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J'ai revu une bonne partie du match en replay du coup là, je suis moins sévère avec Ntep. C'est vrai qu'il se fait souvent faucher, même si je ne continue de penser qu'il se laisse parfois tomber facilement. A un moment, il fait aussi un bon centre en retrait qu'André ne parvient à reprendre car devancé par un défenseur. Il provoque l'expulsion. Il a toujours sa vitesse qui peut faire la différence. Mais il ne faut pas qu'il veuille trop être le héros ou faire la différence tout seul. Ca serait aussi bien qu'il marque pour évacuer une éventuelle frustration, il en a besoin à mon avis.
"Le supporter voit ça comme un refus de jouer, mais indéniablement, cette passe vers l'arrière, c'est le début d'une nouvelle attaque"
Marcelo Bielsa
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Ce serait bien aussi qu'il se relève et se replace pendant qu'il râle plutôt que de le faire après.
• Champion MPG et pas que dans son cœur • Grand vainqueur de débats du soir • Pianiste sur un clavier AZERTY • Accident waiting to happen • Ado attardé • Twitter •
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Il faut qu'il se mette au service du collectif tout simplement, que ce soit dans son jeu ou dans l'état d'esprit.
Je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de soucis à se faire pour l'apport de Ntep. Son match contre Marseille m'a même rassuré. Il a pas mal essayé de combiner. Il a aussi provoqué en un contre un comme il sait bien le faire et je ne crois pas que cela nuise au collectif, au contraire il faut aussi profiter de cette qualité. Il revient et pour son deuxième match titulaire il montre déjà beaucoup plus de bonnes choses que contre Monaco (le niveau de l'adversaire aidant aussi).
Dernière édition de: Shabaninho (22-09-2016 15:27:30)
« Je ne vais pas faire à Philippe ce que je n'aimerais pas qu'on me fasse. » Rolland Courbis
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Et défensivement il a été comment ?
J'ai du voir une image sur 5 vue la qualité de mon stream.
Sinon quel bon coaching de Cri-cri, il fait rentrer Sanjin l'autre fois, décisif (le passeur était un entrant aussi) et là rebelotte. Hunou qui marque sur une passe de notre Polonais, ça change de Phil la tuile et ses stats de malades à un moment donné dans sa carrière chez nous.
La CFA qui gagne aussi, bref tout va bien au stade Rennais (du moins hier )
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Je me dis qu'il a fait 2 matchs à suivre sans se blesser. Il est sur la bonne voie...Pour le rendement dans le jeu soyons patient...
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je suis d'accord avec les commentaires sur Sio qui disent qu'il y a du mieux et qu'il a fait un assez bon match, après, j'ai bien regardé le travail d'appui que propose Gomis, il ne perd quasi jamais la balle et est vraiment très au dessus techniquement.
Il nous faut un 9 comme ça ...
Ntep a encore besoin de 2 matches et vous allez rêver
Aidez les arbitres, faites évoluer les règles merd.... !
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Normal ça Lassiter, a une époque pas si lointaine Bafé était même pas bien loin d'être le tout meilleur pivot du monde, le seul véritable héritier direct de Didier Drogba.
Je n'ai pas vu le match, mais je suis ravi de quelques consensus, au premier rang desquels se situe la bonne prestation ressentie par vous tous de Giovanni Sio, j'avais relevé sur les premiers matchs qu'il parvenait à bien se trouver avec Gourcuff mais que sa relation dans le jeu avec quelques autres aussi s'était améliorée. Puis il a eu des prestations un peu moins convaincantes aussi, mais je pense vraiment que c'est un joueur qui peut encore progresser sur l'année. J'espère en tout cas que ce match va lui permettre de faire grandir un peu son capital confiance.
"I don't care if you win, I just need Kylo Rennes - Toulouse." General Hux
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Gomis est aussi le spécialiste du hors jeu.
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Pour les 2 derniers matchs avec l'OM, on leur a passé 8 buts, ok d'accord on en a encaissé ...4.
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Normal ça Lassiter, a une époque pas si lointaine Bafé était même pas bien loin d'être le tout meilleur pivot du monde, le seul véritable héritier direct de Didier Drogba.
Je n'ai pas vu le match, mais je suis ravi de quelques consensus, au premier rang desquels se situe la bonne prestation ressentie par vous tous de Giovanni Sio, j'avais relevé sur les premiers matchs qu'il parvenait à bien se trouver avec Gourcuff mais que sa relation dans le jeu avec quelques autres aussi s'était améliorée. Puis il a eu des prestations un peu moins convaincantes aussi, mais je pense vraiment que c'est un joueur qui peut encore progresser sur l'année. J'espère en tout cas que ce match va lui permettre de faire grandir un peu son capital confiance.
