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@BeatBoy22 :
Des années de dépression, avec des moyens et des bas, mais surtout des bas, au point de considérer que ne pas aller bien c'est aller normalement.
Puis un jour, un événement extérieur totalement inattendu, pourtant terriblement atroce, te créé un déclic, une sorte d'épiphanie et pendant quelques semaines tu comprends en partie d'où vient ce profond mal être, tu vas vraiment très bien, tu relis toute ton histoire sous un regard différent, tu redoubles d'énergie et de peps, une piqûre d'adrénaline et de dopamine comme jamais tu n'avais connu.
Mais cela ne dure pas malheureusement, et tu replonges.
Sauf que, cette fois-ci contrairement aux autres plongeons, il suit une période dorée de quelques semaines pendant lesquelles tu as touché du doigt le bonheur, tu as connu la vie normale et vécu réellement des joies toutes simples mais tellement belles comme faire un vrai câlin à ton enfant sans pensées parasites, funestes et morbides, tu as juste vécu l'instant présent et profiter, et tu as aimé cela comme jamais tu n'avais aimé avant. Comme si ton corps, ton esprit et ton âme t'avaient laissé entrevoir un avant goût de la vie une fois guéri.
Alors cette fois-ci tu te bats, car ce goût de bonheur était un délice.
La chute est rude car tu tombes d'encore plus haut que d'habitude et tu t'enfonces plus profondément, toucher le fond pour rebondir comme on dit.
Ce sera un combat épique, plus de 6 mois d'arrêt de travail, trois mois de léthargie et d'apathie (et ce n'est pas une image, tu es un putain de mort vivant). Coup de bol, comme une prémonition, quelques mois avant l'épiphanie, tu as rencontré une psychologue, pour tout autre chose que ta dépression (que tu pensais gérer), alors tu décides d'ignorer que c'est 55€ la séance puis tu revois cette psychologue aussi souvent que ton salaire à peine au dessus du Smic* te le permet.
Et nœud après nœud, mot après mot, larme après larme, tu défaits ce putain de corset qui t'étreignait depuis tellement longtemps et tellement fort que tu ne savais même plus ce que c'était de simplement respirer normalement. Alors petit à petit à chaque fois que tu parviens à ressortir la tête au dessus de la ligne de flottaison, tu réussis à prendre un peu plus d'air.
Puis tu réussis à redescendre moins profond, l'apnée est moins éprouvante et les remontées plus récurrentes.
Et un jour tu flottes assez longtemps pour prendre les décisions qui s'imposent, coupez les ponts avec celui qui a ruiné ta vie depuis ta plus "tendre" enfance, changez d'emploi, donner plus de temps aux gens qui t'aime plutôt qu'à ceux qui te font souffrir...
Et à nouveau tu peux embrasser ton fils, le rassurer la nuit quand il se réveille, et voir dans le reflet du miroir un être qui ne t'est pas tout à fait désagréable. Et chaque jour tu te répètes qu'il n'appartient qu'à toi que ce sentiment si savoureux peut perdurer, il y aura toujours des moments plus compliqués mais maintenant tu sais que les difficultés font partie de la vie mais que ce n'est pas toute la vie.
La dépression ce n'est pas un coup de blues ou une déprime, c'est un putain de carcan qui t'entraîne par le fond, c'est faire un triathlon avec des semelles de plomb, un sac de parpaing sur le dos et les mains attachées dans le dos.
Alors je n'ai aucun conseil miraculeux, mais simplement dire à la personne qu'on veut soutenir "je ne peux pas faire les choses à ta place, mais sache que je me soucie de toi et que je serai là quand tu en auras besoin" est une ressource précieuse lorsque la prise de conscience se fait.
Ce n'est pas une généralité, mais un simple témoignage.
Dernière édition de: Pas de chance (23-01-2024 17:16:22)
Magnifique témoignage
Tu as dit l'essentiel Pas de Chance.
