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J'en arrive à penser que l'alcool est le poison numéro un sur cette planète, et qu'il est la source de nos problèmes depuis plusieurs siècles en contribuant à exacerber nos mauvais penchants qui ne demandent que ça.
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Non.
3 - Revoir le Soleil (après une année 2023 où je suis resté en Bretagne faute de moyens et où le temps était pourri, on ne va pas se mentir), j'ai envie de prendre une bonne cure de vitamine D. Pourquoi pas le pays Basque que je ne connais pas.
Oula, très jolie région mais pas sûr que tu y trouves plus le soleil que chez nous, il pleut plus qu'à Rennes et autant qu'à Brest
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Le plus important n'est pas la pluviométrie mais l'ensoleillement.
Sur une année, il y a plus d'heures d'ensoleillement à Biarritz qu'à Rennes ou Brest.
Dernière édition de: Milie (03-01-2024 00:19:06)
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C’est le Dry January qui te dérange, ou le fait de ne pas boire pendant quelques semaines? La dernière fois j’ai fait 49 jours (je suis arrivé dans un camping avec un producteur local de cidre qui distribuait des litrons le 50e), pendant et après l’Euro, tu te sens quand même vachement à l’endroit après 3/4 semaines avec du sommeil à la place de l’alcool
Non juste l'aspect "bienveillance/pub/marketing". De bonnes intentions mais peu de résultat. Je connais les soucis de l' alcoolisme ainsi que les soucis au niveau social/conjugal. On a réussi à faire des progrès mais entre la théorie et la réalité...
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Non.
Jolie argumentation.
Oui Harry, l'alcool est un fléau social, encore aujourd'hui.
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Je pense que c’est un élément de langage déresponsabilisant que de présenter l’alcool comme un fléau/la source de tous nos maux : c’est l’addict qui fait la drogue et pas l’inverse, la drogue ne rentre pas toute seule par les voies d’ingestion.
Perso j’ai utilisé le terme « toxique », le terme poison est un peu fort : pas que ça ne tue pas à petit feu, mais évidemment pour quelqu’un qui n’a pas encore de séquelles physiques ce discours paraît alarmiste et donc contre-productif au niveau de la prévention.
Il y a un effet euphorisant, un côté déshinibateur sur la pensée et un effet destructeur sur le corps, que ce soit au niveau moteur, cognitif mais aussi directement lésionnel.
Qui plus est, il y avait une culture de consommation qui se perd chaque jour un peu plus, les gens « savent » de moins en moins boire. Et un conditionnement opérant quasiment pavlovien qui est difficile à accepter quand on est dedans.
De la même manière, des initiatives comme le dry January vont avoir de vrais effets positifs sur certains, des effets négatifs sur d’autres, que ce soit parce qu’ils le vivent comme une injonction culpabilisante ou parce qu’ils se donnent une bonne consicence artificielle par ce biais avant de replonger.
En tout cas, effectivement, en comparant l’alcool avec certaines drogues dures on s’aperçoit que c’est effectivement une belle saloperie.
Dernière édition de: Nito (03-01-2024 03:12:21)
“And I’d just like to say… from the bottom of my heart, I’d like to take this chance to apologize… to ABSOLUTELY NOBODY!”― Conor McGregor
“They all said I couldn’t do it… LOOK AT ME NOW!!! Level it… Pound for pound!! Headshot : DEAD!! That’s it…” ― Leon Edwards
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Est-ce qu'il ne serait pas temps de faire un vrai gros bilan de la consommation de drogues (alcool compris) de manière générale en France ?
Sans à-priori ni jugement à l'emporte pièce.
Simplement de savoir qui consomme et pourquoi ? (Même si devant un institut de sondage on est pas aussi dissert que devant son thérapeute).
Et une vision plus générale : quel est le taux de crime et délit sous l'emprise de stupéfiants (alcool et médicaments avec risques d'addiction sévères compris).
Je préfère encore être un cochon décadent plutôt qu’un fasciste.
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BeatBoy22 a écrit:3 - Revoir le Soleil (après une année 2023 où je suis resté en Bretagne faute de moyens et où le temps était pourri, on ne va pas se mentir), j'ai envie de prendre une bonne cure de vitamine D. Pourquoi pas le pays Basque que je ne connais pas.
Oula, très jolie région mais pas sûr que tu y trouves plus le soleil que chez nous, il pleut plus qu'à Rennes et autant qu'à Brest
Mais s’il ne pleut pas (on surnomme parfois le Pays basque le pot de chambre de la France), c’est beau et envoûtant.
À chaque époque, il est des gens qui ne pensent pas comme tout le monde, c’est à dire qui ne pensent pas comme ceux qui ne pensent pas.
-Marguerite Yourcenar -
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De toute façon ça finira par se faire. Ma compagne a une lointaine ascendance basque (son nom de famille est de là-bas, même si du côté maternel c'est breton de chez breton).
