associate Professor of Physics at Wayne State University and former President and co-founder of Ion Surface Technology, a small high-tech materials company. He is currently the owner and president of R.B. Alexander & Associates Inc., an independent consulting firm specializing in advanced materials and surface engineering : rien.
Syun-Ichi Akasofu : son étude a été débunkée vu que les courbes avaient été trafiquéesp our coller aux affirmations.
Claude Allègre : était spécialiste dans l'étude des isotopes. Rien à voir donc.
David Archibald : débunkage https://skepticalscience.com/david-arch … hange.html
Hacène Arezki : a enseigné pendant 2 ans, aucune étude devant comité de lecture.
Robert H. Austin : spécialiste de santé (cancer, bactéries etc)
Sallie Baliunas : a reconnu l'influence humaine. Est revenu ensuite sur ses dires en publiant une étude truquée, les 10 rédacteurs ont démissionné.
Et on peut continuer comme cela sur toute la liste qui est un copier coller que tu as pris sur wikiberal.
Bref.
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Juste une petite question, les premiers relevés météo ont commencé apparement au 19e siècle donc comment pouvons-nous savoir ce qu'il s'est passé avant ? Parce que à chaque fois on dit "records jamais enregistrés" mais peut être qu'il faisait plus chaud au 13e siècle ou au 9e, ou au 5e, ou autre, on en sait rien en faite, non ?
On a juste des estimations il me semble ?
Si quelqu'un a des infos la dessus car on sait très bien que notre planète évolue en permanence, j'ai pas cherché ...
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Il existe des marqueurs au niveau de la nature, graines , pollens etc ...
Bref, ce n'est pas une vue de l'esprit c'est quantifiable et quantifié.
" La justice c'est comme la sainte vierge, si on la voit pas de temps en temps, le doute s'installe"." Pile ou face " Audiard.
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Si le réchauffement climatique ne suffit pas à tous les climatoseptiques pour se bouger le cul, faut-il rappeler qu'il y a deux trois autres trucs "sympas" aussi ?
La pollution de l'air
La pollution des océans
Les extinctions de masses de nombreux animaux
La raréfaction des réserves d'eaux potables
La désertification des sols
L'appauvrissement des terres
Les fôrêts qui partent en fumée
Et bien d'autres "réjouissances"
qui 35 degrés à l'ombre ou pas altérent durablement nos capacités à bien respirer, se nourrir, boire...
Mais bon, tant que, seul, dans nos véhicules surdimenssionnés, habillés par des vêtements fabriqués à l'autre bout du monde par des gamins en quasi esclavage qui respirent à longueur de journée des produits chimiques, notre clim fonctionne pendant qu'on est coincé dans les bouchons pour rejoindre un travail bien souvent inutile et/ou abrutissant, on a toujours la vacuité d'esprit de se dire qu'après tout il y a pas matière à s'inquiéter pour l'avenir, c'est que tout va bien.
Juste une petite question, les premiers relevés météo ont commencé apparement au 19e siècle donc comment pouvons-nous savoir ce qu'il s'est passé avant ? Parce que à chaque fois on dit "records jamais enregistrés" mais peut être qu'il faisait plus chaud au 13e siècle ou au 9e, ou au 5e, ou autre, on en sait rien en faite, non ?
On a juste des estimations il me semble ?
Si quelqu'un a des infos la dessus car on sait très bien que notre planète évolue en permanence, j'ai pas cherché ...
Il y a un champ entier qui s'appelle la paléoclimatologie: https://fr.wikipedia.org/wiki/Pal%C3%A9oclimatologie
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Penny Lane a lancé la bonne perche, je me permet de la relancer à nouveau.
Aux climato-sceptiques, ceux qui refusent de croire qu'il y a réchauffement climatique et/ou que celui-ci est d'origine humaine :
- Pourquoi êtes vous convaincu par ce point de vue ? Pourquoi est-ce que vous privilégiez de croire à cela plutôt qu'à l'opinion inverse ?
- En quoi seriez vous rassuré s'il s'avérait que le réchauffement climatique n'existait pas et/ou n'était pas anthropique ?
J'ai vraiment pas envie de vous juger, je veux vous comprendre. Saisir vos motivations et croyances profondes, savoir ce qui vous anime dans la défense de ces thèses.
J'ai toujours pas trouvé une étude sérieuse qui analyse psychologiquement, sociologiquement, le pourquoi il y a des personnes qui sont climato-sceptiques.
Alors, je fais ma petite étude de mon côté.
- Si demain, il y avait une preuve indiscutablement voyante à vos yeux, que le changement climatique était du fait de l'être humain : quelle serait votre réaction ?
J'ai la sensation qu'on ne peut pas valablement discuter entre points de vue différents si on ne se comprend pas.
Je préfère encore être un cochon décadent plutôt qu’un fasciste.
