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Totalement d'accord avec toi Dark City, hélas pas assez malheureux pour avoir envie de changer le système.
c'est sûr que j'peux mourir demain, tant qu'elle m'habite entre ses reins.
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Envie de changer de système si, beaucoup de gens le souhaitent, mais pour quel autre système ?
De toute façon le système n'a jamais été changé, c'est le même qui mute continuellement.
bouhouhou
L'humanité sera véritablement heureuse lorsque le dernier capitaliste aura été pendu avec les tripes du dernier gauchiste.
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Je n'ai pas le droit d'être malheureux pedro ?
Brillant : https://twitter.com/UKLabour/status/1122893805621895168
Et bravo au PSOE espagnol qui montre que c'est possible de gagner en faisant une vraie politique de gauche
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Voyons Clowny, tu sais pourtant bien que "si l'on commence à jeter des cailloux sur les premiers de cordée c'est toute la cordée qui dégringole" (EM).
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"Chacune, chacun dans notre pays, et tous ensemble au niveau international, nous revendiquons la primauté des droits humains (le travail décent, la santé et la sécurité au travail, l’accès à l’emploi, etc.) sur les considérations économiques et financières !
À travers la candidature de Marina Mesure, nous soutenons les luttes syndicales européennes et internationales. Nous leur permettons d’accéder, enfin, au Parlement européen. Contre la loi des multinationales, élisons une eurodéputée qui place les droits humains, sociaux et environnementaux au-dessus de tout ! »
c'est sûr que j'peux mourir demain, tant qu'elle m'habite entre ses reins.
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LA LIGUE DU HARCELEMENT MÉDIATIQUE
(article long)
Avec la ligue du LOL puis le commando sexiste de France Info, nous avons appris qu’existaient dans certains médias des groupes de journalistes qui pratiquaient une technique sadique du harcèlement individuel destiné à briser psychologiquement leurs cibles. On aurait tort de croire que de telles pratiques soient coupées d’un contexte plus large dans d’autres champs où la chasse en meute et le pilonnage sont depuis longtemps dominants. Autrement dit, ils se font entre eux ce qu’ils sont tous d’accord pour faire à certains autres. Pour nous, les Insoumis, et pour certain.e.s d’entre nous en particulier c’est une évidence : nous sommes l’objet d’un harcèlement « de principe ». Il ne se passe pas une semaine sans que nous soyons accusés de toutes sortes de choses sur un mode à la fois très personnel et toujours assez vague pour que nous ne puissions répondre vraiment.
Ainsi de cette accusation inouïe d’être « ambigu sur l’antisémitisme », sans aucun fait, aucune plainte, aucune démonstration. Une accusation qui a duré dix jours sur tous les médias d’État et sur maints plateaux du privé. Ont été ensuite acceptées sans aucune vérification ni examen critique toutes les accusations d’autocratie et de dictature portées contre moi. Sans aucun fait précis, sans aucune vérification du sérieux ou des motivations des accusateurs. Ainsi, dans la pitoyable affaire Guénolé dont je ne savais absolument rien, qui se disait mon ami fidèle la veille encore et qui n’avait jamais évoqué quelque désaccord que ce soit sur quelque sujet que ce soit. Il ne lui fut même pas demandé quels exemples il pouvait donner de ses soudaines accusations de dictature dans le domaine d’exercice de sa responsabilité : l’école de formation. Ni ce que venait faire la dénonciation ubuesque du rôle de Sophia Chikirou dont le nom est devenu la pâture ordinaire du sexisme médiatique.
Car au cœur de la méthode de harcèlement viennent se loger des grands classiques comme le sexisme le plus éhonté. Ainsi dans la dépêche de l’AFP à propos du meeting des insoumis à Bordeaux dans le cadre des élections européennes, le nom même de Manon Aubry n’est pas cité ni un mot des trois quart d’heures de son intervention. Rayée de la carte purement et simplement. De même que par sexisme lui est sans cesse demandé de se positionner par rapport à moi jusqu’au point où la répétition de la question puisse faire croire à un problème sur le sujet ; jusqu’à l’absurde quand un journaliste lui jette à la figure « mais vous voyez bien que vous êtes obligé de vous justifier » alors même qu’elle répond à sa propre question sur ce sujet. L’obsession de donner un ton psychologisant à tout ce qui me concerne est certes une vielle rhétorique du camp réactionnaire. Mais, à présent, il se substitue à tout autre registre. Ainsi, en pleine campagne électorale, il se substitue évidemment à toute question sur le fond des positions. Mais passe encore ! Le plus stupéfiant est quand une information est donnée sans provoquer la moindre transmission. Voilà trois fois, dont deux à la tribune de l’Assemblée, que j’informe de la disparition du TSCG devenu caduque. Ou que, comme hier soir à Bordeaux, je raconte un échange avec le président Macron sur la prochaine Commission européenne et que le journaliste n’en dit rien, en dépit de son caractère exceptionnel, parce qu’il est obsédé par la recherche d’autre chose de plus personnalisant.
