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Directeur général ou simple responsable du recrutement? J'avoue ne pas bien saisir la nuance. Le poste de Dréossi ne devait il pas être supprimé? Buisine serait alors le nouveau patron du club non?
Oui et non.
Recrutement et formation.
Pouvoirs sportifs étendus pour l'entraîneur (dont formation), et administratif/finance gérées par Tomine.
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ce ne sera pas au même poste que Dreossi. L'article raconte juste n'importe quoi .
Quoi de plus doux que la caresse de l'eau brulante sur mon corps harassé?
Celle emplie de tendresse d'une femme voulant se faire aimer?
Mais l'eau elle, ne trahit jamais...
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D'accord merci à vous deux. ça semble être une bonne répartition des attributions en espérant que la relation Buisine-Montanier fonctionne bien, que le premier soit à l'écoute du second.
Dernière édition de: Mostovoi35 (24-06-2013 11:43:22)
de rien
je pense que ca se passera bien. Il travail tous les deux avec les jeunes. Donc déjà c'est le principale
Quoi de plus doux que la caresse de l'eau brulante sur mon corps harassé?
Celle emplie de tendresse d'une femme voulant se faire aimer?
Mais l'eau elle, ne trahit jamais...
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Depuis la sortie du fameux article de L'Equipe, tout le monde s'astique sur le coup de poing sur la table de Pinault pour le blocage de Pantacourt Man, mais personnellement, ce qui m'a le plus attiré l'attention, ce sont les dernières phrases.
Le journaliste confirme que Rampillon est complètement mis de côté dans l'organigramme du club et que c'est Yannick Menu qui prend les décisions. Le départ de Dréossi n'aurait rien changé là-dessus.
J'ai une confiance très limitée envers les "infos" qui sortent de l'Equipe (c'est souvent du flan), mais c'est une annonce qui me semble beaucoup plus importante que l'éventuelle arrivée ou départ d'un joueur. Et cela semble recouper les infos d'autres canaux.
Ne connaissant pas Yannick Menu, je suis incapable de juger si c'est une bonne ou une mauvaise nouvelle. Ce serait chouette de savoir ce que cela changerait, concrètement, pour la politique de formation.
[sub](je lance une bouteille à la mer, là... si quelqu'un de bien informé passe par là... )[/sub]
Difficile de rester humble quand on est aussi génial que moi
Jean-Pierre Melville
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Je crois que Boris avait déjà répondu à cette question il y a quelques semaines et que selon lui ça ne changeait pas grand chose qui était tout en haut de l'échelle...
Rennes, je t'aime !!!
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Menu est réputé pour être un bon formateur mais, l'homme a l'air peu apprécié...
Après, ce n'est que ma vision des choses !
Connaissant un peu le personnage pour l'avoir eu un coach et entendre des choses en plus à son sujet qui confirment ce que j'avais pensé, cela me surprendrait énormément de le voir rester longtemps à ce poste car c'est plus un entraineur qui mise sur la puissance physique que sur la qualité technique... Il allait très bien avec le duo Anto-Dréo...
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Jonathan Isambart c'est toi ?
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Il est porté disparu donc n'oubli pas de prévenir le Fbi Romain si tu le vois ^^.
Succulent, comme à son habitude.
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le FBI l'a retrouvé dans la chaussure de Big Shak!! Il était coincé et n'arrivait pas à sortir
We have been considered many things: A city in decay, a city in distress and without hope.
However we have never given up and we never say die. We are born fighters, we rise from the ashes. We are a community that believes in our future despite whatever anyone throws against us.
WE ARE DETROIT!
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Depuis la sortie du fameux article de L'Equipe, tout le monde s'astique sur le coup de poing sur la table de Pinault pour le blocage de Pantacourt Man, mais personnellement, ce qui m'a le plus attiré l'attention, ce sont les dernières phrases.
Le journaliste confirme que Rampillon est complètement mis de côté dans l'organigramme du club et que c'est Yannick Menu qui prend les décisions. Le départ de Dréossi n'aurait rien changé là-dessus.
