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L'arbitre de montpellier-angers invente de nouvelles règles, pas souvenir d'avoir vu ça
JE SUIS NÉ LE 27 AVRIL 2019
BREIZHILIA
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Je trouve étonnant qu'on n'ait pas vu les images de la VAR concernant le 2ème but de Ben Yedder, qui pour moi était clairement hors jeu, et celui de Brest en début de match, refusé alors que les images d'Amazon semblait montrer que le brestois était assez largement couvert. On était pas censé gagner en transparence avec cette technologie?
Pour Brest t'as un joueur qui cache le.gardien, c'est lui qui est HJ en faisant action de jeu du coup.
Vote des journalistes : 1. Ribéry : 523 points 2. Ronaldo : 399 points 3. Messi : 365 points
RIBÉRY BALLON D'OR FRANCE FOOTBALL!
J'suis né à Landau In Der Pfalz, Deutschland, et je supporte aussi le Bayern, voilà.
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Reims a une sacrée bonne dynamique ! Depuis leur victoire sur nous, qui date du 21 décembre, ils n'ont perdu qu'un match, en Coupe de France. Ils se retrouvent à 6 points de nous avant le match de ce soir, c'est une belle perf !
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Reims dans les 2 ème sur les 15 derniers matchs.
Lens 11 ème sur les 10 derniers matchs.
Nous on reste régulier. C'est ce qui fera le classement final
Comme Nice à mon avis, ça va bien flancher un moment donné et il leur faut cette série incroyable là pour y croire mais on garde un écart malgré tout.
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Bah oui effectivement, Angers est devenu un club de tarés
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Même avec un club qui fonctionnerait bien sportivement (mais bon pas possible avec de tels tocards), ce serait impossible de suivre pour moi un club chez qui se comporter comme un con**rd est légitimé.
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Incroyable, y'en a qui sont dans une autre dimension.
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Allez hop toucher couler
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En même temps Angers cette saison c'est le paillasson de la Ligue 1 ...
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Pourquoi les tirs au but ne sont pas une loterie
Ordre des tireurs, zones à cibler et surtout dimension psychologique : de nombreuses études ont montré comment maîtriser le caractère soi-disant aléatoire des séances de tirs au but.
Anthony Thomas-Comminmis à jour le 7 mars 2023 à 14h31
La Coupe du monde, l'Euro, la CAN, la Ligue Europa, la Cup anglaise, la Coupe d'Allemagne, la Coupe d'Espagne : toutes les dernières finales de ces compétitions se sont jouées aux tirs au but. On n'est pas obligé de le rappeler mais l'équipe de France a été battue ainsi lors de ses deux dernières compétitions, à l'Euro face à la Suisse (3-3, 4-5 aux t.a.b.), et plus cruellement en finale de la Coupe du monde face à l'Argentine (2-2, 2-4 aux t.a.b.). Il y a deux semaines encore, Rennes et Monaco ont aussi vu leur parcours en Coupe d'Europe s'arrêter aux tirs au but. Avec à chaque fois, une même fatalité et amertume dans les commentaires : « Sur une séance de tirs au but, ça devient la loterie » (Lloris à l'Euro), « pour moi, le match s'est arrêté à la 120e, et après, c'est pile ou face » (Genesio en C3).
