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Tout dépend de l'organisme, de l'environnement. Le centre anti addiction de Rennes vers rue St Hélier par exemple, il y avait les punk à chien (rien contre) qui se pintaient la gueule dans la cour. Difficile.... La Bretagne étant en plus bien connu pour l'alcoolisme.
Après comme le dit Penny Lane, il y a le fameux cercle vicieux. Même quand tu vas dans un bar pour prendre un café, tu rencontres toujours un autre addict, il te repère même et c'est parfois la seule personne que tu rencontres..Et là c'est fini.
L'héroïne c'est encore pire. Je n'y ai jamais touché, mais j'ai vu trop de gens tomber dedans, notamment des meufs étudiantes à Rennes 2 qui ont fini par une forme de prostitution. Le milieu est en plus bien différent des consommations d'autres substances plus "festives". C'est dark... Je suis allé voir l'île au crack sur Paris (oui le Louvre était trop loin), c'est une horreur absolue.
@Penny Lane oui, l''alcool, pur moi, c'est ce qu'il y a de plus pernicieux. D'une c'est légal donc facilité de s'en procurer et parfois encouragé socialement. Du coup facilité de replonger pour ne pas perdre ce cercle social
Je me rappelle des nourrissons à qui on mettait de la gnôle dans le biberon (ça commence bien...). Un de mes 1er taf : Trésor public.place du Colombier. Pot de départ de ma cheffe, on a fini toutes les bouteilles. Truc que l'on ne voit plus aujourd'hui. Citroën La Janais, dans les années 90, il y avait du vin au self. Les gens finissaient pétés avec des accidents du travail. Mon préparateur de commande avait un pack ou un cubi sur son Fenwick. Maintenant c'est fini. Le BTP, c'est terrible aussi...
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Pas de problème pour en parler ici.
J'ai eu l'énorme chance de vivre une sorte d'épiphanie autour de mes 25 ans. Et cette révélation a été mon phare dans la nuit. C'est donc la foi qui m'a ramené à la vie, une foi un peu foutraque mais la foi quand même. Je me considère comme un miraculé.
D'aucuns diront que c'est mon cerveau qui a fabriqué tout ça, peu importe, ça ne change rien à la question que je me pose, pourquoi moi et pas un autre, qu'est ce qui fait que je suis revenu à une vie à peu pres "normale" ( je ne crois pas qu'on en revienne complètement) ? Je n'ai pas de réponse précise. Mais plus j'y réfléchis et plus je pense que vraiment ma foi est ce qui a fait que je m'en suis sorti. Je n'y vois pas la main de dieu mais bien une bouée qui maintient à la surface. Je vois des amis qui ne sont pas habités par une foi religieuse et, pour eux, c'est plus dur de s'accrocher, de trouver un sens à tout ça.
Et plus concrètement la méditation et la sophrologie sont des outils incroyables.
J'ai aussi tiré un trait sur quasi toutes mes relations antérieurs, j'ai passé plusieurs années sans presque aucune relation sociale, en tout cas le moins possible, une sorte d'isolement en parallèle d'une quête spirituelle plus intense.
Puis une psychanalyse de plusieurs années accompagné par un homme brillant.
Mais c'est long, très long, c'est un processus de 20 ans, en tout cas pour moi. Et il faut accepter le champ de ruines, en faire sa force et sa volonté, c'est sûrement le plus compliqué.
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Bah encore une fois je te tire mon chapeau Petit Jean !
Rares sont les gens qui arrivent à se sortir de cette merde après autant d'années d'addiction, je suis (trop) bien placé pour le savoir de par mon taf mais aussi et surtout par ma situation familiale.
Comme quoi il y a toujours une petite flamme d'espoir même quand on est au fond du trou.
Alors tu as peut-être été aidé par la foi mais je pense aussi que tu as fait preuve d'une grande force de caractère.
Édit: j'ai omis de parler de ma situation perso, jamais vraiment eu de problème avec l'alcool mais par contre j'ai plongé à corps perdu dans l'héroïne...