J'ai une confiance très limitée envers les "infos" qui sortent de l'Equipe (c'est souvent du flan), mais c'est une annonce qui me semble beaucoup plus importante que l'éventuelle arrivée ou départ d'un joueur. Et cela semble recouper les infos d'autres canaux.
Ne connaissant pas Yannick Menu, je suis incapable de juger si c'est une bonne ou une mauvaise nouvelle. Ce serait chouette de savoir ce que cela changerait, concrètement, pour la politique de formation.
[sub](je lance une bouteille à la mer, là... si quelqu'un de bien informé passe par là... )[/sub]
Ouaip LEC, je me posait la même question, d'où mon avatar.
Ca me parait bien plus intéressant que de savoir si Aless est une ordure faut le vendre ou si Aless est une ordure mais qu'il faut le garder. Ou que feuilleton estival quel nom pour le stade.
"Comment diable un homme peut-il se réjouir d'être réveillé à 6h30 du matin par une alarme, bondir hors de son lit, avaler sans plaisir une tartine, chier, pisser, se brosser les dents et les cheveux, se débattre dans le trafic pour trouver une place, où essentiellement il produit du fric pour quelqu'un d'autre, qui en plus lui demande d'être reconnaissant pour cette opportunité ?"
Bukowski
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C'est donc officiel.
Jean-Luc Buisine quitte bien Monaco pour rejoindre Rennes comme directeur du recrutement. Le contrat à durée indéterminée qui le liait au club de la Principauté depuis l'été 2011 a été résilié ce mercredi. L'EQUIPE
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Est ce que vous pensez qu'il sera présenté devant les journalistes dans les semaines à venir? J'aimerais bien l'entendre, voir la vision qu'il a de notre club et comment il compte fonctionner avec Montanier.
Mais je ne suis pas sur qu'un responsable du recrutement s'adresse à la presse...
On n'a plus qu'à attendre les bonnes nouvelles et rapides de Mr Buisine
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C'est un responsable du recrutement version haut de gamme donc possible qu'il ai la possibilité de s'exprimer devant la presse. Nous serons rapidement fixé dans tous les cas.
Pas plus qu'un autre.
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Je me suis amusé à analyser le recrutement lillois, lorsque Buisine était présent au club. On se rend compte que notre nouveau directeur du recrutement a pas mal de liens en Amérique du Sud, ainsi qu'au Bénélux et dans les Balkans.
En faisant un comparatif des prix d'achats et des prix de ventes, on se rend compte qu'il a souvent tenté des paris chers et peu fructueux (Costa, Lyng, Maric, Tahirovic, Yanes,...). Cependant, il a réalisé quelques jolis coups, avec des joueurs gratuits (Audel, Rami, Tavlaridis,...) ou des joueurs achetés, mais très bien revendus (Bastos, Bodmer, Odemwingie,...).
À travers tout ça, on peut voir que Jean-Luc Buisine sait très bien recruter mais, il a un peu plus de difficultés à vendre les joueurs qu'il a acheté, même si certains coups sont inoubliables !
Il connait son job ce mec alors qu'il recrute et qu'il revende bien c'est tout ce qu'on lui demande, d'excellents joueurs achetés et d'excellentes reventes de notre "stock"
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Non, ce n'est pas lui mais, un des observateurs du centre de formation lillois !
Première grosse information dans Ouest France sur Montanier ce matin : il a des goûts de chiotte.
Etudiant, il roulait en diane rouge
Et OF dit quoi d'autre ?
Galette saucisse je t'aime, j'en mangerais des kilos et des kilos!!!!!!!!!
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Pas grand chose. Le portrait d'un mec bien sous tout rapport avec des goûts de chiotte qui se barrent quand il a envie des clubs où il est en prévenant à la dernière seconde.
