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Non mais je n'ai pas grand chose à dire sur le programme de Dark City si ce n'est que la grande majorité me conviennent. Je peux contester à la limite certains truc à la marge ("obligation du droit de vote", j'imagine qu'il entendait obligation de voter, mais je pense qu'il faut que cela s'accompagne d'une prise en compte des votes dits insatisfaits ainsi que d'une vraie réforme de la manière dont sont organisées les élections, pour que les partis avec le plus de moyens ne captent pas les votes d'électeurs qui n'ont pas le courage d'aller s'informer, ou le remboursement sécu conditionné sur les revenus (même débat sur les allocs par enfant par ailleurs), parce que le principe d'égalité doit rester inébranlable face à des choses comme la maladie. On est malade pareil, et la société doit combattre les maladies de tous, ce n'est pas une question de personnes, de gros doutes sur la personnalisation des parcours dès le CP, parce que je suis un grand adepte du socle commun qui veut que chacun ait le même apprentissage, mais aussi parce que les lubies d'un gosse de 12 ans ne sont peut-être pas les mêmes que l'adulte qu'il deviendra et que j'ai peur que ces parcours individualisés n'enferment les gosses plus qu'ils ne les aident. Je préfère les formations type Montessori qui laissent chaque élève avancer à son rythme, tout en gardant l'objectif des mêmes compétences à la fin du parcours. Quitte à ouvrir un subventionnement pour que, sur son temps libre, l'enfant puisse faire l'activité qu'il souhaite. Attention aussi à la question des profs, n'importe qui ne peut pas le devenir, et il faut un vrai temps de formation. On le voit aujourd'hui, prof est devenu une alternative pour beaucoup du fait du manque de titulaires, on ne peut pas dire que ce soit un succès).
Sur d'autres j'irai même plus loin. Le service civique devrait selon moi être obligatoire pour tous, dès 16 ans, renouvelable si souhait exprimé. Sur la plupart je pourrais compléter en allant dans son sens.
Maintenant ce programme-là, outre le fait qu'il y a de grands domaines encore inexplorés, va se heurter, comme tout programme social, à la question du financement. Et plus on creusera, plus on se rendra compte que comme le serpent qui se mord la queue, ce n'est pas le libéralisme, qui ne fait qu'accélérer le processus, mais le capitalisme qui produira des résistances que ses mesures ne pourront pas surmonter. Et il viendra, comme moi, grossir les rangs des trotskistes (probables vu sa propension à l'obligation) ou des anars.
Bon le tien par contre... Ca allait bien pourtant au début... et puis tu te macronises à une vitesse... ça parlait de coopératives, de travail associatif et de bio (même si je préfère les circuits courts et la vente directe, comme priorité).
Pour le bâtiment, ok, attention, plus de nouvelles terres arables sacrifiées sur l'autel de la construction. On rénove et on isole. Par contre rien à foutre de l'investissement locatif. On est propriétaire de son logement, à la limite d'un deuxième, le reste on le laisse aux autres. Point, barre. Collectivisation des logements non-occupés. A la limite, je veux bien que tu restes proprio (et encore), mais si tu n'as rien à en faire, partage avec les autres.
Et donc c'est au moment où tu parles des fonctionnaires que ça commence à tiquer. Déjà parce que tu prends le problème par le mauvais bout. Tu sembles dire, si je t'ai bien compris, qu'un boulot à vie ce n'était plus tenable économiquement.Moi je pense que pour de nombreuses personnes, passer sa vie à être dépendant du bon vouloir d'un employeur ça n'est pas tenable. La fonction publique, c'est ça qu'elle permet. Ensuite tout le monde fait des efforts, si tu as regardé le document que j'avais posté à la fin de mon très long post du les fonctionnaires, tu aurais remarqué que ce qui choque, ce n'est pas les rémunérations dans la fonction publique, qui sont en moyenne plus élevées que celles du privé, mais les grandes inégalités entre les gagnants du système privé et les perdants de ce même système, qui se font enfler comme pas permis. Eh ouais, les cadres du privés gagnent beaucoup mieux leur vie que ceux du public, au détriment de la populace, qui elle se retrouve coincée. Mais ça c'est le capitalisme qui veut ça. Dans le capitalisme, comme on part sur une base limitée (celle de nos ressources naturelles), on ne peut pas avoir que des gagnants. Merci à la Fonction publique et son boulot à vie d'épargner ça à ceux qui ne veulent pas rentrer dans ce jeu destructeur. Tu demandes à le faire chez les retraités, mais pas dans le secteur privé, c'est bien dommage.
