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combien de club hors du "big four" peuvent se venter d'etre present à l'étranger?
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Je sais pas si le Webmaster li ce Forum mais respect!
Si si, il s'agit de von(L)anten.
Webmaster - Fondateur de Stade Rennais Online
Consultant référencement freelance à Rennes
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ha ouais tient.
Et Da Rocha a faire son malin il peut nous trouver un pays qui s'intéresse à une glorieuse passée, sans avenir?
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Je sais que pas beaucoup apprécie Pierrot le foot, mais pour info il vient de dévoiler son équipe type de la L1. Bilan:
3 Rennais,
2 Bordelais
2 Parisiens
2 Lyonnais
1 Lillois
1 Marseillais
On est l'équipe la plus représentée!!!
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Moi j'aime bien pierrot, c'est le seul qui me fait rire à 100%Foot.
Sinon je comprend pas pourquoi les médias se bornent à mettre deux attaquants dans l'équipe type.
Lorsqu'on a des ailiers de la qualité de Bastos et Sessegnon et un MOC comme Gourcuff, on peut laisser Benzema seul devant et plutot jouer avec deux récupérateur.
Sur le papier ça fait bien, mais en réalité l'équipe serait déséquilibré et Gourcuff n'aurait pas son rendement offensif véritable.
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Long article sur G.Lacombe dans l'Equipe ce jour .
VIVE LE STRESS RENNAIS
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On y apprend que G.Lacombe espère l'arrivée d'au moins deux joueurs offensifs cet hiver pour préparer la prochaine saison.
"Le monde se divise en deux catégories, ceux qui tiennent un pistolet chargé, et ceux qui creusent. Toi, tu creuses."
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pour preparer les departs de nino et de briand je pense
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Si le football se jouait à sept et sans gardien, comme au bas des immeubles, il n'y aurait pas l'épaisseur d'une feuille de papier à cigarette entre l'équipe idéale de la Ligue 1 selon les journalistes de L'Equipe et selon les internautes de lequipe.fr. Ces deux équipes-type du Championnat de France, que nous vous révélons ce samedi, ont en commun les joueurs suivants : Fanni, Cris, S. Diawara, Toulalan, Gourcuff, Niang et Benzema. Chacun à leur poste, ces joueurs semblent bel et bien créer une certaine unanimité. Sept joueurs sur onze, c'est en tout cas une compatibilité légèrement supérieure à celle enregistrée dans l'équipe mondiale (six sur onze).
Au poste de gardien, il faut observer que le crucial dilemme de Raymond Domenech depuis le début de la saison trouve une traduction dans les équipes de L'Equipe. Les internautes ont voté Mandanda. Les journalistes ont désigné Lloris... à une très courte majorité (quatre points de plus que Mandanda selon le détail des votes publié samedi dans le quotidien).
Pour le reste, les différences enregistrées concernent autant le choix des individualités qu'une certaine philosophie de jeu. Ainsi les journalistes ont voté pour Taiwo, Juninho et A. Diarra, bâtissant un 4-4-2 assez équilibré avec de vrais spécialistes à chaque poste. Les internautes rêvent d'une équipe hyper offensive, où Bastos serait latéral gauche, Sessegnon milieu récupérateur aux côtés de Toulalan et Hoarau associé en pointe à Benzema, avec Niang, soutenus par Gourcuff.
L'Equipe, enfin, place cinq Lyonnais, trois Bordelais, deux Marseillais et un Rennais dans son onze-type. Celui des internautes est un peu plus diversifié avec seulement trois Lyonnais, mais aussi deux Parisiens et un Lillois. La différence entre ces deux équipes, c'est peut-être celle entre la L1 telle qu'elle est et la L1 telle qu'on a le droit de la rêver à quelques jours du réveillon de fin d'année.
Fanni dans l'équipe-type je comprends, par contre Cris n'a rien n'a faire là, il est très loin de son niveau des années précédentes, Mangane lui est largement supérieur...
Putin c'est juste magnifique d'être qualifié pour la finale maintenant jouer une finale n'est pas une finalité faut la gagner !