Ce sont des remarques qui peuvent agacer une partie des supporters et surtout les nombreux professionnels qui ont travaillé sur le sujet à l'image du journaliste Ben Lyttleton (auteur du livre Onze mètres, la solitude du tireur de penalty) ou du chercheur en psychologie Geir Jordet. « Si vous participez à un tournoi majeur avec l'ambition de gagner, vous commettez une erreur grossière si vous n'êtes pas préparé pour les tirs au but », insiste ce dernier auprès de CNN. « L'entraîneur et le staff de certaines équipes paniquent presque quand le match se joue aux tirs au but. On dirait qu'ils ne savent pas quoi faire. Pour d'autres équipes, tout est géré avant le match et totalement avant les tirs au but. »
Préparer l'exercice, oui mais comment ? Le sélectionneur de l'Espagne Luis Enrique a donné sa recette lors de la dernière Coupe du monde, avant le quart de finale contre le Maroc (0-0, 0-3 aux t.a.b.) : « Cela fait plus d'un an, lors d'un rassemblement, que j'ai prévenu les joueurs qu'ils devaient arriver au Mondial en ayant tiré au moins 1000 penalties. J'imagine que la majorité auront fait leurs devoirs. Dans un moment de tension maximale, il faut montrer qu'on peut tirer le penalty de manière déterminée. » Le lendemain, son équipe était éliminée aux tirs au but avec un 0/3 dans l'exercice. Une issue qui semble renforcer l'idée de jeu de hasard. Même impuissance du côté d'Hugo Lloris après la finale contre l'Argentine : « Tu as beau avoir tout analysé chez les tireurs argentins, avoir réfléchi aux trois options à prendre, à droite, à gauche et au milieu, avoir regardé ce qu'ils ont fait lors de leurs cinquante penalties précédents, il y a d'autres données... »
lire aussiPourquoi les Bleus sont autant en difficulté sur les tirs au but
Le geste : une frappe précise sans puissance excessive dans la lucarne gauche
L'exercice n'est pas vraiment irrationnel, comme le montrent les statistiques qui agrègent les données sur les penalties ou les tirs, comme l'imposante synthèse d'Instat publiée en 2021 à partir de 90.000 tirs analysés. En résumé, on y apprend que les joueurs avec de l'expérience (28-30 ans) et aux postes offensifs ont la meilleure réussite et que techniquement la meilleure façon de frapper est de prendre au moins cinq pas d'élan, de regarder le gardien de but plutôt que le ballon, de privilégier la précision du tir à la puissance. Il est plus efficace de viser la lucarne gauche (83,5 % de réussite) et le coin à droite (83,3 %) que le centre (71,1 %).
Un certain paradoxe entoure les tirs sur penalty : 100 % des frappes envoyées dans la partie haute du but ont été converties, rappelle l'historique de la Coupe du monde. Pourtant, les joueurs privilégient les parties centrales ou basses. Une explication est que viser la lucarne implique un plus grand risque de manquer le cadre mais même en intégrant ces tirs qui finissent sur la barre ou au-dessus du but (on se souvient de Roberto Baggio avec l'Italie contre le Brésil en 1994), la réussite vaut toujours la prise de risque. Mais comme l'a montré une étude de Michael Bar-Eli et Ofer H. Azar, résumée par Sciences Humaines, une certaine forme d'irrationalité, liée au regard du public et des autres joueurs, prend le dessus : « Le buteur préfère prendre le risque d'être arrêté par le gardien plutôt que celui de mettre le ballon hors de la cage en tirant haut, parce que c'est plus déshonorant. »
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L'ordre des tireurs plus important que l'ordre des équipes
Une étude publiée en 2010 par l'Espagnol Ignacio Palacios Huerta (London School of Economics) donnait 60 % de chances de gagner à l'équipe qui tirait en premier lors de la séance. Cela avait même poussé la FIFA à imaginer un nouveau système pour les séances. Les données agrégées par Instat ont minoré cet avantage (51,48 % de victoires pour les premiers qui tirent). En Coupe du monde, le bilan est peu concluant sur ce critère avec 18 défaites sur 35 pour l'équipe qui ouvrait la séance.
C'est plutôt l'ordre des joueurs qui pèse sur l'issue du duel : dans l'histoire de la Coupe du monde, l'équipe qui rate sa première tentative perd dans 80 % des cas. D'où l'intérêt de mettre un tireur efficace dès le début de la séance. L'élimination du Brésil par la Croatie (1-1, 2-4 aux t.a.b.) sans que Neymar, placé en 5e tireur, puisse se présenter face au gardien de but adverse, a relancé ce débat. Dans l'histoire de la Coupe du monde, près de la moitié des équipes perdantes (16/35) ne sont même pas allées jusqu'à leur cinquième tentative. Le chiffre s'est ancré dans l'esprit de l'entraîneur du PSG Christophe Galtier qui glissait vendredi dernier en conférence de presse : « A mes yeux, le meilleur ne doit jamais être le cinquième car parfois il ne tire pas. Il y a un ordre à respecter et ceux qui ont le plus de qualité et de cran doivent être vraiment au coeur de la série. »
Un duel d'abord psychologique
S'il a avoué une certaine impuissance après l'élimination de Rennes en Ligue Europa face au Chakhtior Donestk (2-1, 4-5 aux t.a.b.), Bruno Genesio a néanmoins exposé en même temps ce qui a semblé lui échapper : « Lorsque vous arrivez au bout de 120 minutes de jeu avec la pression pour se qualifier, ce n'est plus seulement un exercice technique. Sinon, pourquoi Maradona, Platini ou d'autres très grands joueurs en auraient raté ? Ça devient un exercice mental. » Là encore, l'histoire de la Coupe du monde est le meilleur révélateur : 73,9 % des penalties accordés pendant les matches ont été convertis (17/23) mais le taux de réussite a plongé lors des séances de tirs au but (63,4 %).