Philippe Montanier, entre simplicité et maîtrise
Stade Rennais. Ce lundi à 9 h, au centre de La Piverdière, les joueurs vont rencontrer leur nouvel entraîneur pour la première fois. L'occasion de découvrir un peu plus qui est Philippe Montanier. Portrait.
Montanier, l'étudiant en Diane rouge
Le football, Philippe Montanier le découvre à Pacy-sur-Eure puis à La Madeleine d'Évreux. Le premier choix de sa jeune carrière. « C'est la première marche qu'il a franchie, se souvient Philippe Leclerc, 55 ans, ancien gardien de but de la Madeleine d'Évreux. La première année, il avait 16-17 ans, il a joué en équipe réserve mais on se tirait la bourre aux entraînements. La deuxième saison, il est devenu titulaire en D3. Depuis on se voit régulièrement, la dernière fois, il était revenu de Valenciennes pour les 90 ans d'André Corbeau, notre entraîneur de l'époque. Ce qui me frappe, c'est que c'est toujours le même qu'à l'époque. Calme, posé, respectueux, quelqu'un qui sait d'où il vient ».
Eric Blahic, l'entraîneur adjoint d'En Avant de Guingamp, « un vrai pote » des années étudiantes, confirme. « On a passé nos quatre années de Staps à l'Ureps de Caen ensemble, se souvient celui qui était aussi gardien de but. À l'Université, je jouais les matches de qualification. Tanier, son surnom de l'époque, jouait les phases finales. Vu la différence de talent, c'était normal. »
Depuis cette époque où Philippe Montanier roulait « en Diane rouge », les deux hommes sont restés proches. « Philippe a toujours eu un truc en plus. Un charisme naturel qui en faisait un leader sur le terrain mais aussi en dehors. C'est quelque chose de naturel chez lui. Charmant, avenant, c'était aussi un ambianceur hors pair. » Il y a quelques années, lors du mariage d'Eric Blahic dans les Côtes-d'Armor, Philippe Montanier avait été fidèle à lui-même. L'hôtelier de Lanvollon s'en souvient encore.
« Il sait déléguer, s'entourer »
Cette façon de mettre l'ambiance, Philippe Montanier sait aussi s'en servir dans son métier. « Il sait d'où il vient, mais aussi où il va. Pourtant, il ne voulait pas être entraîneur, se rappelle Eric Blahic. Je me souviens que son mémoire en licence portait sur la reconversion des joueurs professionnels. Lui se prédestinait plus à l'encadrement, la gestion d'un club professionnel. »
Un poste qu'il n'occupera que quelques mois après sa carrière à Caen en tant que directeur administratif. Pour Eric Blahic, « ce sont les circonstances qui ont fait que ». La rencontre avec Robert Nouzaret va être déterminante. « J'ai deviné son côté technicien, raconte l'ancien sélectionneur de Côte d'Ivoire et entraîneur de Toulouse et Bastia, où il a embarqué Montanier comme adjoint. C'est un gars calme, loyal, honnête et simple. »
Mais lorsque Nouzaret rejoint Montpellier, le club héraultais ne veut pas de son staff. Montanier décide de se lancer. Avec humilité, il prend en main le club de Boulogne-sur-Mer en CFA. « Il aurait pu, au regard de sa carrière, viser beaucoup plus haut tout de suite, note Jacques Wattez, le président de Boulogne. Mais il sait ce qu'il veut et où il veut aller. Gros travailleur, il se donne les moyens de réussir. Il a aussi une grosse qualité, il sait parfaitement déléguer et s'entourer. »
Ce fut le cas au coeur du premier port de pêche français avec Hubert Fournier, aujourd'hui à Reims et surtout Michel Troin, son adjoint. Avec, à la clé, l'ascension du club de CFA à la Ligue 1 en quatre ans ! « Lorsqu'il est parti, je ne m'y attendais pas. On s'est retrouvé en L1 devant une page blanche... »
L'annonce de son départ, Philippe Montanier l'a faite au soir de la dernière journée de L2. En pleine fête pour la montée. Comme il a pu le faire depuis à Saint-Sébastien ou deux ans plus tôt à Valenciennes. « On venait de se faire lâcher par Antoine Kombouaré, raconte Francis Decourrière, l'ancien président de VA. Lorsque j'ai appris que Montanier était en fin de contrat à Boulogne, je l'ai appelé, on a discuté, et le tout s'est réglé en une journée ! » C'était la veille de la fameuse dernière journée de L2 et de la montée de Boulogne.
