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L'exemple typique des All blacks qui au lendemain de la débâcle de 2007 ont décidé de mettre en place un gros travail sur l'aspect mental. Un bon article sur leur préparateur mental qui est venu récemment donner un coup de main à Gary Southgate et la selection anglaise. http://nzh.tw/11883482
merde alors ! les anglais ne vont pas se chier dessus en Russie ? tout fout le camp ... ^^
"Ouais c'est vrai c'est un hold up, mais cette victoire on l'a pas volée" Y. M'vila le soir d'un Toulouse-Rennes
"Le barbecue à gaz c'est de la merde" S. Armand
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Dommage que mon anglais ne soit pas suffisamment bon pour pouvoir apprécier l'analyse de fond qui est menée dans cet article.
J'invite MichaelBBack à traduire tout l'article. C'est possible?
Bon je plaisante...
L'article est beaucoup trop long.
La sélection anglaise est en tout cas transfigurée.
En même temps, ils se débrouillent souvent très bien pendant les éliminatoires.
"Le problème, ce n'est pas le fait qu'on aille dans le mur ou pas. On va dans le mur ! Le problème, c'est à quelle vitesse on y va, à 50 km/h ou à 5 km/h ?"
Jean-Marc Jancovici, spécialiste du CLIMAT.
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les anglais ne vont pas se chier dessus en Russie ? tout fout le camp ... ^^
Si si, t'inquiète.
@Ritoninho, je le traduirais en entier si j'avais le temps mais en gros, ça dit que les All-Blacks étaient connus pour perdre les gros matchs dans le passé, qu'ils avaient beaucoup de mal à gérer la pression du public et des finales. Physiquement et techniquement, ils avaient tout pour gagner, mais il y avait pas du tout de préparation mentale. En 2004, quand Graham Henry devient le nouveau coach, il a tout de suite vu qu'il y avait un problème à ce niveau-là et il a essayé de le résoudre, mais l'EdF a mis des bâtons dans les roues dans la CdM 2007.
Malgré cette défaite, Henry est resté et il a donné encore plus de responsabilités au coach mental, Gilbert Enoka. Enoka a fait plein de recherches sur la pression, le cerveau, le mental des joueurs, etc. Il voulait savoir s'il y avait un moyen d'aider les joueurs à rester concentrés dans les gros matchs et de ne plus perdre leurs moyens quand ça devenait difficile. Il a créé une équipe de recherche, avec un neurologue, un prof de karaté et un psychologue. Ensemble, ils travaillaient pour trouver ce « remède » contre les faiblesses mentales.
Au final, ils ont trouvé ce système de « tètes bleues et tètes rouges », qui est aussi utiliser par le Mossad en Israël. L'idée c'est qu'on peut soit avoir une tète bleue qui est calme, tranquille et concentré, soit une tête rouge avec plein de stress et de l'anxiété. Evidemment, les joueurs vont mieux jouer avec des têtes bleues, donc l'équipe a trouvé des astuces pour aider les joueurs à garder ces têtes bleues. C'est des petits trucs, mais selon les joueurs, ça fonction. Quand ils commencent à stresser, ils respirent profondément, par exemple. Dans les matchs, les joueurs sont toujours en train de se dire « Est-ce que j'ai une tête rouge ? » et ils ont tous leurs petites techniques pour garder la tête bleue.
Heureusement, les joueurs étaient très ouverts d'esprits. Apres la CdM 2007, ils ont compris qu'ils avaient un problème et ils voulaient le résoudre, donc ils ont bien écouté les coachs. Maintenant, quand un joueur a un problème, il peut parler avec Enoka quand il veut. Enoka ne reste pas dans un bureau à attendre les joueurs non plus, il est toujours présent et très impliqué aux entrainements.
Depuis qu'ils ont commencé tout ça, ils perdent presque plus de matchs. Ils ont compris que dans les matchs internationaux, il y a plein de joueurs qui sont bons techniquement et physiquement. Toutes les bonnes équipes peuvent marquer les essais et faire des belles séquences de jeu, mais le petit truc qui les sépare c'est « Est-ce qu'ils peuvent le faire sous pression ? »
Et Enoka et son équipe travaillent toujours. Ils ont récemment parlé avec les Marines et ils sont toujours en train de faire des recherches pour améliorer leur système.