Suis depuis plusieurs années sous sub'(grosse merde aussi addictive que l'héro mais propre...), ça me permet d'avoir une vie sociale à peu près normale et de faire mon taf correctement mais je n'arrive pas à m'en défaire.
Et je peux vous dire qu'en tant que soignant c'est extrêmement difficile à vivre, même si je pense que du coup mon regard à l'égard des patients est d'autant plus bienveillant et ouvert.
Confession difficile à faire ici mais indispensable si je veux être honnête.
Dernière édition de: Penny lane (04-01-2024 22:13:06)
" La justice c'est comme la sainte vierge, si on la voit pas de temps en temps, le doute s'installe"." Pile ou face " Audiard.
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Merci Penny, merci aussi pour la confession.
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Merci Penny pour la confession. Bien que cela permette une autre écoute dans ton taf, c'est super dur à gérer. Le sub ne te pose pas de problème au niveau physique ? Prise de poids etc. Ceux et celles que j'ai connu, ils avaient les mains en gant de boxe. J'avais une ex accro, elle bossait en ESAT. Cela lui a coûté son taf.
J'ai eu la "chance" d'avoir des grands frères et soeurs qui ont connu ça. Paris années 80, ils n'avaient que 20 balais. Cela m'a permis d'être encadré et d'éviter cet écueil.
Question con, qu'est qui vous a poussé à prendre des drogues ? Je ne juge pas, ayant été consommateur et encore un peu aujourd'hui. Quelles raisons vous ont donné la force d' arrêter.
Perso, une façon de s'évader des problèmes familiaux et sociaux ainsi que le fun. Au lycée j'ai découvert Carlos Castaneda et Huxley...
Dernière édition de: Harry Badgé (04-01-2024 23:53:48)
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Pas de problème physique (en apparence) mais une terrible culpabilité mentale.
Et puis depuis, j'ai l'impression de ne plus être le même, le mec capable de faire plier de rire une assemblée de 20/30 personnes réduit au mec discret dans son coin.
Personne n'est au courant dans mon entourage, à part ma femme
Tous les jours j'ai en tête d'arrêter, de réduire mais dans mon cas ça devrait passer par une hospitalisation (un sevrage sauvage m'est impossible au vu de ma vie de famille) et connaissant pas mal de monde dans le milieu c'est pas simple.
En fait, tout le monde (un peu écorché) fait un jour la rencontre avec son produit, certains sont en capacité de se raisonner (souvent avec l'âge et le fait d'être parent par exemple) et d'autres n'y arrivent pas.
Ça paraît très égoïste au bout du compte (et ça l'est en partie) mais c'est aussi parfois plus fort que toi.
Des blessures narcissiques profondes et un grand manque d'estime de soi.
" La justice c'est comme la sainte vierge, si on la voit pas de temps en temps, le doute s'installe"." Pile ou face " Audiard.
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Il y a d'abord et avant tout les carances du cadre familial. Déscolarisé à 16 ans, père absent, mère en dépression, bref..je vais pas continuer à vous gonfler la taulière.
J'avais envie de rajouter que la vie est belle et que, même si tout n'est pas possible, on peut réaliser beaucoup.
La culpabilité c'est le frein principal, à mon avis, pour sortir de ses addictions. Et dans les programmes, en général, on en parle pas assez. C'est à la fois la cause et la conséquence. Comment supporter cette culpabilité qui ronge ? En fuyant la réalité. Conséquence: la culpabilité augmente, etc etc etc etc
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Ok je vois le truc. Je n'ai pas les compétences ni la force pour gérer ce genre de truc. Je ne parle pas de toi. Mais j'ai du abandonner l'affaire vis à vis de personnes. Tu as la chance d'avoir une compagne (enfants peut-être ?) ainsi qu'un boulot que tu sembles apprécier. Quand tu n'as rien de tout ça, c'est compliqué et le meilleur moyen d'y replonger.
Moi c'était la chienlit dans mon taf qui m'y a fait replonger (alcool), en corrélation avec un vide humain...Sur Rennes j'aurai réussi sans problème. Avant celà me permettait d'être euphorique, déshinibé etc, maintenant je n'arrive même plus à ressentir une différence sauf le fait d'être plus calme (pas de tremblements).