Chris Mavinga
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Long article sur G.Lacombe dans l'Equipe ce jour .
Foot - L1 - G.Lacombe, ses torts, ses certitudes
Dans un entretien accordé à L'Equipe, samedi, Guy Lacombe, l'entraîneur de Rennes, accepte de procéder à une longue introspection dans laquelle il exprime sa frustration face à l'image d'entraîneur dictatorial qui lui colle à la peau, tout en reconnaissant que son comportement pendant les matches contribue à entretenir cette ambiguïté.
«Je lis les journaux. C'est effarant, se plaint l'entraîneur du club breton, auquel une proposition de prolongation de deux saisons a été adressée. C'est vendeur de taper sur Guy Lacombe. Les médias ne vont pas changer d'un iota sur moi. Cette situation m'ennuie vis-à-vis de mon groupe car des joueurs peuvent profiter de cette image pour gangrener les relations. Ça peut aller très vite. Ça s'est passé ici. Je connais la musique.»
A Paris, «ils ne voulaient pas jouer ensemble»
Mais plus loin, il concède aussi : «Quand je me vois (sur le banc de touche)... J'ai du feu en moi. (...) En fait, chaque action, je la vis comme le joueur. C'est mon truc. (...) J'ai besoin d'extérioriser tout ça. J'ai tort de faire ça. Je le sais. (...) Mes joueurs savent que je suis comme ça. Je ne peux pas me renier. Je leur ai dit: ''N'écoutez pas ce que je dis sur le banc de touche ! N'écoutez pas ! Je dis des conneries''. »
Cet entretien, à lire en page 5 de L'Equipe, permet aussi à Guy Lacombe de livrer sa version de l'échec de son passage au Paris-SG en 2006. «Je suis parti la tête haute, car j'avais tout donné, souligne-t-il, rappelant la victoire en Coupe de France. Et quand j'ai vu la suite, je me suis dit que ce n'était pas que de ma faute. Bien sûr qu'on se remet en question. (...) À Paris, une seule personne me voulait : M. Blayau. Je ne pouvais pas le savoir. Tous les joueurs du PSG sont des joueurs de qualité. Mais ils ne formaient pas un groupe. Il y avait des clans. Ils ne voulaient pas jouer ensemble. Ils ne s'entendaient pas. C'était pire que ça, même.»
Putin c'est juste magnifique d'être qualifié pour la finale maintenant jouer une finale n'est pas une finalité faut la gagner !
Chris Mavinga
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interview tres réaliste, par contre j ai quelques doutes quand a son explication sur nino quand même:/
jmen fout du spectale, on est pas la pour amuser la galerie, mais pour gagner !
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C'est vrai, surtout quand il dit " je ne suis pas responsable de l'âge qu'il a".
En même temps il vise directement Wiltord quand il dit que certains joueurs utilisent l'image "Ubuesque" que lui donne les journalistes pour lui nuire.
J'ai l'impression que Lacombe n'a toujours pas trop digéré les interventions ( pourtant si rares) de Wiltord dans la presse.
"Le monde se divise en deux catégories, ceux qui tiennent un pistolet chargé, et ceux qui creusent. Toi, tu creuses."
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Rennes, l'Europe au coeur
Troisième du Championnat à mi-parcours, le Stade Rennais, fort de ses dix-sept matches d'invincibilité, a franchi un palier. Le club breton vise désormais une place en Ligue des champions, et ne s?en cache pas.
L'état des lieux
A la lutte avec les gros
Après deux journées de Championnat, peu de gens auraient misé sur le Stade Rennais cette saison. Après un nul arraché face à l'OM (4-4), les Bretons s'étaient en effet inclinés à Grenoble (0-1) et pointaient à la seizième place du classement. Depuis, plus aucune trace de défaite dans le parcours des hommes de Guy Lacombe. Solides et efficaces, les Rennais ont gagné quatorze places en quatorze journées, pour se retrouver dauphins de l'OL au soir de la 16e journée et d'une victoire face au PSG (1-0). Pour parvenir à suivre le rythme des cadors, Rennes a notamment fait plier l'ogre lyonnais (3-0, 8e j.), et obligé Bordeaux à partager les points à Chaban-Delmas (1-1, 15e j.). Les Rouge et Noir possèdent en outre la deuxième meilleure défense de L1, avec treize buts encaissés.