Voila. Surement des erreurs dans tout ça mais l'article c'est ça en gros.
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Ah ouais quand même...
Je n'avais pas du tout compris ça avec ces histoires de tête.
Ils sont allés très très loin et visiblement leur démarche est couronnée de succès.
Le journaliste précise tout de même que les joueurs sont doués techniquement, physiquement, tactiquement.
Tout ne repose pas sur le mental heureusement.
Mais cela fait la différence face à tous les adversaires de même calibre.
Quand on connaît le niveau resserré de la ligue1 entre le bas de tableau et la 9ème place, si le Stade Rennais pouvait prendre plusieurs longueurs d'avance dans ce domaine là, ce serait tout bénef et à moindre coût.
Je veux dire par là qu'une campagne de recrutement dispendieuse n'est peut être pas plus efficace que de se doter d'un très bon préparateur mental.
Merci MichaelBBack d'avoir pris le temps d'éclaircir cet article.
"Le problème, ce n'est pas le fait qu'on aille dans le mur ou pas. On va dans le mur ! Le problème, c'est à quelle vitesse on y va, à 50 km/h ou à 5 km/h ?"
Jean-Marc Jancovici, spécialiste du CLIMAT.
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Je ne suis pas convaincu que ce soit un domaine où une aide extérieure puisse changer grand-chose. Le mental de vainqueur, tu l'as ou tu l'as pas.
La référence à Rennes ces 20 dernières années, c'est Frei sans aucun doute. Un joueur pas hyper grand, pas super fort techniquement, mais un mental de guerrier à toute épreuve, un perfectionniste capable de se foutre en rage après une victoire 4-0 s'il avait loupé une ou deux occases. Des joueurs comme ça, il y en a peu malheureusement.
Pour avoir eu recours à la préparation mentale, dans mon passé de sportif de haut niveau, je peux t'affirmer que ça à un impact inimaginable sur les performances. Mais pas seulement, également sur la récupération, la gestion des émotions et l'analyse a posteriori de ses performances.
Je ne connais pas un seul sportif ayant eu recours à ce type d'entrainement (oui oui il s'agit bien d'entrainement, de la même manière que le physique) qui l'ai regretté.
Concernant le caractère flou des formations, elles sont maintenant encadrées et reconnues. C'est les agents et les entraîneurs qui rejettent cela en masse, car ils ont peur (à tord) de perde de l'influence sur les joueurs.
Enfin quand je vois "Le mental de vainqueur, tu l'as ou tu l'as pas.", je me dis aïe aïe aïe...
Dernière édition de: 4ur (06-10-2017 12:12:00)
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Voila. On dit souvent qu'il n'y a pas grand-chose qui sépare les équipes dans le « ventre-mou » de la Ligue 1, et on voit souvent que notre équipe du mal dans les moments difficiles et perso, je suis 100% d'accord avec ton idée. Je pense que le mental ça joue énormément et ça serait très bien d'avoir un bon préparateur mental.
Edit: 4ur a tout dit.
Dernière édition de: MichaelBBack (06-10-2017 12:34:13)
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Pour avoir eu recours à la préparation mentale, dans mon passé de sportif de haut niveau, je peux t'affirmer que ça à un impact inimaginable sur les performances.
Trois titres successifs de champion du monde de palet breton le 4ur.
• Champion MPG et pas que dans son cœur • Grand vainqueur de débats du soir • Pianiste sur un clavier AZERTY • Accident waiting to happen • Ado attardé • Twitter •
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Au delà du monde du sport de haut niveau, c est un problème sociétal. On fait du sport à l école des la maternelle mais quid de l entrainement mental. Maîtrisé ses pensées pour aller vers un objectif ou simplement maîtrisé ses pensées ça s acquiert par l entraînement. Donc entièrement d accord avec 4ur. Un des pères fondateurs de la sophrologie française est l ancien kine de l équipe de suisse de ski et c est d abord par le sport de haut niveau qu il a pu mesure l impact de la préparation mentale, ici par la sophrologie mais y'a d autres techniques.