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Jack35 a écrit:Juste une petite question, les premiers relevés météo ont commencé apparement au 19e siècle donc comment pouvons-nous savoir ce qu'il s'est passé avant ? Parce que à chaque fois on dit "records jamais enregistrés" mais peut être qu'il faisait plus chaud au 13e siècle ou au 9e, ou au 5e, ou autre, on en sait rien en faite, non ?
On a juste des estimations il me semble ?
Si quelqu'un a des infos la dessus car on sait très bien que notre planète évolue en permanence, j'ai pas cherché ...
Il y a un champ entier qui s'appelle la paléoclimatologie: https://fr.wikipedia.org/wiki/Pal%C3%A9oclimatologie
Merci, bon c'est du wikipédia ça vaut ce que ça vaut mais en cherchant sur le web on trouve pas mal d'études faites sur l'évolution des températures de notre planète, et disons qu'elle est habituée à faire le yoyo mais ça se mesure plus en millions d'années plutôt qu'en siècle.(on le voit très bien dans les graphiques de la page wiki)
Je suis même tombé sur un article qui explique qu'il y a environ 15 000 ans la température est brusquement montée de 10 degrés dans l'hémisphère nord puis redescendu :
" Le climat a d'abord basculé il y a 14 700 ans avec une augmentation des températures de plus de dix degrés Celsius, en seulement trois ans ! Puis, après un nouveau coup de froid, une hausse équivalente s'est produite en soixante ans il y a 11 700 ans, à la fin de la dernière période glaciaire. "
C'est très intéressant.
PS : je préfère le préciser, je ne nie pas le réchauffement climatique, il est factuel depuis que les relevés existent.
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@ BeatBoy22
Peu de personnes ne nient les cycles de réchauffement et refroidissement de l'astre terrestre.
Les scientifiques et les personnes de bon sens, disent que ce n'est pas la queue qui remue le chien (que le CO², d'origine humaine ou non qui influe sur le climat, mais d'autres facteurs).
Les carottages de glace ont mis en évidence le réchauffement lors des optimum romain et médiéval, et ont démontré que l'augmentation du CO² dans l'atmosphère terrestre suit le réchauffement de plusieurs siècles, donc la première constatation des paléo climatologues est de dire que ce n'est pas le CO² qui est à l'origine du réchauffement de la terre, il en est une des conséquences, mais pas la cause.
Les paléo climatologues, avec le doute qui sied à tout scientifiques est de dire que l'influence d'autres éléments, comme le soleil, le rayonnement cosmique, le volcanisme sont des facteurs qui expliquent le mieux les cycles de réchauffement/refroidissement climatiques.
Le CO² est un élément indispensable à toute vie sur terre, le diaboliser, est un argument de platiste.
Dans les serres, on injecte du CO² pour augmenter les rendements de l'agriculture.
Les forêts européennes ne se sont jamais aussi bien portées que depuis l'avènement du moteur à explosion.
Les seuils actuels 420 ppm sont insignifiants, que ce taux pourrait encore augmenter sans nuire à qui que ce soit.
Les gens qui sont crédules et susceptibles de croire à tout argument d'autorité dès qu'on leur assène à longueur de journées dans un psittacisme réchauffisme effréné, qui a pour effet de faire rentrer dans le subconscient des personnes visées (même dans le crâne de personnes intelligentes ou cultivées), des idées fausses pour vraies, les techniques de manipulation (Gustave Lebon, Edward Bernays, Goebbels, MK Ultra, école de Chicago,...), ont toujours la vie dure.
Regardez les événements du passé au cours desquels ont a tenté de vous faire passer des mensonges pour des vérités (pour des motifs que j'ignore, mais dont on devine certaines motivations), je n'en citerais qu'un seul (il y a plein d'autres), en ce jour anniversaire, le 11/09/2001, deux avions ont fait tomber 3 tours (ce qui ne s'est jamais produit, ni avant, ni après cette date), cet événement a eu pour corollaire un changement de paradigme, et a permis à l'état profond de lancer sa guerre de terreur (Irak, Lybie, Syrie, et encore d'autres).
Pour ce qui me concerne, à chaque évènement, je me pose toujours la même et lancinante question : Cui bono ?
Je ne me hâte jamais de répondre péremptoirement, mais cela me permet d'exercer mon esprit critique.
Je ne prétend pas avoir raison, mais je réfléchis toujours à la survenance subite de cygnes noirs (épisode covidique, épisode OTAN/Russie sur l'Ukraine, et plein d'autres auparavant), il y a des logiques à ces suites d'évènements.
On retrouve à l'œuvre, notamment dans la géo-ingénierie, les mêmes acteurs que ceux que l'on a pu voir au front dans l'épisode covidique.
Dernière édition de: Le zoreil (11-09-2023 14:10:20)
Le sage montre la lune, l'imbécile regarde le doigt.
Un peuple ignorant est un peuple docile car crédule.
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Y a tout le discours de QAnon en un message.