Très compliqué d'amener un proche à une prise de conscience de son mal-être, après Beat Boy être proche et soutenant c'est déjà beaucoup.
Essayer de faire le point avec lui sur son goût à la vie (ses passions ou hobbys habituels, son boulot, ce qui l'anime ou l'animait en général et où il en est avec tout ça), ses simples besoins de base (alimentation, sommeil), son estime de soi.
Y'a t-il des ruminations anxieuses, des pensées morbides, des idées suicidaires ?
Depuis combien de temps ?
Un évènement déclencheur ou non ?
L'amener à en parler à son médecin traitant ou se renseigner sur un centre médico-psychologique dont il dépend et éventuellement lui filer les numéros utiles pour pourquoi pas une 1ère consultation avec un infirmier psy qui saura par la suite l'orienter ---> psychologue ou psychiatre.
Avant tout comme le dit Pas de Chance lui montrer qu'on l'aime et que l'on est là pour lui, disponible.
" La justice c'est comme la sainte vierge, si on la voit pas de temps en temps, le doute s'installe"." Pile ou face " Audiard.
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Ne pas hésiter à aller voir différents psy. Chacun ayant une approche différente. Une des miennes ne faisait que réciter sa leçon, aucune utilité, j'étais plus lucide qu'elle sur mon cas (c'est elle qui me l'a sorti). Je lui provoquais des fous rires, elle était obligé de sortir de la salle pour pas que ce soit gênant.
Le souci principal, c'est la prise de conscience et l'envie (les moyens aussi) de s'en sortir. Quand tu es dans une grande ville type Rennes, ça le fait par contre quand tu es das un désert médical, c'est chaud...
Souvent celà se résout via un déclic, comme dit plus haut, encore faut-il trouver lequel.
Moi c'était via un achat que je ne pouvais faire.
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Oui enfin le déclic certains l'attendent longtemps voire trop tard le plus souvent, ça tient un peu de la pensée magique.
Non, il faut dans la mesure du possible 'essayer d'amener son proche à une progressive prise de conscience du mal-être, l'amener à verbaliser ses difficultés mais ce peut être un long processus.
Faire la tournée des psys ne me semble pas forcément la solution d'autant que dans le cas de BB il y a un déni chez la personne, ce qui est tout à fait normal.
Il semble par contre il y avoir des moments de lucidité et c'est peut-être là qu'il faut creuser, profiter de ces moments pour évoquer la possibilité de se faire aider par des professionnels de santé et l'aider à faire le 1er pas.
" La justice c'est comme la sainte vierge, si on la voit pas de temps en temps, le doute s'installe"." Pile ou face " Audiard.
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Oui c'est du cas par cas et celà dépend aussi dans l'environnement social/ professionnel/ familial. Le fait d' être en couple ou d'avoir des enfants permet ce "déclic". Quand, dans mon cas, tu es tout seul, pas de famille, des amis qui s'éloignent pour se protéger etc..;C'est plus compliqué de s'en sortir. Il suffit en plus que tu sois un addict (écrans/drogue/jeux), ça fait des chocapic..
De plus comme pour l'addiction, tu attires des personnes dans le même marasme comme un aimant....
@Penny Lane J'en ai vu plusieurs, la meilleure avait une approche systémique et moins académique.
Autre chose s'en sortir c'est très bien mais le danger est de ne pas y retourner à la moindre occasion.
Dernière édition de: Harry Badgé (23-01-2024 22:41:24)
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Ne pas lâcher le précieux et en découvrir de nouveaux.
Au contraire se détourner du nocif et du déconstruisant.
Se créer un environnement sécurisant pour faire en son sein.
Redonner confiance...
Veux encourager EDOUARDO CAMAVeNdre, JEREMise bOKU, FAITOUT MAliA$$e, YAgN GBOH€urO la saison prochaine...