On est là au coeur de l'analyse de Geir Jordet où l'enjeu psychologique concerne aussi bien la gestion de son équipe, que le duel gardien - tireur. En prenant l'exemple de la dernière finale de la Cup remportée par Liverpool contre Chelsea (0-0, 6-5 aux t.a.b.), le Norvégien explique : « Tuchel (entraîneur de Chelsea) a interrogé ses joueurs sur qui devait tirer, devant toute l'équipe. Cela représente une grosse pression collective quand c'est fait de cette façon et la probabilité d'avoir des réponses honnêtes des joueurs se réduit. Cela crée du stress supplémentaire. »
Après la finale de la Coupe du monde, il a détaillé comment le gardien de but argentin Emiliano Martinez avait utilisé toute sa malice (ou son vice) pour saper la concentration des tireurs français : ballon lancé loin du tireur, demandes de vérification répétées à l'arbitre, célébration extravagante dès le premier arrêt, provocation adressée au tireur. Le « Machiavel du football », résume Jordet en parlant du gardien qui était déjà entré dans le cerveau des tireurs colombiens à la Copa America ou dans celui de Bruno Fernandes en Premier League.
L'exemple peut sembler extrême et irritant (« faire l'idiot dans le but, déstabiliser ostensiblement l'adversaire en jouant avec la limite, je ne sais pas le faire. Je suis trop rationnel, trop honnête », dira Lloris) mais il illustre parfaitement ce qu'a observé Jordet en compilant les séances : après une célébration intense, la réussite du joueur suivant de l'équipe baisse de 10-15 % ; un tireur qui attend le ballon avant sa frappe verra sa chance de marquer tomber d'au moins 20 %. Selon CNN, l'IFAB, l'institution qui fixe les règles du jeu, chercherait à préciser ce que les gardiens de but peuvent vraiment faire dans ce cas.
Une préparation impossible ?
Si la dimension technique du geste cède face à l'enjeu psychologique, le rôle de l'entraînement est évidemment relatif. « J'estime que tirer des penalties à l'entraînement en toute décontraction et en match avec une énorme pression, ça n'a rien à voir », disait Didier Deschamps lors de l'Euro 2016. Mais certains entraîneurs ont exploré quelques pistes pour préparer les joueurs à un contexte rare : à l'Euro 1976, les Tchécoslovaques s'exerçaient à tirer au milieu de cris de supporters diffusés par des enceintes avant de s'offrir l'Allemagne en finale (2-2, 5-3 aux t.a.b.) ; à la veille du quart de finale de Coupe du monde 2002 remporté contre l'Espagne (0-0, 5-3 aux t.a.b.), le sélectionneur de la Corée du Sud avait demandé à ses joueurs de marcher du rond central jusqu'au point de penalty avant de tirer.
Avant le Mondial 2018, le sélectionneur Gareth Southgate avait voulu rompre la malédiction de l'Angleterre en anticipant au maximum le nom et l'ordre des tireurs : cela lui avait souri contre la Colombie. Trois ans plus tard, le plan rationnel du coach anglais se fracassait en finale de l'Euro contre l'Italie (1-1, 2-3 aux t.a.b.). « Il est impossible de dupliquer à 100 % les conditions de la compétition à l'entraînement, mais vous pouvez essayer de le faire à 80 % », résume Lyttleton. Pour le reste ? « Je pense qu'il y a un aspect chance plus important que ce que la plupart des gens voudraient admettre », reconnaît Jordet, interrogé par The Athletic. Le pure player rappelle d'ailleurs que la France avait éliminé le Brésil (1-1, 4-3 aux t.a.b.) au Mondial 1986 grâce notamment à un tir au but de Bruno Bellone qui s'était écrasé sur le poteau avant de rebondir sur le dos du gardien de but brésilien et de finir au fond des filets. Digne d'une victoire à la loterie.
publié le 7 mars 2023 à 11h36mis à jour le 7 mars 2023 à 14h31
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Sur le fait d'être ''derrière le ballon'' oui on peut penser qu'il est derrière....si on considère les pieds de Ben Yedder, par contre si on considère son buste, c'est beaucoup moins sûr.