Dire que je suis un dictateur ne repose sur aucun fait. Sinon les jérémiades de gens qui se créent un problème avec moi pour habiller leur amertume ou leur frustration. Les deux ne me concernant pas mais impliquant plutôt d’autres litiges qu’ils ont, non avec moi, mais précisément avec des structures de décisions collectives du mouvement. Comme par exemple la commission qui a sélectionné puis classé les candidats dans la liste aux élections européennes. Hier, l’après midi fut dominé par l’invention d’un désaccord avec Charlotte Girard, responsable du programme du mouvement. Son démenti et sa dénonciation amicale d’une manœuvre destinée à me nuire n’ont rien changé au flot de ceux qui ont reproduit « l’information » donnée sur le sens de son départ prochain de cette fonction. Cette méthode du harcèlement a été montée en épingle par le rubricard du Monde qui, après avoir accueilli sans contrôle ni vérification toutes les critiques personnelles contre moi jusqu’à la « une » de son journal, a pu ensuite faire état de la lamentable opération de Thomas Guénolé comme « entrant en résonnance » avec celles qu’il avait lui-même montées en épingle. Le tout sans le moindre fait concret.
Bref, tout le monde est capable de dire que je suis un dictateur mais personne ne peut donner l’exemple d’une décision qui le prouve. J’ai déjà dit que tout cela est fait de beaucoup de paresse professionnelle. Aucune enquête, aucun intérêt pour le fonctionnement réel du mouvement, aucune référence à la dizaine d’articles que j’ai pu écrire dans mon blog pour montrer ce que l’auto-organisation signifie dans notre mouvement. Pas un article sur nos ateliers des lois ni sur aucunes des applications de la méthode Alinsky dans nos rangs. Rien, pas une ligne. Juste des ragots diffusés par des vieux briscards de la manipulation des médias. Sans oublier ceux dont c’est devenu l’unique activité politique que de me dénoncer à chaque occasion où un média veut traiter le sujet de ma « dictature ». Le plus frappant pour moi est que le seul endroit où j’ai une responsabilité dans le mouvement est le groupe et que cela n’ait pas encore donné lieu à un seul papier pour savoir comment je m’y suis pris pour que nous ayons atteint à 17 qui ne se connaissaient pas le degré de cohésion et de combattivité collective que tout le monde nous reconnaît.
Si je dénonce ce procédé de harcèlement hargneux, ce n’est pas parce qu’il vient de médias dont la ligne éditoriale nous est hostile ou dont certains dirigeants ont des comptes personnels à régler avec moi pour des raisons qui ne sont pas toujours très politiques. C’est par la forme de harcèlement volontairement obsessionnel que la méthode prend. Chaque semaine, une « affaire » est montée en épingle alors qu’elle n’a aucun fondement. La cadence en période électorale peut se resserrer comme actuellement, à une « histoire » tous les deux jours. Il va de soi que la dénonciation de ma terrible dictature inexistante est un argument simple pour écarter de nous les ballots qui croient ce que disent les médias. Et pour nous, ce sont des heures alors perdues en pleine campagne pour constituer un argumentaire, le diffuser et ainsi de suite. Sans oublier les dommages sur les personnes visées et sur leurs activités en général. Je crois que le signe le plus évident du naufrage des rubriques politiques est dans le coût pour elles de cette déviation dans le sensationnalisme sans objet. Car alors le « décryptage » qu’elle prétend être devient une pure activité de substitution. À la place du discours de celui qui le prononce se substitue celui du décrypteur. Au demeurant, « décryptage » signifierait que nous parlerions en langage « crypté », c’est à dire un bruit sans signification audible. La plupart du temps, on entend dire « en clair cela veut dire que »… La vérité est qu’au bout du compte « le décrypteur » rend souvent incompréhensible ce qui est dit, ou bien en change complètement le sens. Un bon exemple, à mes yeux, est quand je propose une « fédération populaire » et que dans le même journal où je le fais, le « décryptage » consiste à transformer la formule en « Union de la gauche » avec laquelle la formule n’a rien à voir.
JLM
c'est sûr que j'peux mourir demain, tant qu'elle m'habite entre ses reins.
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Est-ce qu'on pourrait arrêter les copier-coller ? Vraiment. Déjà c'est pour ça qu'ont été inventées les url, ensuite mets au moins un minimum de toi parce que là..
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Je peux pas, ce n'est pas un article mais une publication Facebook. Enfin peut-être que ça marchait quand même^^ j'ai pas essayé.
Ça roule, j'arrête le copier/coller.
Du coup vous en êtes où les uns et les autres à l'approche des élections ?
LR, LREM, Pspp, Eelv, generation, fi, pcf, lo... ?
Moi la candidature de Manon Aubry en tête de liste et les suivant.es me plaisent bien donc je pense voter de nouveau FI. Je suis de près génération et PCF voire eelv, en attendant leur alliance aux prochaines élections nationales j'espère !
Dernière édition de: Pinault rend l'argent ! (01-05-2019 18:42:14)
c'est sûr que j'peux mourir demain, tant qu'elle m'habite entre ses reins.