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Yep, on m'avait dit de trouver une obsession externe (pour moi c'était le cinéma et la musique). Une occupation manuelle ou relationnel (association type aide à la personne).
Mon frangin, à 35 balais, ne savait plus quoi faire au niveau professionnel, il avait fait divers boulots sans cohérence.
Du coup au lieu de chercher un emploi, il a préféré en chercher pour les autres en devenant conseiller Pôle Emploi (France Travail). Haut placé maintnant sur Lanester
Dernière édition de: Harry Badgé (24-01-2024 10:59:50)
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Oui c'est du cas par cas et celà dépend aussi dans l'environnement social/ professionnel/ familial. Le fait d' être en couple ou d'avoir des enfants permet ce "déclic". Quand, dans mon cas, tu es tout seul, pas de famille, des amis qui s'éloignent pour se protéger etc..;C'est plus compliqué de s'en sortir. Il suffit en plus que tu sois un addict (écrans/drogue/jeux), ça fait des chocapic..
Oui, je trouve que l'entourage fait vraiment un bonne partie du taff, dans le bon comme dans le mauvais.
A la base l'événement déclencheur ça a été la découverte d'une tumeur bénigne il y a quelques années, rapidement traitée et aujourd'hui, plus rien.
Mais voilà c'était la première expérience de la personne avec l'idée de sa propre mort, que ça n'arrivait pas qu'aux autres. Et ça a été le choc. A mon avis une peur enfouie qui est sortie au grand jour et qui ne demandait qu'à prendre la main.
Depuis, la personne s'est enfermée dans une panique de la mort, voit des signes de son trépas proche à tous les coins de rue.
Elle en est venue à dégouter ses médecins de lui répondre au téléphone. En revanche la personne s'est trouvée des amies qui elles aussi craignent leur trépas prochain.
Et ça alimente ce cercle infernal.
Malgré le soutien des proches, pour l'instant elle ne voit pas la lumière. Et les médicaments (qui sont de vraies saloperies) sont devenus ses meilleurs soutiens (c'est ce qu'elle pense bien sûr)
On a tenté de lui trouver des hobbies, de nouvelles connaissances plus positives. Mais cette dépression la suit comme un poison qui contamine tout.
Je préfère encore être un cochon décadent plutôt qu’un fasciste.
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Oui là c'est compliqué et je n'ai pas les connaissances/compétences pour aider. Ma soeur, suite à un caillot dans le cerveau avec Alzheimer qui s'en suit (elle n'a que que 60 balais), c'est compliqué. Elle refuse de se faire opérer du coup ça empire.
Dépression suite à une rupture amoureuse. Hyper difficile de simplement aller boire un verre, discuter, rigoler. Elle reste enfermé dans sa chambre. Devenu hypermaniaque sur la propreté. Le moindre poil laissé c'était une saynete de 4h...
Par contre un animal (chat/chien), ça peut faire énormément de bien. La SPA en a plein, pas trop cher
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Le rêve tout centre animalier : des personnes qui veulent tout le temps nettoyer.
Le rapport à la mort est infiniment personnel. Aucune prétention de juger cette personne. Je me permets tout de même de souligner que ce qui m'a perturbé lors de mes premiers deuils étaient les manques des personnes et certaines culpabilités de ne pas avoir vécu différemment certains instants avec ces personnes.
Cette personne est en train d'infliger des manques à ces proches alors qu'elle est vivante. Qu'elles voient sa capacité à être pour les autres, les sentiments positives qu'elle peut générer au delà de ces personnes qui partagent les mêmes problèmes. Peut être entendre ce sentiment du deuil et ne pas le faire vivre alors qu'elle est bien présente
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Exactement futur exdébutant Celà revient à un souci de réréntiel culturel. Pour ma part ayant été adopté, jai double parents. L'une européenne et l'autre indienne.
La visio de la mort etc est différente. Ma mère indienne me disait qu'elle attendait la mort afin de se réincarner dans quelque chose de mieux....
