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interview de Leroy:
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Football Rennes
Leroy : « Les Bleus, cest verrouillé à double tour »La rédaction - After Foot (G. Brisbois) - RMC, le 21/09/2009
Inclassable, Jérôme Leroy, le milieu de terrain du Stade Rennais âgé de 34 ans sest longuement confié sur son club, son parcours et sa vision du football.
Leroy et le Stade Rennais
« Il est encore un peu tôt pour savoir si Rennes va enfin remporter un titre. On est plus constant dans le jeu. Jespère quon va atteindre notre objectif qui reste la quatrième place. Avec Frédéric Antonetti, on est face à nos responsabilités. A lentraînement, on fait beaucoup de jeux et pratiquement pas de physique. Tous les joueurs rêvent de ça. Pour linstant tout va bien avec lui. Nous navons pas encore eu droit à des remontrances. Le coach colle parfaitement à lidentité du Stade Rennais. On pratique un beau football. Le club grandit. Je le vois à sa façon de communiquer et de fonctionner. Léquipe a une identité : elle joue bien au ballon. Avant cest le FC Nantes qui avait cette identité. Depuis deux ans, il y a aussi de très bons jeunes. Avec les recrues, ça bouchonne un peu. Cette année, on va être agréablement surpris. Cest le moment pour certains dêtre lancés dans le grand bain. »
Leroy et le public rennais
« Il est connaisseur. Quand il y a du beau jeu, il est présent et applaudit. Les publics chauds, cest bien dans les bons moments, mais dans les mauvais, les joueurs détestent ça. Les fanatiques sont fous de leur équipe, et quand ça ne va pas, ils sont déglingués. Au final, je préfère avoir un public tempéré. Les résultats seraient-ils là si on avait un public bouillant ? Je ne sais pas. »
Leroy et léquipe de France
« Le niveau est très élevé en équipe de France. Ce nest pas une équipe de foot. Les joueurs ne se voient pas souvent. Il ny a pas de réelle complicité. Cest difficile. Ce qui me déçoit, cest quon ne peut pas dire ce quon pense, même si en club ça devient difficile. Mais chez les Bleus, cest verrouillé à double tour. Raymond Domenech ? Je ne le connais pas, donc je ne me permettrais pas de le juger. »
Leroy, le rebelle
« Moi, rebelle ? Lorsquon débute une carrière, on vous colle une étiquette. Au début, je ne voulais pas en jouer. Mais quand jai vu que jaurais cette étiquette à vie, là oui, jen ai joué, notamment dans les moments difficiles. Tout le monde me prenait pour un fou alors je faisais le fou. Avec mes entraîneurs, cest donnant-donnant. Lorsquon me donne des responsabilités, je suis prêt à aller au feu. Quel est lentraîneur qui ma fait le plus « pleurer » ? Alain Giresse, au PSG, parce que jétais jeune. On navait pas la même vision. Son discours ne passait pas. A cette époque, je nécoutais pas trop. Je ne faisais confiance en personne. Il fallait gagner sa place. Jétais là pour prendre celle dun vieux. Cest rare que quun joueur soit venu pour me dire ce que je devais faire. Tout le monde parle dun sport collectif, mais selon moi le football est un sport individualiste. Aujourdhui, je regrette de navoir pas plus écouté les anciens. Je conseille les jeunes. Dans le football actuel, ils ont tout : le physique, la technique. Moi je navais pas ça. Aujourdhui pour réussir il faut savoir écouter. Jai déjà eu envie de corriger quelques uns de mes jeunes partenaires. Le dernier ? Yann MVila. Cest une révélation. Il a dénormes qualités. Il faut quil prenne conscience quil peut devenir un joueur important. Mais même moi, jessaie encore de me corriger ! »
Jérôme Leroy, sa vision du football
« Mon idée du foot, cest celle que jai depuis que je suis petit, cest jouer et prendre du plaisir. Ça sest dégradé à cause des enjeux financiers. Si on les mettait un peu de côté, il y aurait peut-être un peu plus de spectacle. Jai appris avec tous mes entraîneurs. Avec Vahid Halilhodzic aussi même si ça ne sest pas bien passé avec lui. Il était là pour briser tout le monde mentalement. Si on ne répond pas, on devient un joueur quelconque. Mais si on passe ça, on peut jouer nimporte où et avec nimporte quel entraîneur. Mais pour cela, il faut oser, avoir du caractère, des choses que pas mal de joueurs nont pas. »
masters we have none, heavy metal is the only one (Kai Hansen)
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Du Leroy pur jus, comme on l'aime.