Dernière édition de: Frère Tuck (06-10-2017 14:59:32)
Kelenner a écrit:Je ne suis pas convaincu que ce soit un domaine où une aide extérieure puisse changer grand-chose. Le mental de vainqueur, tu l'as ou tu l'as pas.
La référence à Rennes ces 20 dernières années, c'est Frei sans aucun doute. Un joueur pas hyper grand, pas super fort techniquement, mais un mental de guerrier à toute épreuve, un perfectionniste capable de se foutre en rage après une victoire 4-0 s'il avait loupé une ou deux occases. Des joueurs comme ça, il y en a peu malheureusement.
Pour avoir eu recours à la préparation mentale, dans mon passé de sportif de haut niveau, je peux t'affirmer que ça à un impact inimaginable sur les performances. Mais pas seulement, également sur la récupération, la gestion des émotions et l'analyse a posteriori de ses performances.
Je ne connais pas un seul sportif ayant eu recours à ce type d'entrainement (oui oui il s'agit bien d'entrainement, de la même manière que le physique) qui l'ai regretté.Concernant le caractère flou des formations, elles sont maintenant encadrées et reconnues. C'est les agents et les entraîneurs qui rejettent cela en masse, car ils ont peur (à tord) de perde de l'influence sur les joueurs.
Enfin quand je vois "Le mental de vainqueur, tu l'as ou tu l'as pas.", je me dis aïe aïe aïe...
oui, la dernière phrase c'est du même niveau de compréhension que de dire que dans la vie il y a les winner et les looser.
Dernière édition de: Anto logic (06-10-2017 15:29:46)
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Ben j'aimerais bien qu'on me cite un exemple de joueur dilettante qui serait devenu un guerrier suite à une "préparation mentale" poussée, de tête je ne trouve pas d'exemple, il doit bien y en avoir mais on ne peut pas dire que ce genre de transformation soit hyper fréquente...
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Dans un sport co. à mon avis et c est que mon avis, un préparateur mental peut agir sur les objectifs et la cohésion du groupe, la responsabilisation de chacun face au groupe. Pour moi c est l intérêt d un préparateur mental. Pas pour faire un travail individuel mais bien pour le groupe dans son ensemble. Dans un bureau marketing par exemple, et toujours pour parler sophrologie, le préparateur va travailler sur l objectif de l équipe pas sur les individus directement.
Dernière édition de: Frère Tuck (06-10-2017 17:40:36)
Je pense que plus encore que du mental, c'est une culture de la gagne qu'il manque a Rennes. Alors, certes, cela revient a peut prêt au même principe, mais c'est trop gentil comme club, trop douiller, c'est un petit confort d'être joueur au SRFC
Tant que Rennes restera dans cet esprit "club-med" peut de chose changeront
Stadier? Pas le même maillot mais la même passion!
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La prépa mentale c'est hyper perso. Ça marchera jamais sur un groupe entier. Il faut y être réceptif. C'est réellement un entrainement, ça nécessite d'y consacrer du temps, de la concentration.
Pour répondre à Kelenner, le sujet est encore très tabou. Je ne connais pas de joueurs qui mettent en avant la prépa mentale dans l'augmentation de la performance. Quoi que j'ai vu un beau témoignage de Dennis Appiah l'autre jour. Ca transformera jamais un feignant en un battant. Ca doit être volontaire. Ca peut par contre aider des joueurs ayant des sautes de concentrations, du mal à se motiver, se calmer etc...
Presque Kant!
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Les coach mental sont hyper important dans le tennis donc je me dis qu'un préparateur mental au foot, ça devrait clairement être un plus aussi, quand on voit la gueule de nos finales, qu'on me dise pas que le mental ne joue pas.
Grig is God - 11 pts -- 10e -- 9/34 - A looser is a loser who can't spell loser - ❤ 27 avril 2019 ❤
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Je ne sais pas si le mental joue tant que ça dans ces finales si on y repense ..
On ne tue juste pas le match en 2009 et on se fait punir. En 2013 c'est la fin de l'ère Antonetti avec une équipe de zombies, et en 2014 l'équipe s'est juste faite bouffée par EAG. Pas trop de rapport avec le mental pour moi, ce n'est pas la cause principale de nos défaites en finales en tout cas.
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Ah là non je ne suis pas d'accord avec toi.