Depuis qu'elle n'est juste plus une femme de ménage à passer sa journée à faire la cuisine, elle passe ses journées à regarder Youtube, des clips de musiques et des trucs de voyages. Elle se sent vivre...
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Nouvelle nuit de violence à Rennes, notre capitale bretonne est gangrenée par les antifas et l'extême-gauche, une pauvre femme handicapée a retrouvé sa voiture retournée, quelle honte !
https://www.letelegramme.fr/ille-et-vil … 512912.php
Edit modération : Merci d'éviter la politisation du et des topics (Jack35)
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Hey Roazhon je sais pas comment il faut te le dire, on ne discute pas politique partisane sur le forum parce que ça part systématiquement en cacahuètes alors arrête de provoquer. Moi je signale ton commentaire mais si tu pouvais juste comprendre ce serait quand même mieux. Après ça va repartir en « gnagnagna l’extrême-droite bla-bla » et on en finit pas. Tous des connards d’extrémistes qui se nourrissent mutuellement au lieu de pendre leurs cachetons, pas la peine de ramener ça ici, merci.
“And I’d just like to say… from the bottom of my heart, I’d like to take this chance to apologize… to ABSOLUTELY NOBODY!”― Conor McGregor
“They all said I couldn’t do it… LOOK AT ME NOW!!! Level it… Pound for pound!! Headshot : DEAD!! That’s it…” ― Leon Edwards
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Cette ville part quand même en live et a de plus en plus une mauvaise réputation, moi je l'ai quitté l'année dernière avec ma petite famille justement à cause de ces manifs mais aussi de l'insécurité qui explose. En plus de tout casser s'en prendre à une handicapée est vraiment dégueulasse.
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Voilà, comme quoi on pouvait tout à fait le dire sans référence partisane.
Perso c’est plutôt la gentrification et le tourisme estudiantin qui m’ont saoulé, comme quoi, différentes causes, même résultat.
Heureusement, il reste le foot…
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On peut déplorer ce qu'il s'est passé hier soir, une fois de plus l'image de Rennes en prend un coup, tout mon soutien aux victimes, je pense aux commerçants et bien sûr cette femme handicapée.
Pour ceux qui souhaite répondre au sujet merci de ne pas faire de partisianisme politique
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Madame est de Rennes, qui n'a jamais vécu qu'entre les murs de la cité depuis sa tendre enfance, contrairement à moi qui suis arrivé la 1ère fois il y a un peu plus de 10 ans.
Et selon ses dires, il y a du changement pas forcément en bien.
Des quartiers qui deviennent sur-occupés là où avant il y avait du calme, des endroits constamment embouteillés. En revanche, elle ne voit pas plus d'insécurité qu'avant, globalement pareil.
En revanche, elle semble trouver (et je partage l'avis) qu'il y a une espèce de douceur de vivre qui est partie. Que la ville devient plus froide, moins chaleureuse.
La ville se nantise (double sens).
Je préfère encore être un cochon décadent plutôt qu’un fasciste.
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Je suis d’accord avec Madame. Et avec la comparaison avec Nantes, qui est quand même loin devant (ou derrière, c’est selon) : c’est quand même à la base une ville portuaire, avec toute la faune qui va avec.
Le rennes “ville rock”, c’est fini.
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Fini, non, ils ont juste 60 balais... On est plus proche du déambulateur que du pogo.
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Du Tontons Flingueurs au Mondo Bizarro, certains sexagénaires sont morts prématurément…
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Mon 1er concert rennais fût la fermeture du Tonton Flingueurs.Concert Metal où mes potes y jouaient souvent.
Le Mondo Bizarro, j'y est passé mes pires soirées (épiques je veux dire)
Dernière édition de: Harry Badgé (27-01-2024 03:01:58)
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Les tontons flingueurs..je me souviens surtout des flingueurs, un truc flambé qu'on enfilait à la paille.