Je ne reviendrai pas sur les accords de branche, j'ai déjà dit tout le mal que j'en pensais, documenté ma réflexion sur le principe que tu ne peux pas t'asseoir à une table de négociation d'égal à égal avec un type qui suspend au-dessus de ta tête l'épée de Damoclès de la délocalisation et des 3M de chômeurs qui sont prêts à prendre ton taf pour la moitié de ton salaire.
Le travail le week-end sur contrat spécifique pour des chômeurs qui pourront comme ça travailler TOUS les samedis et TOUS les dimanches et être définitivement sûrs de ne jamais voir leurs gosses. Ce qui va poser problème sur la question de l'éducation de ces gosses. Parce que non, ce n'est pas le rôle de l'école d'apprendre le respect, la tolérance, la propreté et tout plein d'autres choses aux gamins. C'est aux parents de le faire. Et pour traîner pas mal dans les milieux de l'EducNat, le temps que tu dois passer à expliquer à 3 gamins de ta classe, même à 8 ans, que "non, tu ne peux pas te lever quand tu veux pour faire ce que tu veux parce que là on travaille" et que "non tu ne peux parler avec ton voisin parce que là on travaille" et que "non tu ne peux pas lancer des trucs à travers la classe parce que là on travaille", c'est du temps perdu pour tout le reste du travail à effectuer.
Sur la question des syndicats, le fait d'avoir plus de syndiqués ne changera rien au schmilblick. Si les syndicats étaient puissants par le passé, c'est uniquement parce que les travailleurs avaient encore la possibilité de bloquer l'économie du pays. Aujourd'hui, tu peux mettre 100% de syndicalisation, si tu n'as pas un patron pour croire que ces types-là seront capables de faire grève pendant plus de trois jours, sinon ils ne paieront pas leurs loyers ou ne pourront pas faire bouffer leurs gosses à la fin du mois, crois-moi que ce n'est pas le type qui vient avec l'étiquette de "j'ai les salariés derrière moi" qui va changer quelque chose.
Enfin, réduire les charges, je laisse Franck Lepage, qui en parle mieux que moi : https://www.youtube.com/watch?v=eCe1ZLT-ax8
En fait, tu as oublié un truc, c'est qu'on est dans un rapport de force qui est largement en faveur de l'employeur. Et que toutes les solutions que tu proposes vont encore dans le sens de l'employeur. Après je suis d'accord pour aider les petits, ceux qui s'engagent sur certains domaines particuliers, mais certainement pas lâcher la bride à tout le monde. Dans l'idéal on créerait un circuit fermé où on prendrait à ceux qui ont réussi pour aider ceux qui débutent à réussir. Oh mais attendez... c'est pas le principe de la sécurité sociale ça? Mais pourquoi les patrons ne se lancent pas dans un truc aussi malin que ça? Mais parce que ceux qui ont réussi n'en ont absolument rien à battre d'aider ceux qui démarrent. Eux ils sont ca-pi-ta-li-stes. Le principe c'est de gagner du pognon, pas d'être solidaires...
Edit : je remets (et je précise que je l'ai déjà mis il y a trèèèès très longtemps juste pour Yoyo qui est je suis sûr toujours persuadé qu'il est le premier à avoir parlé de ces problématiques sur ce forum...) le lien sur la conférence de Franck Lepage et Gaël Tanguy sur le travail : https://www.youtube.com/watch?v=cqIcOaKAX4k .