Pour moi en 2014, la finale elle s'est surtout jouée dans les têtes.
Si on s'est fait bouffer c'est justement parce que les guingampais avaient pris le match à bras-le-corps sans calculer quoi que ce soit.
Aucune tergiversation, rien. Dans leur tête, ils étaient prêts au combat, prêts à jouer la finale.
Nous c'était l'inverse.
Aucune envie, aucun enthousiasme. Complètement déboussolés.
Et même en tribunes, les supporters n'étaient pas sereins avant le match.
Cette finale on l'a perdu avant même de la jouer.
"Le problème, ce n'est pas le fait qu'on aille dans le mur ou pas. On va dans le mur ! Le problème, c'est à quelle vitesse on y va, à 50 km/h ou à 5 km/h ?"
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On ne va pas refaire l'histoire mais Guingamp n'a pas battu Rennes que sur "l'envie", la tactique de Gourvennec a très bien marché face à un axe rennais inexistant et c'est ça avant tout qui fait qu'on perd cette finale. C'était d'ailleurs la troisième fois que cela arrivait dans la saison.
Un préparateur mental n'aurait pas changé grand chose je pense. Un autre entraîneur qui sait bien mieux mobiliser ses troupes en ne disant pas que ce "n'est pas important de gagner des trophées" en conférence d'avant match, et qui soit fin tacticien ça aurait déjà bien aidé.
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Oui c'est vrai tactiquement Guingamp était au top.
Mais je pense tout de même que de notre côté il y avait beaucoup de flottement.
Mais t'as raison, 3 ans après, difficile de refaire ce match.
Puis pour affirmer que mentalement on n'y était pas, il faudrait avoir vécu dans le groupe pendant toute la journée de la finale.
"Le problème, ce n'est pas le fait qu'on aille dans le mur ou pas. On va dans le mur ! Le problème, c'est à quelle vitesse on y va, à 50 km/h ou à 5 km/h ?"
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Souvenez-vous aussi des bruits sur ce qui aurait pu se passer dans les vestiaires avant la finale de 2014. Pour moi, il s'est passé un truc avant ce match, ce n'est possible de passer autant à côté d'une finale. Les supporters étaient globalement sereins même si stressés avant le match, je dirais plutôt que les supporters avaient compris qu'on allait perdre après un quart d'heure de jeu, tout simplement.
"Le supporter voit ça comme un refus de jouer, mais indéniablement, cette passe vers l'arrière, c'est le début d'une nouvelle attaque"
Marcelo Bielsa
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Ah là non je ne suis pas d'accord avec toi.
Pour moi en 2014, la finale elle s'est surtout jouée dans les têtes.Si on s'est fait bouffer c'est justement parce que les guingampais avaient pris le match à bras-le-corps sans calculer quoi que ce soit.
Aucune tergiversation, rien. Dans leur tête, ils étaient prêts au combat, prêts à jouer la finale.Nous c'était l'inverse.
Aucune envie, aucun enthousiasme. Complètement déboussolés.
Et même en tribunes, les supporters n'étaient pas sereins avant le match.Cette finale on l'a perdu avant même de la jouer.
Assez d'accord avec toi. Le stress est un facteur important dans le football. Et savoir l'appréhender n'est pas donné à tout le monde. En ça un préparateur mental peut objectivement apporter un plus. La première finale était disproportionné au niveau de l'approche... Guinguamp en ligue 2 n'avait rien à perdre. Perdre aurait été logique et gagné un exploit aux yeux du grand public. Forcément l'appréhension et le stress sont moindre dans cette configuration. Tout le contraire de rennes qui se devait obligatoirement de gagner ce jour-là car "supposé" supérieur. Pour cette finale une vrai approche mentale aurait pu apporter quelque chose. Bref impossible de refaire l'histoire.
Même dans le foot amateur le stress est un facteur a ne pas négligé. Qui n'a pas connu une nuit morcelée la veille d'un match car trop d'excitation ou encore la boule au ventre juste avant le coup d'envoi? Tout ça est peu relaté mais ce sont des choses qui arrivent régulièrement.