Et sinon autour de l'an 2000 c'était pas le même deal, j'ai le souvenir de bataille rangée entre punks à chiens( dont je faisais plus ou moins partie)
et je sais pas trop qui en face mais, le centre ville tournait à la guérilla avec les bouteilles, les poubelles et tout un tas de trucs qui volaient d'un camp à l'autre et j'ai assisté à ça plusieurs fois.
Il y avait aussi tout ces lascars qui descendaient de Paris le week-end pour dealer et ça changeait clairement l'ambiance du centre ville, j'ai le souvenir de bastons pour rien, pour un regard de travers dans la rue..bref je ne sais pas vraiment comment c'est aujourdhui vu que j'y vais presque plus. Je sais que j'y suis plus très à l'aise mais c'est sûrement que je me suis "embourgeoisé" parceque quand je faisais la manche dans le centre ville de rennes j'étais jeune et fou, je traînais avec toute une faune qui me herisserait les poils aujourd'hui.
Je ne crois pas que c'était mieux avant.
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Les chiens de la casse.
Une sacré bande de branleurs parisiens qui rackettaient tout ce qui bouge. J'ai le souvenir d'un pote qui etrennait son survet crocodile tout neuf et qui est reparti en calbutte-t-shirt (pour ma part je le trouvais bien plus classe comme ça).
Par contre ça baissait les yeux devant les albanais.
Difficile aussi de dire si ça s'est aggravé, faudrait voir comment se passe les jeudis auprès des étudiants, mis j'ai le sentiment que le centre est moins fréquenté depuis le Covid, et pas tout à fait sûr que ce soit en lien avec l'insécurité.
"Comment diable un homme peut-il se réjouir d'être réveillé à 6h30 du matin par une alarme, bondir hors de son lit, avaler sans plaisir une tartine, chier, pisser, se brosser les dents et les cheveux, se débattre dans le trafic pour trouver une place, où essentiellement il produit du fric pour quelqu'un d'autre, qui en plus lui demande d'être reconnaissant pour cette opportunité ?"
Bukowski
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Cela va faire un peu Cnews style, mais oui, ayant vécu les soirées rennaises, cela s'est vachement envenimé.
La dernière fois que je suis passé sur Rennes, les gens de 30-50 ne restaient plus dans le centre après 18h. Ils s'excentraient afin d'être tranquille.
Comme je connaissais pas mal des proprio de bar/resto du centre j'avais des retours : baisse de la fréquentation, problèmes avec la police qui ne voulaient pas se déplacer pour éviter les embrouilles et laisser la situation s'embourber. Infernal, trop de patrons qui ont laissé tomber alors que cela faisait 40 ans qu'ils étaient là.
L'incendie d'une partie de la rue St Michel lors de la fête de la musique a détruit cette rue. Travaux interminables et les punk à chiens venaient squatter. Je n'ai rien contre mais quand tu te fais insulter alors que tu bois un verre en terrasse et en plus ils faisaient leurs besoins juste à côté... Après il y avait les dealers et les mineurs isolés/pickpocket avec souvent violence et agression sexuelle. Je n'ai rien contre eux, ils font ce qu'ils peuvent pour survivre mais la violence, c'est niet.
Videorama était une institution de la culture (vente/location de films), il s'est fait tellement défoncé sa vitrine qu'il a arrêté son taf, pareil pour d'autres établissements (bar/resto), les assurances ne voulaient plus assurer. Une vitrine à 1000 euros...
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N’empêche que c’est les mecs de Rennes qui ont dégagé ces parigots
Maintenant y’a un autre genre de parigots, sauf que ceux-là font grimper les prix de l’immobilier, à l’inverse des premiers.
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“They all said I couldn’t do it… LOOK AT ME NOW!!! Level it… Pound for pound!! Headshot : DEAD!! That’s it…” ― Leon Edwards
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