De mon côté, je demande à être convaincu.
On me vend et survend le pays Basque comme quelque chose d'extraordinaire et incroyable depuis tellement longtemps...
Mais je préfère les Alpes aux Pyrénées.
Je trouve pas de charme particulier aux images des plages basques (là où celles de la Bretagne ressemblent à des images d'archipels lointains).
Et le délire des férias avec le délire tir à la corde et course de taureaux (pauvres bêtes), c'est pas mon délire.
Mais comme tout le monde est unanime sur le sujet contre ce que j'imagine du lieu, je me dis que le meilleur moyen c'est encore de vérifier par moi-même.
(Entre ça et le fait que je trouve que Beyoncé est une artiste surcôtée, je dois vous avouer que je me sens bien seul parfois )
Dernière édition de: BeatBoy22 (03-01-2024 11:10:56)
Je préfère encore être un cochon décadent plutôt qu’un fasciste.
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Le Pays Basque est une région que j'aime beaucoup, je trouve les gens très chaleureux, il est très facile d'y faire des rencontres je trouve. Quand à la beauté de la région, comme toi, je ne suis pas fan de la côte Basque, qui est beaucoup trop urbanisé. Par contre, dans les terres, il y a vraiment de chouettes endroits. Notamment du côté d'Espelette, Itxassou, etc..
Rien à voir avec les Alpes en terme d'altitude, mais les Pyrénées ont un charme particulier, et personnellement j'aime beaucoup la personnalité du Pays Basque.
Coté climat, certes l'ensoleillement et la douceur est à l'avantage du Pays Basque, mais quand on part en vacances là-bas, il faut bien se dire qu'on peut tomber sur une semaine de pluie. Ca m'est arrivé l'an passé aux vacances de Pâques, où on a eu trois jours de pluie sans répit.
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Ils aiment beaucoup les bretons aussi. L'arrière pays est magnifique et varié. Je n' y suis jamais allé mais des je connais pas mal de saisonnier qui y sont passé. Accueil top, salaire aussi.
Les Alpes, je ne connais que la Savoie..Je n'ai pas apprécié (sauf le paysage). Mais les gens...pfiouu
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Et pourquoi pas faire une escapade à San Sebastian qui est à deux pas du Pays Basque Français avec notamment le charme de ses petites rues remplies de ses bars à pintxos délicieux et pleins de créativité qui changent des tapas habituels ?
Sur la côte basque espagnole également, Fontarrabie et Pasaia valent le détour avec un tout petit peu de dépaysement en plus.
Mais bien se couvrir en cette saison (la semaine dernière quand j'y suis passé moins 6 degrés le matin alors que 5 heures plus tard sur la côte méditerranéenne 5 heures plus tard 20 degrés l'après midi)
La place d'Espagne
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Ils aiment beaucoup les bretons aussi. L'arrière pays est magnifique et varié. Je n' y suis jamais allé mais des je connais pas mal de saisonnier qui y sont passé. Accueil top, salaire aussi.
Les Alpes, je ne connais que la Savoie..Je n'ai pas apprécié (sauf le paysage). Mais les gens...pfiouu
Oui les savoyards sont beaucoup moins accueillant que dans les Pyrénées, en plus d'être des grippe-sous plein de sous. Pour y avoir travaillé en tant que saisonnier, c'est difficile et très long de se faire accepter par les savoyards.
Et la Savoie, y a ce côté machine à fric qui peut déranger.
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Des bons grippe-sous, il y a aussi un aspect consanguinité que je pensais légendaire et pas mal d'histoire de famille à cause du pognon. Mon patron habitait à 300m de sa soeur, il ne savait même pas qu'elle avait un enfant de 3 ans... Sociologiquement très particilier.
J'ai pu rencontrer certains locaux à Chatel. Pas bling bling, mais ils possédaient la plupart des chalets voire des barres d'immeubles... Au prix de la semaine en saison, moi je vais aux Seychelles en vacances.
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J'ai habité 2 ans en vallée d'abondance, notamment à Vonnes en haut de Chatel.
Mentalité plus que douteuse, je confirme, beaucoup de vieilles familles siciliennes, pas de gens de couleurs embauchés...
Cependant, niveau paysage, c'est une dinguerie, plus jolie que le pays Basque, c'est juste mon avis.
Par contre au pays Basque, évite de parler aux locaux de pays Basque français et espagnol, contente toi de dire pays Basque.
Dernière édition de: Petit Jean (03-01-2024 13:07:11)
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Le plus important n'est pas la pluviométrie mais l'ensoleillement.
Sur une année, il y a plus d'heures d'ensoleillement à Biarritz qu'à Rennes ou Brest.
Apparement non, 2089 heures pour Rennes, 2016 pour Biarritz :
https://www.linternaute.com/voyage/clim … 0en%202022.
https://www.linternaute.com/voyage/clim … 0en%202022.