Le fait d'armes
Une incroyable série
Invaincus depuis la deuxième journée, les Rennais en sont donc à dix-sept rencontres sans la moindre défaite. Une série qui est évidemment la meilleure de l'histoire du club, et qui s'approche des vingt-trois rencontres sans accroc alignées par Lyon entre avril et décembre 2005. Durant ces trois mois d'invincibilité (huit victoires et neuf résultats nuls), les filets rennais n'ont tremblé qu'à huit reprises. A l'extérieur, la défense de fer des Bretons n'a même cédé que deux fois ! La solidité défensive est souvent un gage de réussite en fin de saison. Et même s'ils concèdent un nombre trop important de résultats nuls, les joueurs ont acquis un esprit de compétition qui leur a notamment permis d'arracher deux victoires et trois nuls après avoir été mené au score.
Le flop
L'Europe, tout ça pour ça...
Sixième du dernier Championnat, le Stade Rennais était invité à passer par la case Intertoto pour rallier la Coupe de l'UEFA. Après être difficilement venus à bout de Simferopol (1-0, 0-1, 10-9 t.a.b.) puis de Stabaek (1-2, 2-0), les Bretons ont croisé le chemin du FC Twente pour leur entrée en lice en C3. Et malgré une victoire 2-1 au match aller, Jimmy Briand et ses coéquipiers ont cédé aux Pays-Bas (0-1), pour quitter sans gloire la compétition, comme la saison passée (éliminés en phase de poules). Et si cette élimination peut permettre à Rennes de ne pas perdre trop d'énergie dans les combats européens, le club de François-Henri Pinault ne pourra jamais vraiment prétendre à passer un cap sans réaliser un parcours digne de ce nom en Coupe d'Europe.
Le joueur
Pagis toujours vert
Il a 35 ans, un style toujours aussi atypique, et une envie toujours intacte. Mickaël Pagis, auteur de six buts depuis le début du Championnat, a également délivré quatre passes décisives. Avec Jérôme Leroy (34 ans), Pagis est le leader technique de sa formation, qui possède en lui aussi bien un pivot efficace qu'un excellent finisseur. Point d'orgue d'un début de saison pleinement réussi, son triplé inscrit face à Lyon (3-0), lors de la 8e journée. Encensé par les médias, évoqué en équipe de France, Pagis préfère rester dans l'ombre. Pour surgir de nulle part et continuer de faire rêver les supporters rennais, désormais tous acquis à sa cause.
Et maintenant ?
Arrêter de partager les points
En dépit de sa belle série d'invincibilité, Rennes n'apparaît pas encore comme un sérieux prétendant au titre. La faute au prestige de ses concurrents (Lyon, Bordeaux, Paris, Marseille), mais aussi à des résultats nuls évitables concédés face aux mal classés. Les hommes de Guy Lacombe devront donc veiller à remporter le plus de rencontres possibles, quitte à en perdre quelques unes. C'est d'ailleurs le souhait de leur entraîneur : « Il y a des regrets sur les dix matchs nuls. La leçon que l'on doit en tirer, c'est d'avoir un peu plus d'impact et de volonté quand on domine une rencontre. » Pour affirmer leurs ambitions et rêver d'une fin de saison historique, les Rennais devront aller décrocher les points important loin de leurs bases. Ils défieront en effet la majorité de leurs adversaires directs (Lille, 21e j. ; Nice, 25e j. ; Lyon, 26e j. ; Paris, 34e j. ; et Marseille, 38e j.) loin du stade de la Route-de-Lorient.
Cédric Chapuis
Dernière édition de: topher35 (27-12-2008 14:43:01)
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Ce soir, notre Rodi sera en direct sur la radio Europe 1 Sport, entre 20h et 20h30 !