"C'est la première fois qu'on reçoit Dieu dans Le Grand Journal." Michel Denisot, à propos de Prince, 14 octobre 2009
"Vous disiez que Schwarzie a une meilleure carrière que vous, je pense qu'il ne s'aligne pas une seconde. C'est une star, vous êtes un mythe. Y a pas photo." Léo Haddad (Technikart), à Sylvester Stallone
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C'est sur que cette saison il se régale sur le terrain et nous avec comme sa passe aveugle a Fanni sur le premier but a Grenoble, les techniciens de grande classe sont rares en L1 malheureusement... pour le moment J.Leroy est supérieur aux Sessegnon, Lucho Gonzalez.
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Quoique sa passe décisive à Cissé samedi soir
L'éternel revenant
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C'est clair que Leroy il regale en ce moment, mais il va bientôt commencer à faire froid, Leroy & l'hiver ...
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Oui Lucho est très fort techniquement aussi.
Et Sessegnon c'est un tout autre genre, rien à voir. On peut pas comparer ces deux joueurs.
Moi je suis Edson André Sitoe, mais toi t'es qui putain ?
Twitter : @Martin_Chois
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C'est clair que Leroy il regale en ce moment, mais il va bientôt commencer à faire froid, Leroy & l'hiver ...
L'éternel revenant
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Bon benh vive le rechauffement climatique alors! ^^
Sinon Gus, Sessegnon au niveau de la technique c'est quand même pas mal non plus, le meilleur dribleur du championat pour moi. Mais c'est vrai que ce n'est pas vraiment le meme type de joueur. Si il pouvait éviter ses pétages de cables..
Dernière édition de: topher35 (22-09-2009 20:22:52)
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Leroy brille plus par son jeu instinctif et la précision de ses passes. Sessegnon je le vois plus comme un dribbleur, beaucoup plus vif et physique que Leroy.
Physiquement déja ça se voit. Leroy n'a pas les cuisses de Sessegnon!
Moi je suis Edson André Sitoe, mais toi t'es qui putain ?
Twitter : @Martin_Chois
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C est dans sa précision de passes courtes et ses dribles courts que Jérome fait la diff. Pour moi il n'y a pas meilleur en L1. Mais lucho a une palette plus large et est plus physique.
Enfin sessegnon est incomparable, il percute beaucoup plus et est très physique.
Mais anto utilise a merveille Leroy. S il n'a pas de coup de mou, ce qui est cependant peu probable, nous allons nous régaler, notamment a domicile.
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Leroy est énorme, c'est sur, mais ma crainte c'est si Leroy a un coup de mou dans le championnat... Est ce que l'équipe serait capable de se passer de ce joueur? Bien évidément, il apporte énormément, et on peut pas s'en passer aujourd'hui, mais lorsqu'il aura un coup de mou, comment l'équipe se débrouillera-t-elle? Les résultats seront-ils toujours là?
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On pourra toujours faire passer Marveaux dans l'axe et faire rentrer un joueur à gauche.. mais j'espère que Leroy sera au top une grande partie de la saison
#ToutDonner
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Effectivement Marveaux apporte beaucoup aussi. Peut-être autant que Leroy (j'en sais pas trop, jpeux plus suivre les matchs depuis que je suis parti de Rennes). Faut espérer maintenant qu'on en ais toujours au moins un des deux en forme durant toute la saison.
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c'est clair que cette année avec leroy et marveaux c'est le toppppp!!!
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la bonne nouvelle après ce match de coupe de la ligue c est que l on a enfin vu un onze de départ sans fabien lemoine, et ça ça fait un bien fou!!!
ceux qui le disaient, a tort indispensable en sont pour leurs frais...
"Vous pouvez me donner un Ronaldo gros, ivre, quelle que soit sa condition, je le prendrais toujours dans mon equipe."Diego Maradona
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(dsl j'ai pas l'habitude du monosmiley mais la )
When I'm walking a dark road
I am a man who walks alone...
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Bodaldinho dis tes arguments ?
Lemoine n'a pas toujours été énorme mais moi je le trouve bon et il fait un assez bon début de saison en plus.
"Le supporter voit ça comme un refus de jouer, mais indéniablement, cette passe vers l'arrière, c'est le début d'une nouvelle attaque"
Marcelo Bielsa
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Je vous invite à lire sa prose:
http://forum.stade-rennais-online.com/s … 1602513471
Bon, j'ai pas tout lu, hein. C'est rigolo au début mais ça devient vite chiant.
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Personne n'est indispensable, mais l'on vit bien avec lui .. Qu'est-ce qu'il t'a fait ?
C'est comme toutes les critiques qui étaient adressées à Danzé .. elles étaient exagérées ou injustes ..mais maintenant,il ne faut pas non plus en faire un futur joueur de Barcelonne.
Ces 2 joueurs ont été formés chez nous, ils sont bons et Bretons et donnent leur maximum..
C'est le principal, mais ce n'est que mon Humble Avis !!