Depuis le début de saison, hormis un match raté à Monaco, Sio fait parfaitement le job. Hier soir, je l'ai trouvé parfait, et qui plus est beaucoup moins nerveux que par le passé. On sent qu'il reprend confiance, et ça c'est tout bénéf.
Ntep ne fait pas un bon match si on fait le ratio bons choix / mauvais choix, mais il ne faut pas le juger comme ça. Comme l'a dit Severino, il peut rater 10 ou 15 actions dans le match, s'il est décisif une oou deux fois, au bout du compte ça nous rapportera un paquet de points. Hier, malgré un déchet important, il est tout près de délivrer une passe décisive à Sio et il provoque l'expulsion grâce à son abgnégation, c'est déjà pas mal. Même au top, il loupait plein de trucs, c'est son jeu.
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Juste pour signaler 2 faits de jeu décisifs au moment où le score etait de 1-2:
-parade de costil sur une frappe croisé de Sarr (de mémoire )
-énième hors jeu de Gomis qui ne se replace pas, coup - franc et dans la foulée penalty pour le SRFC...
1er frisson au stade saison 1990/91,placé en pesage derrière le but coté Rennes:SRFC-PSG:centre de Delamontagne coté gauche,tête de F.Oman Biyik aux 18 mètres qui envoye le cuir dans la lucarne droite de Joel Bats et buuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuut!
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Qu'il est bon de revenir au bercail, qui plus est à l'aube de l'automne, saison trop vite houspillée pour sa mélancolie alors qu'elle est annonciatrice de prochaines soirées à se réchauffer et à se consoler autour d'un bon chocolat chaud, après être revenu trempé du stade à l'issue d'une défaite sans saveur de Rennes. Bonheur simple et accessible ! Pour le moment toutefois, il fait encore (trop) beau, et il est d'abord l'heure de se rendre au stade pour faire oublier la prestation poussive à Monaco.
Après avoir séché Caen, et puisque le Rennes-Nancy avait plus des airs de prologue que de véritable match, mal calé entre l'intersaison et la trêve internationale, ce Rennes-Marseille constitue donc à mes yeux le véritable démarrage de cette campagne 2016/2017 à domicile. Ça aide pour situer mon niveau d'excitation deux heures avant le coup d'envoi. Et puis aujourd'hui, je me rends au stade avec mon père. Ça me rappelle toujours à mes bons souvenirs de jeunesse, me rendre au stade avec mon père. Celui par exemple de vérifier par trois fois que les billets ne se sont pas échappés durant leur transfert, de mes mains à la boite à gants de la voiture, de la boite à gants à mes poches, de mes poches à l'entrée du stade. Celui aussi de compter le nombre de voitures transportant trois à quatre hommes sur l'autoroute : plus il y en a, plus c'est signe qu'on approche de la route de Lorient. Ou encore celui d'arriver beaucoup trop tôt à destination : de peur de rater une minute de match, on en est parvenus à sacrifier quasiment toute l'après-midi, mais on se rassure en disant que "c'est bien de voir les joueurs s'échauffer aussi". Il faut savoir qu'à l'époque, nous n'y allions qu'une ou deux fois par saison, grand maximum, alors autant dire que c'était un véritable événement qui bouleversait le week-end ! Et voilà qu'aujourd'hui c'est à moi d'emmener mon père, et qu'aujourd'hui c'est à mon père de tapoter par mesure de précaution la poche de sa veste pour y sentir l'e-ticket fraichement imprimé. Nous ne comptons guère plus les voitures, et le GPS nous indique clairement que l'on arrivera à 19h47. Le temps passe et les habitudes un peu aussi, pas le bonheur de partager de bons moments au stade.
Neutre, neutre, bleu ciel. Aïe, j'avais "oublié". Troisième personne que je croise, et la voici habillée aux couleurs de l'OM, descendant de sa voiture, pas peu fière, d'ailleurs, d'avoir piqué ma place habituelle rue Jean le Hô. Ça m'attriste un peu. Pas pour ma place, bien sûr (quoi que...). C'est juste que, désireux de ne pas voir mourir une certaine forme de romantisme dans le football, je me retrouve beaucoup plus dans le côté intimiste d'un match qui n'attire pas les foules, exception faite des derbicos (c'est comme ça qu'on dit maintenant), que d'un comme celui de ce soir qui fait déplacer beaucoup de faux supporters adverses. Mais allez, l'essentiel est ailleurs. Je me rends à nouveau au stade, et le cadre est idéal. Parce que le Soleil, apportant la lumière et la chaleur juste suffisantes pour flâner le long de l'allée menant au stade, va progressivement laisser sa place à un beau ciel noir qui fera ressortir l'éclat des couleurs de la pelouse et des maillots durant le match. Parce que je profite à fond de tous les non-événements. Des noms sur les maillots de ces supportrices achetant une galette, de l'odeur de moutarde qui s'échappe de la barquette de frites de ce père de famille, des sons arrachés d'une oreille de la discussion de la compo entre ces deux amis. "Merci monsieur, bon match à vous". A l'image du stadier responsable de la fouille, tout le monde est aimable, et j'ai envie d'être aimable avec tout le monde.