Dernière édition de: bretagne sud (07-10-2017 22:49:20)
Je dissocie 2014 des autres finales également. Pour moi, ça fait effectivement partie des quelques exemples, finalement assez rares, de matchs perdus dans la tête avant de les jouer, comme Barcelone-PSG, Brésil-Allemagne ou France-Ukraine. Au bout de 10 minutes, tout le monde avait compris le dénouement, à aucun moment on a pu y croire et ça se voyait à l'attitude des joueurs sur la pelouse.
En 2009 il y avait forcément du stress vu l'attente incroyable des supporters et notre statut de favoris, ça avait joué sur notre performance mais malgré tout le match était hyper serré et bascule sur des coups de dés. On aurait très bien pu l'emporter.
En 2013, l'équipe était à l'agonie après une série désastreuse, on avait perdu assez logiquement mais on avait lutté jusqu'au bout pour revenir, et au final il n'avait pas manqué grand-chose face à un Saint-Etienne assez terne.
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oui, 2014, c'était d'une grande tristesse. 10 minutes tu es gentil, je crois qu'au bout de 5 l'affaire était entendue tellement on prenait le bouillon. Le plus revelateur de ce manque d'envie, c'était le retour des vestiaires : tous les Rennais dispersés sur la pelouse, tous les Guingampais réunis en cercle. Souvent je trouve ça un peu pipeau, mais là on s'était fait rentrer dans la gueule dès la reprise et le 2-0 est arrivé direct, ça a pas traîné
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L'Argentine a fait appel à un... sorcier pour se qualifier au Mondial.
https://m.lequipe.fr/Football/Actualite … ier/841383
Bon là c'est quand même autre chose qu'un préparateur mental.
Mais ceux qui s'amusent de la probabilité qu'il existe un cimetière indien sous le Roazhon Park vont peut-être en réclamer un qui sait...
Aaah force obscure quand tu nous tiens.
Sinon je cite ce message de asa-55 qui identifie très bien, à mon sens, les manques du Stade Rennais.
Avant Caen on restait sur 3 très bons matchs ou avec un peu plus de réussite (face à Nice) et un meilleur arbitrage (à Sainté) sa devait faire au moins 2 victoires et 1 nul sur ces trois matchs.
Le match de Caen par contre, a été catastrophique, sachant qu'en plus Caen aussi était loin de faire son meilleur match.
Mais Gourcuff ou pas Gourcuff les entraineurs passent et c'est toujours le même constats depuis pas mal de saison maintenant. Nos équipe ne se font pas violences, on se met au niveau de l'adversaire et résultat contre "les petits" on joue tranquille, on les laisses tranquillement prendre le dessus et on se fait pigé sur un contre, un cpa ou une action à la con. Et derrière au mieux on revient difficilement à 1-1 ou on perd le match. Le derniers match on prend le but, on sait pertinemment que le match on ne le gagnera pas. Scénario vu et re-vue et re-re-vue !
Quand on voit les matchs catastrophiques qu'on sort contre Dijon et Caen et quand on voit ce qu'on est capable de faire à Marseille et Sainté ou même face à Nice c'est pas possible quoi.
Il faut dire ce qu'il est, on arrive pas à motivé les joueurs pour les matchs moyens. C'est un problème mental, clairement et qui est là chaques saison et ni Antonetti, ni Monatnier, ni Gourcuff ne sont arrivé à gommer ça. Techniquement on l'a vu face "au grosses équipes" on est capable de répondre présent. C'est vraiment un problème de motivation et d'engagement.
Dernière édition de: ritoninho (11-10-2017 08:56:23)
"Le problème, ce n'est pas le fait qu'on aille dans le mur ou pas. On va dans le mur ! Le problème, c'est à quelle vitesse on y va, à 50 km/h ou à 5 km/h ?"
Jean-Marc Jancovici, spécialiste du CLIMAT.
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La légende raconte que le sorcier s'appelle Gui vemi moni
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Jean Paul Ancian, préparateur physique et mental.
Ancian
Là je dis un grand oui.
Comme dit Létang, la réussite se provoque en chassant les moindres détails.
"Le problème, ce n'est pas le fait qu'on aille dans le mur ou pas. On va dans le mur ! Le problème, c'est à quelle vitesse on y va, à 50 km/h ou à 5 km/h ?"
Jean-Marc Jancovici, spécialiste du CLIMAT.
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