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le probleme c est qu a un moment donné si on veut franchir un vrai palier, il faut que fabien lemoine laisse sa place de temps en temps a quelqu un qui apporte plus offensivement, je ne lui reproche rien. tous les joueurs le chambraient l annee derniere en le surnommant le fils de lacombe, ce meme lacombe qui ne le faisait jamais tourner. je suis ravi qu avec fredonetti il en soit autrement
"Vous pouvez me donner un Ronaldo gros, ivre, quelle que soit sa condition, je le prendrais toujours dans mon equipe."Diego Maradona
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Je vous invite à lire sa prose:
http://forum.stade-rennais-online.com/s … 1602513471
Bon, j'ai pas tout lu, hein. C'est rigolo au début mais ça devient vite chiant.
je trouve pas moi
c'est chiant dés le début
"Le stade Rennais, Frédéric Dard et Johnny Winter aussi"
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Football : M'Vila ne ratera pas toutes les occasions...
Yan M'Vila, 19 ans, est la révélation rennaise de la saison. : Philippe Renault
Ligue 1. Rennes - Auxerre (ce samedi, 19 h). À 19 ans, le jeune milieu de terrain confirme tout le bien que ses formateurs pensaient de lui.
Il avait crevé l'écran, il y a deux ans en finale de Gambardella au Stade de France. Par sa lourde frappe de 25 m, certes, mais aussi par la maturité physique et technique qu'il dégageait à son âge.Ces dernières années, lorsqu'ils évoquaient la nouvelle génération rennaise, les observateurs avisés et consultants patentés des chaînes de télévision, évoquaient essentiellement Damien Le Tallec. Le frère de son frère enquillait les buts chez les jeunes et attirait tous les regards. Pourtant, au sein des formateurs du club rennais, on préférait citer Yann M'Vila.
Lors de l'arrivée de Guy Lacombe, en 2007, quelques-uns promettaient d'ailleurs à l'Amiénois des apparitions dans le groupe pro en fin de saison. « Il a déjà le gabarit de la Ligue 1, c'est lui le plus prêt » confiait, à l'époque Patrick Rampillon, patron du centre. Et, pourtant dix-huit mois plus tard toujours rien sur le CV. Pas la moindre petite apparition chez les pros.
Désir d'avenir... ailleurs
« On m'avait promis que je serais un peu plus dans le groupe l'an passé et ça ne s'est pas fait, donc j'ai été déçu, et j'ai perdu confiance en moi » confie aujourd'hui le Rennais.
À 19 ans, comme presque tous les joueurs de son âge, l'impatience le mine. Au point d'avoir imaginé partir ? « Oui, un peu. En fin d'année, je ne savais plus quoi faire. J'ai cru que Rennes ça ne servait plus à rien, je voulais partir en prêt. Je ne pensais pas que la Ligue 1 serait pour moi tout de suite vu que je ne m'entraînais même pas avec les pros ».
Il ne le cite pas, mais il pense fort à Guy Lacombe. « Monsieur Dréossi m'a dit d'attendre. Qu'il y aurait un nouveau coach et que tout le monde aurait sa chance. Il m'a dit certaines choses, et il l'a fait, donc j'ai retrouvé confiance. » Sept autres jeunes du groupe espoir partent s'aguerrir en Ligue 2, voire, chez un promu de Ligue 1 (Dembélé). Lui, reste dans le groupe pro : un signe.
Sa première apparition a lieu dans la chaleur étouffante de Nice. Onze minutes. Puis, pour pallier à l'absence d'Inamoto, suspendu, Antonetti le titularise au match suivant pour la venue de Marseille. Gros match, sans complexe. Juste le temps d'observer Niang, qui l'impressionne un peu, et de pouvoir se frotter à Stéphane Mbia à qui il est appelé à succéder.
Car c'est bien ce que l'on attend de lui : apporter son impact athlétique aux côtés de Fabien Lemoine, ou d'un autre. « M. Dréossi m'a beaucoup parlé. Il m'a demandé d'être agressif, de montrer mon caractère. Pas jusqu'à prendre des rouges, non plus, dit-il en riant. Mais d'être un peu comme Stéphane Mbia... Par exemple, si je vais au contact, il faut que l'adversaire n'ait pas envie de revenir une 2e fois. Il faut qu'on ait peur de moi, en gros... » Pour le moment, ceux qui peuvent craindre quelque chose de lui sont ceux qui risquent de perdre leur place...
Jacques GUYADER.
Ouest-France
Putin c'est juste magnifique d'être qualifié pour la finale maintenant jouer une finale n'est pas une finalité faut la gagner !
Chris Mavinga
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Au bon souvenir de Bruno Cheyrou...
Bruno Cheyrou, samedi à la sortie du tunnel d'un Stadium Nord qu'il connaît bien, à Lille. Après plus de deux mois d'absence, le milieu de terrain refait son apparition dans l'équipe.