Heureusement cela n'affecte pas ma sociabilité même si je deviens ours et que le taf c'est compliqué....Comme je bossais en resto, il me fallait au moins 3 whiskey à 7h pour être tranquille. Jamais eu de souci au taf au niveau relationnel ou technique. J'ai juste fait un burn out sur la quantité de gaspillage. J'ai fait un jeûne de 2 semaines. Le souci ce sont les complications physiques.
@Petit Jean : exactement.
Dernière édition de: Harry Badgé (05-01-2024 01:37:32)
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Merci pour les témoignages. En vous lisant, ça confirme le biais que les prises de drogues, ça commence avec un environnement compliqué et rares sont ceux à pouvoir y faire face.
La jeunesse d'aujourd'hui est peut être désœuvrée par le monde qui l'entoure et se réfugie dans quelque chose qui lui mette un bon coup dans la caboche pour voir autre chose et oublier.
Si on faisait un scénario SF où toute substance (alcool compris) disparaissait totalement demain, je pense qu'après une semaine, on verrait un monde bien différent. Pas mal de gens un peu hagard dans leur vie quotidienne et un espèce de "calme", comme un lendemain de cuite généralisé avec tout ce que ça implique.
Et je pense que le monde s'en porterait mieux sous certains aspects. Je pense aux milieux politiques et financiers qui ne pourraient plus agir sur leur rythme de travail par la prise de cocaïne, avec des rythmes de vie intenables qui se répercutent sur des strates plus basses de la société.
Je préfère encore être un cochon décadent plutôt qu’un fasciste.
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Oui Petit Jean, à la base il y a un cadre familial défaillant, un manque d'amour.
J'ai beau avoir sublimé tout ça en devenant infirmier en psychiatrie, ça ne règle pas les problèmes de fond.
Merci pour vos témoignages et l'exemple de Petit Jean démontre que tout reste possible.
J'ai 3 enfants de 2 unions différentes et j'essaie de leur apporter sécurité affective et amour pour qu'ils n'aient jamais à souffrir de ces carences et qu'ils se construisent solidement.
Dernière édition de: Penny lane (05-01-2024 12:12:05)
" La justice c'est comme la sainte vierge, si on la voit pas de temps en temps, le doute s'installe"." Pile ou face " Audiard.
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Beatboy attention à ne pas faire une généralité non plus. Tout le monde, jeune ou non, ne tombe pas dans la drogue, loin de là même.
Bien entendu, mais c'est là que tu construis ton rapport au monde et tes outils. Là où tu es le plus malléable et le plus à même de tomber dans une addiction.
Je préfère encore être un cochon décadent plutôt qu’un fasciste.
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Et pour ce qui est de l'alcool, puisqu'il semble que l'on a tous grandi en Bretagne dans les années 80/90, il fallait quand même sacrément s'accrocher pour être l’un/l’une des rares qui ne se mettaient pas des énormes races à la première occasion. Il y en avait, bien sur, mais on ne les voyait pas, ils restaient chez eux. Du coup, et des la fin de l'adolescence, le seul paysage hors famille et école n’existait que dans trois environnements : sur le terrain de foot/la plage jusqu’en fin d’après-midi puis dehors avec des bouteilles, ou au bar avec des pintes. (Puis le foot et la plage ont lentement disparu du paysage diurne)
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C'était toujours le cas dans les années 2000-2010.
Les pauvres soirées où tout le monde ramène de l'alcool de mauvaise qualité, tu enchaîne avec des jeux à boire et tu fini bourré parce que de toute façon tu ne sais même pas ce que tu fout là, mis à part tenter de t'intégrer socialement.
Je dirais que c'était même pire avec l'arrivée du binge drinking. Comme je fréquentais les patrons/serveurs de bar, ils ont aussi subi l'évolution. Les gens se pintaient à la maison et débarquaient à 23h complètement torchés. C'était parfois ingérable avec ce que cela suppose d'aggravation d'actes de violences etc.
Il ne faut pas oblier l'aspect économique. Les shooters bien sucrés à pas cher, les happy hours tout ça pour attirer les jeunes et se créer une clientèle. Le lobby des grosses entreprises type Pernod-Ricard..;Si demain un politicien augmente fortrment les taxes sur l'alcool (type prix en Scandinavie), ça risque de mal se passer..