Dernière édition de: Dnairb (14-02-2017 00:53:07)
Jorge Sampaoli : "Une fois, j'étais avec une femme dans un bar. On a parlé toute la nuit, on a ri, flirté, je lui ai offert des verres. Et puis vers 5 heures du matin, un type est arrivé, l'a prise par le bras et l'a emmenée aux toilettes pour lui faire l'amour avant de partir avec elle. Mais ce n'est pas grave, puisque j'avais eu l'essentiel de la possession cette nuit-là."
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J'ai toujours su que tu avais un bon fond. Faut juste pas t'énerver.
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Kesta toi, Pablo Correa là!!
Jorge Sampaoli : "Une fois, j'étais avec une femme dans un bar. On a parlé toute la nuit, on a ri, flirté, je lui ai offert des verres. Et puis vers 5 heures du matin, un type est arrivé, l'a prise par le bras et l'a emmenée aux toilettes pour lui faire l'amour avant de partir avec elle. Mais ce n'est pas grave, puisque j'avais eu l'essentiel de la possession cette nuit-là."
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Et voilà, il nous refait une mélencho-macroïte.
C'est noooooootreeee prooooojjjeeeeettttt, la révoooolutttiiiiioooonnnn et la luuuuuuuuutte deeees claaaaasssses!!! Aaaaa baaass l'aaaaustéééériiiitéééééééééé footbaaaaaaaalllistiiiique!!!
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Et voilà, l'ironie, encore un exemple de la position hautaine des classes moyennes supérieures qui profitent de politiques faites pour eux, qui se gaussent des efforts faits par les strates inférieures pour tenter d'améliorer leur quotidien et qui tentent par là même de porter le discrédit sur les mouvements populaires.
CECI, Mesdames est Messieurs, est, s'il vous en fallait encore, une nouvelle démonstration que la lutte des classes n'est pas un vain mot, et que les adversaires sont plus proches de nous qu'on ne le croit!
Dernière édition de: Dnairb (14-02-2017 11:44:26)
Jorge Sampaoli : "Une fois, j'étais avec une femme dans un bar. On a parlé toute la nuit, on a ri, flirté, je lui ai offert des verres. Et puis vers 5 heures du matin, un type est arrivé, l'a prise par le bras et l'a emmenée aux toilettes pour lui faire l'amour avant de partir avec elle. Mais ce n'est pas grave, puisque j'avais eu l'essentiel de la possession cette nuit-là."
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Bah Franck Lepage je l'ai partagé il y a un bail aussi
C'est Macron le candidat de la lutte des classes?
"Je ne vais pas faire à Montanier ce que je n'aimerais pas qu'on me fasse"
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Mais, M. Dnairb, vous détournez le débat de l'essentiel. Moi, personnellement, de mon côté, et en toute conscience, je ne veux pas rentrer dans ce jeu médiatico-gauchiste qui consiste à ne rien faire d'autres que stigmatiser une partie de la population qui serait la cause de la situation de la France. Les Français n'en peuvent plus, M. Dnairb, de ces discours loin de leurs préoccupations. Vous faites le jeu du système dont la population ne veut plus. Vous faites le jeu du Front National, M. Dnairb. Nous au Parti Alamasse, nous préférons nous concentrer sur les Français et ne pas polémiquer. Et que veulent les français? Les français et j'en croise tous les matins au marché et ils me le disent unanimement ne veulent plus de chômage, n'en peuvent plus de cette France qui s'affaiblit à cause de la gauche bobo loin des réalités, n'acceptent plus qu'on se moque d'eux! Ils ont besoin d'entendre un discours cohérent et concret au plus proche de leur quotidien. Et nous avons fait le constat qu'il faut donc empêcher le chômage, renforcer la France et ne plus nous moquer des Français. Voilà notre programme. C'est notre projet.
[sub]C'est marrant comme exercice.[/sub]
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Bah Franck Lepage je l'ai partagé il y a un bail aussi
Ouais, enfin on en parlait alors que tu faisais encore campagne pour Bayrou, moyen niveau lutte des classes mon petit Yoyo.