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Sowann, tu n'as aucun argument à part un anathème ?
Je ne suis adhérent à aucun organisation ou parti politique, je suis abstentionniste depuis des années, je ne suis pas plus affilié à un quelconque mouvement sectaire ou le porte parole de quelque cause que ce soit.
Dernière édition de: Le zoreil (11-09-2023 14:31:26)
Le sage montre la lune, l'imbécile regarde le doigt.
Un peuple ignorant est un peuple docile car crédule.
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En fait, BeatBoy à la question que tu poses il m'est compliqué d'y répondre.
Qu'il y ait dérèglement climatique c'est évident?
Pour les causes, j'emprunterai à Pascal son fameux Pari.
Pour mémoire, Blaise affirmait que décider de croire ou de ne pas croire en Dieu c'était essentiellement engager un pari.
Si l'on choisit de se comporter comme s'il y avait un Dieu et qu'il s'avère qu'à l'arrivée il n'existe pas il n'y a pas de quoi en faire un plat.
Si nous parions qu'il n'existe pas et qu'au bout du chemin il existe nous avons perdu la béatitude éternelle.
C'est la même chose pour cette problématique.
J'ai décidé d'y croire sans savoir et si même je saurai.
Si je n'y crois pas et que cela s'avérait exact les conséquences seraient dramatiques.
La place d'Espagne
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@Le Zoreil
La triplette répétée complotiste COVID, réchauffement climatique et 11 septembre est incroyable. L'argument de la manipulation via des techniques type Goebbels est magnifique aussi.
Pour le premier complot : même si certaines choses ont été mal gérées, bravo à notre pays d'avoir su gérer un minimum cette crise sanitaire atroce.
Pour le deuxième complot : pourrais-tu enfin nous partager à qui profiterait l'idée de démontrer que ce réchauffement est anthropique ? Sachant l'écologie tant vers la sobriété alors que défendre l'inverse tant vers... le profit.
Pour la troisième complot : ça n'a rien à faire sur ce topic.
Pour le premier et le troisième je n'attends pas de réponse ou alors on peut en discuter sur d'autres topic sans problème.
Dernière édition de: Kiné Sotpanèpa Rennais (11-09-2023 14:55:09)
Le traitement c'est le mouvement
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Sowann, tu n'as aucun argument à part un anathème ?
Je ne suis adhérent à aucun organisation ou parti politique, je suis abstentionniste depuis des années, je ne suis pas plus affilié à un quelconque mouvement sectaire ou le porte parole de quelque cause que ce soit.
C'est pas un anathème. Parler de complotisme sur les évènements que tu cites tout en parlant de l'Etat profond c'est le discours de QAnon.
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Si les Etats étaient vraiment profonds, on en serait pas là
Dernière édition de: Harry Badgé (11-09-2023 15:14:15)
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@ Sowann
Ce n'est pas parce j'évoque l'état profond, que le suis un QAnon, Macron a aussi évoqué l'état profond, en déduis-tu qu'il est QAnon ou complotiste ?
@ Kiné
Les crédules croient tous les arguments d'autorité, même les mensonges les plus avérés, que puis-je y faire ?
Le narratif ne tient que par la crédulité de l'opinion.
Plus le mensonge est gros, mieux il passe, c'est une réalité qui est démontrée régulièrement.
Les gens ont un instinct grégaire, ils suivent doctement le troupeau, de peur de se faire remarquer et devenir le mouton noir.
Il serait intéressant pour toi de te documenter sur Gustave Lebon, Edward Bernays (la fabrique du consentement), Goebbels, MK Ultra, qui ont instrumentalisé la propagande et l'ont utilisé pour influer sur l'état de l'opinion (il y en a d'autres la liste n'est pas exclusive).
La gouvernance par le chaos ou le diviser pour mieux régner, sont des techniques de la gouvernance par la peur (Lire Naomi Klein - La stratégie du choc), c'est sont ces techniques qui ont été utilisés durant l'épisode covidique.
Je comprends assez vite ce qui ce passe, cela fait plus de 20 ans que j'observe les faits, certaines connexions, et pour ceux qui s'en donnerait la peine, ajoutez la géopolitique pour bien comprendre ce qui est en train de se passer.
Lisez le livre : la grande réinitialisation de Klaus Schwab, il annonce tout ce qu'ils veulent voir advenir, avec le point d'orgue de l'agenda 2030, avec tout les Young Global Leader à la tête de pays, comme exécutants (la liste de ces young global leader figure sur le site du FEM ou WEF).
Il y a une congruence d'évènements pas anodins et pas si détachés les uns des autres.
Certains y verront des coïncidences, d'autres non.
À chacun sa vision du monde, moi je regarde de loin et avec la circonspection nécessaire pour ne pas être la victime du panurgisme ambiant et délétère.
Le sage montre la lune, l'imbécile regarde le doigt.
Un peuple ignorant est un peuple docile car crédule.
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