Europe 1 Sport n'émet qu'à Paris et en Ile de France, mais vous pouvez écouter la radio sur leur site Internet : http://www.europe1sport.fr
Flux MP3 : http://viphttpplayers.yacast.net/V4/eur … 1sport.m3u
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L'interview de Guy Lacombe dans l'équipe de ce samedi...
Que pensez-vous de Rennes, un an après votre arrivée ?
"C'est un bon club mais on est considéré comme un club riche alors que l'on a le 7ème budget de Ligue 1. On a la chance d'avoir un actionnaire fort. Mais c'est complètement différent d'un club riche. Cette ambiguité nous met en porte-à-faux. Il serait bon qu'à un moment il y ait une étincelle. Un titre qui amène un peu le feu à cette région. Là, ce serait intéressant de voir ce qui se passe.
Ca peut arriver en mai prochain.
On va essayer de rester au contact. Mais ce sera compliqué, car les effectifs des quatre autres sont supérieurs sur le plan offensif. Souvent, Rennes finit bien les saisons. Mais il risque d'y avoir des perturbations cette année. C'est pour ça qu'il faut rester en haut. Pour que chacun ait cette ambition collective qui pourra favoriser les ambitions personnelles.
Vous craignez le mercato comme la peste ?
L'été dernier, on s'est fait prendre Mensah. Deux autres joueurs seraient partis si je n'avais pas freiné des deux pieds et des deux mains. Vous évoquez souvent Fanni, M'bia, Thomert et Briand. Mais d'autres peuvent être cités. J'espère que la sagesse prévaudra. L'idéal serait d'anticiper juin. Si on prend deux joueurs pour remplacer ceux qui vont partir, on améliorera le potentiel des six prochains mois et on facilitera l'adaptation des deux joueurs importants pour la suite.
Travailler dans la continuité, c'est encore possible ?
Nantes a été un champion magnifique en 1995. Si Coco (Suaudeau) garde cette équipe là, Nantes est champion d'Europe. C'est devenu encore plus compliqué. A l'époque, sur une ou deux saisons, vous pouviez travailler. Si nous avions deux ans devant nous avec l'équipe actuelle, nous pourrions faire quelque chose se sympa. Mais vous pouvez difficilement construire sur du long terme, à part peut-être Lyon. Et en encore.
Ne dort-on pas mieux quand on entraine Rennes, plutôt que Paris ?
Que je sois à Paris, Sochaux, Guingamp, Cannes ou Rennes, j'ai envie que mes joueurs gagnent, que mes joueurs soient heureux. Mais que ce soit Paris ou Rennes, franchement, il n'y a pas grand chose qui change. Je lis les journaux. C'est effarant. C'est vendeur de taper sur Guy Lacombe. Les médias ne vont pas changer d'un iota sur moi. Cette situation m'ennuie vis à vis de mon groupe car des joueurs peuvent profiter de cette image pour gangrener les relations. Ca peut aller très vite. Ca s'est passé ici. Je connais la musique.
Vous croyez vraiment que la presse vous réserve un traitement spécial ?
Guy Lacombe, il écarte les joueurs. Il les fracasse. Comme moi, mes collègues mettent des mecs sur le banc ou au repos. Eux, ils n'écartent pas. L'autre jour, AS Rome-Bordeaux était retransmis. Personne n'a rappelé qui avait lancé Ménez. Cela aurait été le cas si c'était un entraineur apprécié des médias. Jérémy, il fallait aller le chercher et le faire jouer en pro, à seize ans et demi. Je ne me suis pas gouré.
Vous avez eu des relations difficiles avec certains joueurs.
J'aimerais qu'on regarde les faits. Qu'on ne dise pas, par exemple, Guy Lacombe, il écarte Rothen. Rothen, il a joué sauf quand il était blessé. Là, je ne pouvais pas le faire jouer. Je l'ai puni une fois. Et il est revenu de suite dans l'équipe. C'est devenu un truc de fou. Même mes proches m'on dit : "Pourquoi tu ne fais pas jouer Rothen ?" C'est incroyable.