I said I've got a penchant for smokes and kicking douches in the mouth.
Sadly for you my last cigarette's gone out. IDLES
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Parfait ce nul entre Lille et Lyon
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Oui, nickel. Lille a quand même de grosses failles défensives, ça fait plusieurs fois qu'ils craquent total en ayant un large avantage. Heureusement que l'arbitre a accepté son erreur incroyable sur le dernier péno bidon...
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C'est quand même extrêmement rare de voir le var juger qu'il y a erreur manifeste de l'arbitre, trop rare pour que cela soit sincère. Ce soir cela a été fait et bien fait, de la part du var comme de la part de l'arbitre. Il faut le saluer, surtout que cela peut changer des choses sur la course à l'Europe.
Concernant Lille effectivement ils ont Diakité, Djalo, Ismaily blessés. Et Fonte qui semble montrer de plus en plus de signes de baisse de régime dûe à l'âge. Aujourd'hui ils jouaient avec Yoro 17 ans en DC. Ça peut avoir son importance pour cette fin de saison.
Dernière édition de: Roddick (11-03-2023 00:34:07)
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C'est "rare" (entre guillemets car j'aurais pas du tout utilisé un terme aussi fort) car faut vraiment, encore une fois, que l'erreur soit manifeste. Là, par exemple, Le mec le touche pas donc erreur manifeste, sans soucis mais en soi, les arbitres font pas souvent des erreurs manifestes, un arbitre sifflera, parfois non.
Quand y a "faute" pour nous, faut donc vraiment espérer que l'arbitre siffle péno direct avec espoir que l'erreur soit pas manifeste.
Par contre, faut m'expliquer ce qui passe par la tête de Lacazette sur son geste du bras. Heureusement, il se rattrape exceptionnellement bien ensuite.
On peut mettre Lille à 3 points, encore une fois.
Grig is God - 11 pts -- 10e -- 9/34 - A looser is a loser who can't spell loser - ❤ 27 avril 2019 ❤
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Par contre vu le moment où il a été appelé, genre 2 secondes avant que le péno soit tiré, je suis persuadé que dans certains cas ils ont pas le temps de se décider au Var et du coup l'action se poursuit et rien ne se passe.
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Il lui met la main sur l'épaule. Y a des arbitres pour qui ça suffit pour siffler péno. Mais en l'occurrence, ça aurait été vraiment exagéré. Bravo la VAR et l'arbitre. Perso, c'est la première fois que je vois ce cas de figure.
Dernière édition de: Majac (11-03-2023 10:01:47)
Tant qu'il y a de l'espoir, il y a de la vie.
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Puis c’est souvent difficile d’accepter de s’être trompé. En l’occurrence l’arbitre a accepté son erreur et est revenu dessus, c’est à saluer
Et ça nous arrange bien !
Dernière édition de: Khry (11-03-2023 13:09:56)
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En 2023,un arbitre fait qqch de bien avec la Var et ça surprend tout le monde...on avance doucement....
Sinon siffler des penaltys pour une faute dans la surface alors qu'il n'y a aucun danger de but, c'est une injustice et ça arrive souvent comme à Donetsk. Un coup franc serait plus approprié...
Allez Rennes for ever
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Les supporters Angevins s'enfoncent dans le trou
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Maintenant on se fait aussi niquer avant les matches puisque Mbappé n'a pas reçu le rouge qu'il aurait dû avoir.
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Dur pour Brest qui est battu mbappé alors celui-ci méritait l'expulsion 3 minutes plus tôt..Dommage ça nous aurait bien arrangé, bon j'espère que cette victoire va les rendormir qqpeu mais sans mbappe on avait une vraie chance....
Allez Rennes for ever
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Vu notre match contre Auxerre m'étonnerait qu on ait une chance
Actuellement , il est clair que n'importe qui peut nous battre.. on ne respecte pas le football en y mettant pas les ingrédients nécessaires (intensité, vitesse, grinta, envie etc etc...) ça marche trop et c'est lent, sans créativité etc etc.. enfin tout le monde l'a vu.
2023-2024 : équipe mal constituée, trop de manques, pas assez d'envie, manque d'idées offensives, pas de refus de la défaite, le #tout donner a laissé place au #abandonner .. un beau gâchis ou comment ruiner les 5 dernières années en un Mercato inégal. GACHIS oui.
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