Jorge Sampaoli : "Une fois, j'étais avec une femme dans un bar. On a parlé toute la nuit, on a ri, flirté, je lui ai offert des verres. Et puis vers 5 heures du matin, un type est arrivé, l'a prise par le bras et l'a emmenée aux toilettes pour lui faire l'amour avant de partir avec elle. Mais ce n'est pas grave, puisque j'avais eu l'essentiel de la possession cette nuit-là."
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On avait quel âge à ce moment là tous les deux
Mais mon dernier commentaire c'était surtout pour vous montrer ma nouvelle chouette signature
Toujours pas le respect de citer l'auteur de la phrase yoyo... Bernard Werber.
Le respect, c'est d'être digne des mots cités, pas de faire le lèche botte de l'auteur
La question devient donc : qui es-tu pour juger que tu en es digne?
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En même temps être digne de Werner... C'est presque insultant.
Et la suite de la question, est : qui êtes vous vous même ^^
Voilà, maintenant quand vous aurez fini de tourner en rond vous pourrez peut-être écrire des choses utiles
Du genre :
"vous êtes des incultes qui ne connaissiez rien de la vie avant que je vienne vous instruire sur ce forum"
et
"je peux piquer les citations de qui je veux parce que j'en suis digne"
ou
"il n'y a que moi qui écris des choses utiles ici"?
Jorge Sampaoli : "Une fois, j'étais avec une femme dans un bar. On a parlé toute la nuit, on a ri, flirté, je lui ai offert des verres. Et puis vers 5 heures du matin, un type est arrivé, l'a prise par le bras et l'a emmenée aux toilettes pour lui faire l'amour avant de partir avec elle. Mais ce n'est pas grave, puisque j'avais eu l'essentiel de la possession cette nuit-là."
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C'est vraiment une blague.
Sarkozy la pourriture et Fillon.
Bah bravo, nous sommes loin d'être sortis de la merde.
Jeune coupable et libre car jamais dans la tendance mais toujours dans la bonne direction. SCRED CONNEXION
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Mercredi : la colonisation, un "crime contre l'humanité" ! Jeudi : les homophobes de la manifs pour tous, des "humiliés". Non non elle se passe bien cette campagne de Macron. Des convictions, une colonne vertébrale, un projet clair. Vivement que la bulle explose.
Et puis, au delà de cette petite pique, si vous voulez parler fond, Macron cette semaine cela a été une allégeance à la règle absurde des 3%, un soutien au traité de libre-échange avec le Canada et une volonté de faire 60 milliards d'euros de nouvelles économies budgétaires.
La droite avec des beaux yeux.
Dernière édition de: Rossoneri (16-02-2017 18:19:56)
No one likes us, no one likes us, no one likes us...
WE DON'T CARE !
We are Roazhon, super Roazhon ! We are Roazhon, from Breizh !
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La triplette Mélenchon-Hamon-Jadot va s'imposer facilement face à tous ces pitres
bien malin celui qui connait déjà le futur président.
en espérant une alliance entre les trois représentants progressistes.
Dernière édition de: Véloce (16-02-2017 19:14:52)
"De l'audace, encore de l'audace,toujours de l'audace"
Laurent Pokou
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Des peintres contre des pitres et à la fin le petit peuple paye l'addition ...
« Je suis un optimiste. Même mon groupe sanguin est positif. » (Anton « Toni » Polster)
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À coups de matraque dans l'anus...
Jorge Sampaoli : "Une fois, j'étais avec une femme dans un bar. On a parlé toute la nuit, on a ri, flirté, je lui ai offert des verres. Et puis vers 5 heures du matin, un type est arrivé, l'a prise par le bras et l'a emmenée aux toilettes pour lui faire l'amour avant de partir avec elle. Mais ce n'est pas grave, puisque j'avais eu l'essentiel de la possession cette nuit-là."
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La triplette Mélenchon-Hamon-Jadot va s'imposer facilement face à tous ces pitres
Mélenchon ne veut pas.
Sisi il ne veux que ça, il voudrait même que 100 % des candidats se joignent à ses idées, ça lui faciliterai vachement la tâche ^^
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