Vous ne croyez pas que votre caractère entier vous empêchera de diriger un très grand club ?
Peut-être. J'ai falli avoir Lyon. C'est Gérard (Houiller) qui l'a eu. Mais je pense que j'avais fait bonne figure. A Paris, je pensais être dans un grand club. M. Blayau a insisté quatre fois pour que je vienne. Je ne comprenais pas grand chose. Après, j'ai compris. J'ai lu que chaque fois que j'arrivais dans un club, j'écartais des cadres. Mais bon, à chaque fois que je suis arrivé dans un club, il y avait un problème. Sinon, pourquoi changer ? A Sochaux, je suis passé après Jean Fernandez. Comme il y avait un état d'esprit remarquable, j'ai seulement essayé de faire évoluer l'équipe.
Avec le recul, comment analysez-vous votre passage au PSG ?
Je suis parti la tête haute, car j'avais tout donné. Et quand j'ai vu la suite, je me suis dit que ce n'était pas que de ma faute. Bien sur que l'on se remet en question. De Paris, j'ai tiré d'immenses possiblités pour la suite. Les techniciens savent pertinnement si un groupe fonctionne ou pas. A Paris, une seule personne me voulait : M. Blayau. Je ne pouvais pas le savoir. Tous les joueurs du PSG sont de qualité mais ils ne formaient pas un groupe. Il y avait des clans. Ils ne voulaient pas jouer ensemble. Ils ne s'entendaient pas (...) Même si nous avons gagné la Coupe de France.
La suite n'a pas été brillante...
Que voulez-vous que je vous dise ? Il fallait changer. A un moment, il faut que les dirigeants partagent l'analyse de l'entraineur. Il y a deux décisionnaires dans un club. Le président et l'entraineur. Pourquoi cela marche à Lyon, au Mans et à Nancy ? Et à Paris, que s'est-il passé après mon départ ? Paul Le Guen est arrivé. Ce n'est pas rien, Le Guen. C'est trois titres avec Lyon. Qu'a t-il connu ? Les mêmes problèmes que moi pendant une saison et demi avec un groupe qui avait été amélioré par Luyindula et Clément. A l'intersaison, le groupe a été modifié. Contre nous, il n'y avait que six joueurs sur les dix-huit qui étaient avec moi. Des personnalités sont arrivées. Des tauliers, dont Paris a besoin. Ca tourne bien, car Paul est un bon entraineur.
Les meilleurs entraineurs sont-ils ceux qui dirigent les meilleurs clubs ?
Plus vous montez dans la hiérarchie, plus c'est dur. On compare souvent les entraineurs. Mais il y a les titres. C'est important. Le meilleur en 2008, c'est Perrin. A Paris, on m'a décrié mais il y avait un titre. A Guingamp, ce fut dur mais on est remonté en Ligue 1. A Sochaux, on a gagné le premier trophée en soixante-six ans.
Vous bénéficiez de la reconnaissance de votre famille, celle des techniciens.
A mes yeux, c'est la plus importante. Quand Daniel Jeandupeux ou Coco Suaudeau disent "Guy est un bon entraineur", ça me fait très plaisir. Coco, c'est quelqu'un de magnifique, que j'adore. Pourtant, je me suis accroché avec lui. A Cannes, quand je me suis lancé dans la formation, les premiers à qui j'ai pensé, c'est Nantes et Coco. Je suis revenu à la Jonelière discuter avec lui et Reynald (Denoueix). Tout est revenu. Quand vous êtes joueur, vous jouez. Point. Ce n'est que plus tard qu'on comprend. Daniel Jeandupeux m'a ouvert les yeux. Après notre rencontre, je pouvais décrypter n'importe quelle organisation sur le terrain. Avant, j'en étais incapable.
Que pensez-vous de Guy Lacombe sur son banc de touche ?