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J'ai habité 2 ans en vallée d'abondance, notamment à Vonnes en haut de Chatel.
Mentalité plus que douteuse, je confirme, beaucoup de vieilles familles siciliennes, pas de gens de couleurs embauchés...
Cependant, niveau paysage, c'est une dinguerie, plus jolie que le pays Basque, c'est juste mon avis.
Par contre au pays Basque, évite de parler aux locaux de pays Basque français et espagnol, contente toi de dire pays Basque.
Yep Vonnes c'était sympa au niveau paysage. Après de Chatel je pouvais accédér en Suisse en prenant les chemins. J'ai fait une saison sur Vervier puis Sion. C'était top et j'ai bien aimé les suisses, humour un peu comme les belges. Pas forcémment cher au niveau vie, les loyers sont au niveau de Rennes et plein de facilités type distrib de clope, coffee shop et prostitution légale souvent déguisé en salon de massage. Tu trouves les adresses dans le canard local. Le souci : la bouffe.
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Apparement non, 2089 heures pour Rennes, 2016 pour Biarritz :
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Bref c'est kif-kif.
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C’est clair. En même temps Rennes a des conditions climatiques beaucoup plus clémentes que les gens ne l’imaginent. Les régions maritimes essuient le plus gros comme la Normandie protège la Sarthe et la Mayenne.
Je sais pas à quoi riment les comparaisons avec les Alpes, surtout que bon le Pays Basque c’est pas de la Haute-Montagne.
Pour ce qui est des montagnards, j’ai du mal à imaginer qu’il puisse y avoir pire qu’en Pyrénées Centrales, mais encore une fois les basques ne sont pas habitués au même genre de relief. Perso je suis toujours tombé sur des gens extrêmement sympathiques mais bon, y’a des cons partout.
@Beatboy22 je sais pas ce qu’apporterait réellement d’analyser statistiquement plus finement les choses que ça ne l’est : déjà parce que comme tu le remarques justement il y a énoooormément de déni (il y a des marqueurs comme les Gamma-GT mais les gens arrivent toujours à te dire qu’ils boivent « un petit verre de temps en temps »), mais aussi parce que beaucoup de substances sont illégales.
Par exemple il y a les constatations dans les infractions routières mais tout ça reste multi-factoriel. Moi ce que j’aimerais savoir c’est le nombre de poly-toxicomanes qui ont commencé à expérimenter des drogues dures alors qu’ils ou elles étaient bourrées.
Ce qui est certain, même si je ne peux pas le prouver, et c’est peut-être le fond de ta pensée, c’est que la prohibition est tout à fait contre-productive (j’utilise beaucoup cette expression ces jours-ci), que ce soit en exacerbant le désir de l’interdît, en invisibilisant certaines consommations, et en favorisant les produits coupés ou frelatés.
“And I’d just like to say… from the bottom of my heart, I’d like to take this chance to apologize… to ABSOLUTELY NOBODY!”― Conor McGregor
“They all said I couldn’t do it… LOOK AT ME NOW!!! Level it… Pound for pound!! Headshot : DEAD!! That’s it…” ― Leon Edwards
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Pour la poly-toxicomanie, c'est une réalité. La fameuse phrase : le cannabis ne conduit pas à l' héroïne, c'est faux. De part le principe de son illégalité, à un moment donné tu tombes sur une personne qui t'en propose. Pas obligé d'y tomber mais tu as accès.
Sur Rennes, dans les bars, quand je cherchais de quoi fumer, on me proposait de la coke..car fumer était "has-been". Des personnes qui avaient un bon statut social, cela a détruit pas mal les relations (en plus les prix ont vachement baissé). J'ai fait des vernissages avec des gens bien connu de la mairie, c'était assez clair...
Le gros souci de l'addiction, c'est le déni. Très difficile de s'en sortir. Pour ma part c'est pas top mais heureusement, j'arrive à être sociable et même en étant bourré comme un coing, le pire sera un jeu de mot pourri sur SRO ou écouter ABBA. Je n'ai pas le permis et je ne prendrais jamais la bagnole dans ce genre de cas.
Par contre le suivi pour les demandes de soin sont diverses. A Rennes, l'antenne de Guillaume Regnier fait bien le taf, mais les rdv peuvent être de 3 mois... Là où je suis, j'ai demandé un suivi, le docteur me dit : Il faut juste arrêter...Merci Hippocrate.
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Jack35 a écrit:Apparement non, 2089 heures pour Rennes, 2016 pour Biarritz :
Bref c'est kif-kif.
Oui d'une année à l'autre ça varie mais ça reste équivalent.
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Cela se rapproche un peu de l’oxymore.
Pas exactement, mais dans l’esprit on y est presque.
La place d'Espagne
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un occis mort, c'est un pléonasme.
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