Une bière est moins cher qu'un jus de fruit...
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Je n'ai qu'un seul rapport à l'alcool. Celui dégustatif. Je suis un passionné de Whisky et je m'impose une fréquence qui m'éloigne d'une addiction.
Après j'ai des atouts pour éviter cela que malheureusement tout le monde n'a pas.
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Et pour ce qui est de l'alcool, puisqu'il semble que l'on a tous grandi en Bretagne dans les années 80/90, il fallait quand même sacrément s'accrocher pour être l’un/l’une des rares qui ne se mettaient pas des énormes races à la première occasion. Il y en avait, bien sur, mais on ne les voyait pas, ils restaient chez eux. Du coup, et des la fin de l'adolescence, le seul paysage hors famille et école n’existait que dans trois environnements : sur le terrain de foot/la plage jusqu’en fin d’après-midi puis dehors avec des bouteilles, ou au bar avec des pintes. (Puis le foot et la plage ont lentement disparu du paysage diurne)
L'alcool était le rite de passage pour devenir un homme.
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C'est clair que c'était un rite de passage, c'est ma famille qui m'a fait boire la 1ere fois (à un mriage), je devais avoir14 ans. Cuite au bout de 3 verres, j'en avais jamais bu avant. Et je n'ai pas continuer d'ailleurs sauf à partir du lycée/fac et les teufs rennaises.
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Personnellement j'ai arrêter de boire pour d'autres raisons, mais avec du recul je me dis que je tombais lentement dans un mauvais rythme, j'étais à minimum une bière chaque soir, souvent plus, et il m'arrivait de me souler seul chez moi si je n'avais rien de prévu spécialement le week-end.
Je n'étais pas addict, dans le sens où je n'ai pas eu de mal à arrêter, mais je dois surtout mon "salut" au fait d'avoir rencontrer ma femme qui ne buvait pas du tout d'alcool, de ce fait je me suis naturellement imposé de ne pas en boire seul avec elle, seulement aux repas de familles ou avec les amis au départ. Puis j'ai pris la décision d'arrêter tout simplement.
Tout ça malgré que je connaisse les ravages que peut faire trop d'alcool, j'ai eu plusieurs cas dans ma famille, de personnes soit mortes de ça, soit complètement paumées.
J'ai plus ou moins la même histoire avec la cigarette du reste, je suis tombé dedans malgré que mon père avait lutté pour réussir à arrêter et nous avait averti des problèmes que cela causait.
J'ai quand même l'impression que la nouvelle génération est plus sensibilisé et surtout plus consciente de tout ça.
L'ouverture d'esprit ne se limite pas toujours à une fracture du crâne.
"Plus on est de fous, mieux on évite la camisole." Oxmo Puccino
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Surtout, on ne se rend pas compte (ou en tout cas les pouvoirs publics actuels), de la bombe socio-médicale que va causer cette hausse de la consommation d'alcool à outrance, ainsi que des autres drogues prises en masses aujourd'hui.
On peut rapprocher la situation de celle historique et très connue, de l'interdiction de l'absinthe au début du XXème siècle, à la différence que celle-ci fut poussée en sous-main par les producteur de vin qui voyait d'un mauvais œil cette alcool très populaire (notamment l'Eglise et ses vignes )
On criait d'ailleurs "à bas l'absinthe, vive le vin" durant cette période de vote parlementaire.
Aujourd'hui, on sait le problème global de l'alcool, mais on ne fait rien.
EDIT : tu as raison Danutz. Je pense que les jeunes (notamment cette génération des - de 20 ans) est bien consciente des dangers de la boisson et semble plus enclin à voir les dangers. Pour autant, ils passent par d'autres produits...
https://www.letelegramme.fr/ille-et-vil … 499089.php
(Fin mot du dernier fait divers sordide en date...fortement alcoolisés)
Dernière édition de: BeatBoy22 (05-01-2024 16:32:47)
Je préfère encore être un cochon décadent plutôt qu’un fasciste.