« Le meilleur recrutement de Rennes »
Avec quelques années de recul, Jacques Wattez, le président boulonnais fait contre mauvaise fortune bon coeur. « Il a eu l'élégance de laisser sa prime de montée. Nous n'avons jamais été fâchés, mais je reconnais que j'ai eu du mal à accepter son choix. Depuis, le parcours de Philippe Montanier plaide pour lui. Et j'espère bien que cela va continuer à Rennes. Car ce club le mérite. Et je pense que Montanier a tout ce qu'il faut pour faire progresser le Stade Rennais. »
C'est aussi le sentiment de Francis Decourrière, à Valenciennes, qui garde beaucoup d'affection pour son ancien entraîneur. Pourtant lui aussi a dû faire face à un choix de son technicien après deux ans à la tête du club. « Son choix de partir vers l'Espagne, ça nous a surpris, raconte Decourrière. Mais passé le coup de la déception et surtout lorsqu'il a expliqué les raisons de son choix, les données étaient claires. Comme toujours avec Montanier. Franchement, vous allez découvrir un gars bien. Aux antipodes de son prédécesseur à Rennes. Le club vient sans doute de faire le meilleur recrutement français de la saison. En plus, avec la nouvelle organisation qui se met en place, le centre de formation, l'arrivée de Buisine, l'un des recruteurs français les plus performants, tout est réuni pour réussir. »
« Lui donner du temps »
Mais comme Jacques Wattez (Boulogne), Francis Decourrière prévient. « On lui souhaite de réussir tout de suite. Mais il faudra sans doute un peu de temps pour mettre en place son projet. Son 4-3-3 demande à être assimilé par les joueurs. »
C'est aussi l'avis de Richard Gotte, journaliste à la Voix du Nord, qui a côtoyé Philippe Montanier pendant deux ans : « C'est un homme intelligent, un entraîneur moderne. Lorsqu'il est arrivé dans le Nord, il y a eu une vraie rupture avec le système Kombaouré. Le jeu est devenu séduisant très vite même si les cinq premiers matches n'ont pas été bons en terme de résultat. Il a fallu un temps d'adaptation aux joueurs. »
Ce temps d'adaptation sera sans aucun doute nécessaire également à Rennes où le groupe va trouver un entraîneur aux méthodes forcément différentes de celles d'Antonetti. « Son projet est basé sur des entraînements très variés mais toujours avec ballon même pendant la préparation d'avant-saison, poursuit Richard Gotte. Les joueurs s'éclatent avec lui. Ils progressent et le club aussi. »
Les trois expériences précédentes à Boulogne, VA ou Saint-Sébastien le confirment. « Autre point important, selon notre confrère nordiste, la communication. En interne comme en externe. Là aussi, il maîtrise parfaitement l'exercice. C'est impossible de se fâcher avec lui... »
Pourtant, Philippe Montanier peut aussi « avoir les mâchoires qui se serrent et les joues qui se creusent ». Deux rictus synonymes chez lui d'une « colère sourde et froide » selon un proche. « Un signe qu'il va y avoir de la limonade ! » Preuve, s'il en fallait, que derrière la façade, tout en simplicité et en maîtrise, l'homme dispose d'un fort tempérament. Mais le Normand qu'il est ne l'exprime pas à grands coups d'effets de manche, ni à grand renfort de tambours et trompettes. Encore moins avec des hurlements. C'est vraiment une nouvelle ère qui s'ouvre ce matin au Stade Rennais.
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