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Moi ce sera Génération.s mais uniquement parce que j'en suis membre.
Pour être le moins déçu possible, moi j'ai une solution : je vais voter pour Julien Stéphan
« Je suis un optimiste. Même mon groupe sanguin est positif. » (Anton « Toni » Polster)
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Sans connaître la psychologie de ces personnes (je n'en ai pas dans mon entourage!), on ne devient pas milliardaire par kif ou élan de générosité spontané, comme on n'investit pas (à perte ou non) dans un média pour le bien de la démocratie et la pluralité d'opinions. Le calcul est bien sûr omniprésent. Ces mecs là arrivent à survivre pour l'opinion publique (enfin une partie encore crédule, rien de personnel) uniquement par leurs opérations de blanchiment de réputation (mécenat, fondation, dons...).
Pas tout compris mais ça m'intéresse.
"Si tu parles a ton eau de javel pendant que tu fais la lessive, elle est moins concentrée." JCVD
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Sur la philanthropie, Le Monde diplo fait régulièrement des articles sur ces sujets:
La charité contre l'Etat
Les riches entre philanthropie et repentance
Joies troubles du mécénat
Ils sont en libre accès à ce jour.
Je n'ai par contre pas d'ouvrage à te recommander, cela doit exister mais je n'ai pas encore creusé le sujet.
Castaner il démissionne quand sinon ?
c'est sûr que j'peux mourir demain, tant qu'elle m'habite entre ses reins.
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Pourquoi demissionnerait-il?
Il est parfait dans le rôle qu'on lui a assigné, un parfait soldat qui fait tout pour protéger son supérieur. Demandes à la Macronie ce qu'elle en pense
We have been considered many things: A city in decay, a city in distress and without hope.
However we have never given up and we never say die. We are born fighters, we rise from the ashes. We are a community that believes in our future despite whatever anyone throws against us.
WE ARE DETROIT!
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De démocratie mature non. Là on a le trumpisme au pouvoir. Fake News, répression aveugle et brutalisation de l'espace démocratique
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J'espère que Hirsch, la directrice de l'hopital + les médias qui ont relayés sans vérification aucune (france inter ce matin...) vont s'excuser. Et l'autre toutou démissionner ou se faire virer, ça serait la moindre des choses.
Un article d'acrimed qui explique bien le délire auquel on assiste en ce moment. Ce pouvoir est désespéré et part complètement en vrille.
Dernière édition de: Utakad (03-05-2019 01:00:30)
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Le mensonge fait partie de toute démocratie. Comme de tout régime totalitaire. Dans le premier cas, la démocratie ne s'instaure jamais en représentante de la vérité et permet donc l'expression de toute vérité et de tout mensonge. Dans le second le régime totalitaire s'instaure sur le poids d'une unique vérité et donc par conséquent logique d'une illusion e la vérité et donc du mensonge.
Ce n'est pas parce que les autres démocraties punissent le mensonge qu'elles ne mentent pas.
Ce qui est nouveau, c'est pas tellement le mensonge, c'est l'obstination à continuer à mentir éhontément, continuer à jeter de l'huile sur le feu une fois que c'est clair et évident pour tout le monde qu'ils mentent. C'est le fait que la vérité soit considérée par une opinion y compris par le gouvernement et puisse être combattue tant qu'ils ont une armée de trolls derrière eux pour insulter les journalistes et médias qui mettent à mal leur thèse. Et ça s'appelle le trumpisme.
Quand on a ça dans un contexte de réduction des libertés, de la presse, de manifester... Oui ça fait peur pour la démocratie
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Mais c'est la dérive de toute courant sans idéologie ou pétition de principe. Ce qui est utile ne nuit pas. Et continuer de mentir leur est utile.
Ce qui est nouveau, c'est pas tellement le mensonge, c'est l'obstination à continuer à mentir éhontément, continuer à jeter de l'huile sur le feu une fois que c'est clair et évident pour tout le monde qu'ils mentent. C'est le fait que la vérité soit considérée par une opinion y compris par le gouvernement et puisse être combattue tant qu'ils ont une armée de trolls derrière eux pour insulter les journalistes et médias qui mettent à mal leur thèse. Et ça s'appelle le trumpisme.
Quand on a ça dans un contexte de réduction des libertés, de la presse, de manifester... Oui ça fait peur pour la démocratie
Peut être pourrais tu aller faire un tour au Vénézuéla pour mettre tout cela en perspective puisque nous vivons à l’ère de la mondialisation ? Mais peut-être soutiens tu les gentils Maduro et ses copains cubains contre les méchants Yankees
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Qui a parlé du Venezuela ? Vous êtes épuisants
"Ok y a des restrictions de liberté mais on n'a pas encore de dictature, trop bien"
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@boutros : et du coup si la réponse est non, tu as d'autres arguments à faire valoir pour défendre le gouvernement ?
c'est sûr que j'peux mourir demain, tant qu'elle m'habite entre ses reins.
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