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C'est intéressant de lire tous vos témoignages, courage à ceux qui souffrent d'addiction
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EDIT : tu as raison Danutz. Je pense que les jeunes (notamment cette génération des - de 20 ans) est bien consciente des dangers de la boisson et semble plus enclin à voir les dangers. Pour autant, ils passent par d'autres produits...
Je n'en suis pas vraiment sûr. Il y abien evidemment un effet de la loi Evin, plus de suivi et d prévention, mais je dirais que les modes de consommation ont changé aussi. On boit plus à la maison (prix des boissons dans les établissements, l'interdiction de fumer, l'offre qui a évolué, les lois plus sévères pour les conducteurs).
Jeune, en supermarché , il n' yavait pas tant de choix que ça alors que maintenant la moindre superétte propose un large choix avec des produits qualitatifs (rhum, whisky haut de gamme) et pour tous les goûts, notamment pour attirer la gente fémine. Il y a aussi l'arrivée des "uber boissons", moins cher que dans un bar, servi sans bouger de chez soi....
Ma génération, on alllait au bar après le travail, une pinte pas plus et le ptit verre de vin pour le repas. C'était quotidien. Maintenant les jeunes, tu ne les vois pas de la semaine et ils se mettent des races le week-end ou lors de festivités.
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Je pense que les jeunes (notamment cette génération des - de 20 ans) est bien consciente des dangers de la boisson et semble plus enclin à voir les dangers. Pour autant, ils passent par d'autres produits...
Excusez cet humour coin-coin ( quoi que )
JE SUIS NÉ LE 27 AVRIL 2019
BREIZHILIA
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À l’époque des teufs on gobait des trucs mais on savait jamais trop ce qu’il y avait dedans. Des potes sont partis dans des trucs genre kéta, ça dissuade.
Un fois j’ai fumé de la coke basée, ce qui m’a peut-être sauvé c’est que j’ai dû me barrer bosser de nuit complètement défoncé, les effets étaient tellement caricaturaux pareil ça dissuade.
L’alcool devenait mauvais, petit déjeuner à la 8.6, j’ai arrêté parce que je devenais dangereux, et le pire c’est que je ne m’en souvenais plus. Quand c’est le juge qui te raconte ta fin de soirée, là encore ça dissuade.
Le tabac j’ai commencé à l’usine, le cannabis est venu plus insidieusement. Le pire c’est qu’on savait tous et toutes qu’il ne fallait pas commencer, mais on commence quand même.
C’est pour ça que je doute fortement des politiques de prohibition : beaucoup de manipulations de lobbies qui veulent monopoliser le marché : tabac, cacao, thé et café coloniaux, viticulture (très gros lobby), et de nos jours les vendeurs d’anxiolytiques et d’antidépresseurs…
On veut empêcher les overdoses et à côté on veut légaliser le suicide assisté : cherchez l’erreur.
Courage à celles et ceux qui sont dedans, y’a pas de règles, et attention pour les autres, personne n’est plus fort que ça. Jusqu’ici tout va bien, puis un jour… atterrissage.
Addiction au jeu, au travail, au sexe, c’est pas qu’une histoire de molécules agonistes.
Moi je suis encore addict à internet, pas étonnant qu’il y ait ici une section “open-bar pour insomniaques”. Mais certains ont beau critiquer ma suractivité numérique, les périodes de dépression sont intenses mais pas si longues.
Le sucre aussi est - il me semble - parmi les substances les plus toxiques et addictives qui soient. Énorme déni là-dessus.
Dernière édition de: Nito (06-01-2024 05:01:59)
“And I’d just like to say… from the bottom of my heart, I’d like to take this chance to apologize… to ABSOLUTELY NOBODY!”― Conor McGregor
“They all said I couldn’t do it… LOOK AT ME NOW!!! Level it… Pound for pound!! Headshot : DEAD!! That’s it…” ― Leon Edwards
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Faut quand même faire une différence entre le sucre et la coke....bon après moi je lutte quotidiennement contre le " trop manger" car j'adore mais à force de volonté et de course, j'arrive à garder la ligne..
Allez Rennes for ever
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