Stade Rennais. Borduré à Rennes par Guy Lacombe, il a failli partir... à Monaco ! Finalement, Bruno Cheyrou est toujours là. Et positive...
Tiens, finalement, il est toujours là ! Pour un peu, on aurait oublié que Bruno Cheyrou était toujours rennais. Cela faisait un bout de temps qu'on ne l'avait vu à la conférence de presse d'avant-match, véritable baromètre de la cote de confiance auprès de l'entraîneur. « La dernière fois que je suis venu c'était l'année dernière. Alors profitez-en... »Son petit sourire en disait long, jeudi, sur son plaisir d'être devant la presse. Pas forcément pour se faire mousser, ce n'est pas le genre du bonhomme. Mais par bonheur de voir qu'il compte encore pour un peu plus que du beurre demi-sel.
Intelligent, fin, cultivé, Bruno Cheyrou ne parle jamais pour rien dire. En L1, il fait partie des meilleurs clients. Jamais vous ne l'entendrez ânonner des propos lénifiants...
Non ! L'aîné des frères Cheyrou a les mêmes qualités sur le terrain que devant un micro. Il voit le jeu. Il sent les coups. Même s'il a aussi parfois les mêmes travers, il est un peu lent à se mettre en route. Une fois lancé, par contre, ça peut régaler.
Il sait qu'on va l'interroger sur son statut de titulaire des remplaçants. Sur son avenir qu'on croyait bouché à Rennes. Sur ses relations avec Guy Lacombe, surtout.
D'abord en douceur. « Ces deux dernières saisons, vous avez bien compris que les dés avaient été un peu pipés. Et même si j'ai joué quelques matches (1), c'était difficile pour moi de faire ce que je voulais. »
Difficile avec Lacombe
Homme de base du système Dréossi-entraîneur (2), l'ex-Red de Liverpool a progressivement vu son influence décroître sous l'ère Lacombe. Le technicien aveyronnais, qui lui préfère Lemoine, joue au chat et à la souris. Le titularise parfois puis l'envoie en CFA dès qu'il baisse de régime.
Les critiques, parfois sévères, le touchent plus que les compliments. C'est humain. Difficile quand on a été sélectionné avec les Bleus, d'être appelé en réserve pour un déplacement à Plabennec. L'amour-propre en prend un coup.
« Le coach ne m'appréciait que modérément. Quand il devait faire appel à moi, il était bien content, mais dès qu'il pouvait se passer de moi, je n'étais plus là. Malgré tout, j'ai réussi à tirer mon épingle du jeu et à faire quelques matches, comme en Coupe de France où j'ai largement contribué à l'aventure, même si elle s'est mal terminée. » Celle avec le Stade Rennais aurait, aussi, pu s'arrêter là.
Il accélère. « Sans trahir de secret, j'ai passé un an et demi difficile avec Guy Lacombe. J'avais un peu perdu l'amour de l'effort, je ne croyais plus trop dans la justice dans le football, je ne vais pas philosopher... J'étais un peu dégoûté. C'est difficile à expliquer, de dire que vous n'avez pas forcément envie de venir à l'entraînement le matin, alors que vous faites un métier passionnant. Je suis professionnel, je fais mon job, même si des fois, c'est un peu compliqué. »
Et plus simple d'aller voir ailleurs, finalement. « J'ai eu cette possibilité, et c'est pour ça que les dirigeants ont anticipé mon départ, en faisant signer d'autres joueurs. J'ai eu des touches intéressantes, mais ça ne s'est pas fait ».
Des touches ? Où ça ? A l'étranger ? Aux Émirats ? Il en rigole encore. « A Monaco ! Figurez-vous que ça aurait pu. Mais il y a eu un changement de dernière minute (NDLR : départ de Ricardo, arrivée de Lacombe). Vous voyez à quoi ça tient une carrière ! Mon frère aussi a connu ça. Albert Emon s'en va, Gerets arrive... et hop, le voilà titulaire indiscutable. Moi, Guy Lacombe arrive et ce n'est pas tout à fait la même chose... Au final, je suis content de rester ici », assure ce golfeur émérite. Il n'est jamais sûr, en effet, que les greens soient plus verts ailleurs.
Jacques GUYADER.
Ouest-France
Putin c'est juste magnifique d'être qualifié pour la finale maintenant jouer une finale n'est pas une finalité faut la gagner !
Chris Mavinga
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Anto à propos de M'vila " Si je l'avais mieux connu on aurai pris un milieu de moins"
Confirmation si il en fallait une, que Inamoto & tettey on intérêt de sortir le grand jeu pour espérer jouer.
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Du coup çà va sûrement partir au marcato hivernal! Mais qui?
Cheyrou? M'Vila? Tettey?
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