Même les copains de mon fils sont surpris : ils ne voient pas l'homme qu'ils connaissent. Moi, quand je me vois... J'ai du feu en moi. C'est héréditaire. Je tiens cela de mon papa. En fait, chaque action, je la vis comme le joueur. C'est mon truc. C'est tout. Maintenant, demandez à mes adjoints : cet homme là, ce n'est plus le même quand il entre dans le vestiaire. Il redevient l'entraineur. J'ai besoin d'extérioriser tout ça. J'ai tort de faire ça. Je sais.
Qu'en pensent vos joueurs ?
Mes joueurs sont intelligents. Ils savent que je suis comme ça. Je ne peux pas me renier. Je leur ai dit : "N'écoutez pas ce que je dis sur le banc de touche ! Je dis des conneries". Je dis ce que pense tout le monde. Quand un joueur rate son centre, le quidam en tribune, il crie : "Oh, merde !" Et Guy Lacombe, il dit pareil. Mais l'entraineur impassible sur son banc, il pense la même chose.
Est-ce que les intérêts financiers compliquent votre tâche ?
Je gagne plus d'argent en tant qu'entraineur que joueur (...) Aujourd'hui, je gère des joueurs entre dix et quinze fois plus. Je dois forcément en tenir compte.
Quand vous ne faites pas jouer Wiltord, personne ne vous dit rien ?
Quand je suis arrivé, il a eu des performances un peu moindres. La pression, vous l'avez tout le temps. On ne vous le dit pas directement, mais peut être indirectement. C'est très particulier. Je sais pertinnement qu'un joueur qui coûte autant... Mais Nino, il vaut ça à Rennes ou par rapport à ce qu'il a vécu ? Je ne remets pas en cause ce qu'il gagne. Il le mérite. Sa carrière lui a permis d'arriver à cette reconnaissance. Ce n'est pas de sa faute s'il a l'âge qu'il a. Mais je n'y peux rien non plus".
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Ah daube!
j'ai raté Europe 1 ce soir, y'a-t-il moyen de réécouter l'intervention téléphonique de Rodi?
"Le monde se divise en deux catégories, ceux qui tiennent un pistolet chargé, et ceux qui creusent. Toi, tu creuses."
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Ce soir, notre Rodi sera en direct sur la radio Europe 1 Sport, entre 20h et 20h30 !
Europe 1 Sport n'émet qu'à Paris et en Ile de France, mais vous pouvez écouter la radio sur leur site Internet : http://www.europe1sport.fr
Flux MP3 : http://viphttpplayers.yacast.net/V4/eur … 1sport.m3u
Putain j'ai loupé ça !
Pierre Alain Frau : "Je rêve de Barcelone"
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Pas très longtemps, mais t'as assuré Rodi
Précoce, le garçon ?
"Le monde se divise en deux catégories, ceux qui tiennent un pistolet chargé, et ceux qui creusent. Toi, tu creuses."
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Pas très longtemps, mais t'as assuré Rodi
Merci Tib.
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Quand je disais que tu te rapprochais du 20h, j'étais pas loin de la vérité en fait :top:
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sa parlait de quoi europe 1 sport ? du stade rennais ou du foot en général ?
Rossoneri ( 11 juillet 2009)
"Le titre se jouera entre Bordeaux, Marseille, Lyon et Paris. Si c'est pas le cas je fais l'avenue Janvier à poil."
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Questionné sur cette épineuse question par le Journal du Dimanche, Jérôme Leroy donne son opinion sur lattitude des jeunes pousses, renvoyant dos à dos les dirigeants et les espoirs. « Le foot cest devenu le loto. On joue par appât du gain. Moi, je rêvais dêtre Platini ou Maradona, pas de toucher leur salaire. Au centre de formation, on ne côtoyait pas les pros. On attendait quils soient tous partis pour aller chez le kiné. Quand on croisait Weah ou Ginola au PSG, on était conscient davoir une chance inouïe. Aujourdhui, on se plaint que les jeunes nont plus de respect mais est-ce de leur faute ? Pas sûr. Certains clubs offrent des maisons ou des voitures aux gamins quils convoitent. Paris a payé Rudy Haddad à 10 ans pour quel résultat ? »
viserait-il un certain D.L.T entre autres...
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