Mais à fanfaronner comme je le fais, à reprendre des repères pas vraiment perdus à l'intérieur du Roazhon Park, à tomber officiellement amoureux de la stadière au seul sourire qu'elle révèle au moment de nous saluer et à prendre sur mon siège et pour le restant de la soirée la position du sauteur à ski qui s'élance (je le regrette déjà, pour les années futures), c'est que je serais presque en retard : déjà 20 heures ! Le speaker Alain Rousseau lance la soirée, et souhaite la bienvenue aux supporters marseillais venus de Fougères, Laval et Vitré. "Et si la prochaine fois, je prétendais ne plus savoir où est ma place, je pourrais peut-être demander à me faire accompagner par la stadière ?". Allez allez, concentre-toi Pippoinz (c'est mon prénom), d'autant que les joueurs sont arrivés pour l'échauffement. Applaudissements chaleureux, suivis d'exercices d'échauffement classiques mais pas dénués d'intérêt, tandis que les tribunes commencent à gentiment grouiller. L'occasion de noter, par exemple, que Gourcuff reste un disciple de Courbis quant au lieu des ateliers organisés (à gauche du but). Que le toro est d'une part musclé car axé sur un fort pressing sur le porteur de balle, d'autre part intéressant dans la composition des deux équipes : les joueurs de côté plus Gelson (ou André, je ne sais plus) contre les joueurs de la "colonne vertébrale". Que Prcic enfin est le seul à s'échauffer avec une chasuble jaune. Pas grand-chose à tirer de cette dernière information, mais qui me permet d'annoncer que j'ai croisé le joueur la veille au restaurant. L'avant-match se conclut par l'incident du papier toilette. Venus de ma droite, plusieurs lancers simultanés, de vous-savez-qui, déclenchent sur dix minutes un faible mais ininterrompu filet d'autres jets depuis la tribune, gâchant quelque peu l'animation à l'entrée des joueurs. Pas de reproche à me faire, mon rouleau est carrément resté enroulé (avec le lancer de la saison dernière, ça fait d'ailleurs un fâcheux 0/2). Pour couronner le tout, le toss est gagné par les Marseillais qui choisissent de défendre côté RCK. Dans le genre "invité encombrant", l'OM sait y faire.
L'entame de match des Rennais est très bonne. La volonté de récupérer le ballon haut est clairement affichée. En chef de file, Gourcuff se plie en quatre. Un cran en dessous de Sio, il multiplie les gestes pour coordonner le pressing avec le trio offensif. Derrière, Gelson Fernandes, parfaitement dans son rôle, balaye sa zone habituelle et même un peu plus, allant parfois jusqu'aux trois quarts du terrain. Bensebaini, dans la lignée de ses prestations depuis le début de saison, s'occupe quant à lui de remonter sa défense pour qu'elle soit proche des milieux. Contrairement au match à Monaco, je trouve également une véritable cohésion sur les côtés, où Danzé et Baal apportent rapidement leur soutien à Pedro Henrique et Ntep, provoquant ainsi beaucoup de deux-contre-un difficiles à gérer pour les joueurs marseillais. Et puisque la défense olympienne laisse pas mal d'espaces en profondeur, on assiste à un début de match plaisant, le type de scénario qui incite à frapper des mains et crier des "Allez ! Allez !" à chaque corner.
Malheureusement, passé les premières quinze minutes, les bonnes intentions se raréfient, un peu comme si on planifiait un bain de minuit pour finalement ne se mouiller que la nuque. Si la volonté est peut-être de calmer le jeu, tant il semble difficile de tenir ce rythme sur tout le match, les milieux axiaux marseillais savent aussi reprendre le dessus en s'écartant beaucoup sur les ailes, disloquant quelque peu le bloc rennais pour limiter l'impact de Fernandes et de André dans la récupération. Ces mêmes milieux font surtout un nombre incalculable de petites fautes intentionnelles, rendant trop rapidement le Machaché. De notre côté, on retrouve des approximations dans les passes. Comme je le craignais avant le match et le contexte que l'on connait, Ntep se met trop de pression et cherche beaucoup les fautes et les duels. Globalement, le jeu penche trop à gauche. Malgré cela, Marseille n'est pas plus dangereux que nous, et Mexer, qui n'est jamais aussi fort que dans les interventions que je qualifie d'"à l'arrache" (c'est-à-dire lorsqu'il revient sur l'attaquant), en réalise une ou deux bonnes qui nous permettent de ne jamais vraiment nous inquiéter. En dehors du penalty, intervenu après le joli but de Sio, qui sait comme depuis le début de la saison être précieux dans les remises dos au but, quand il n'est pas (trop) nerveux.
La seconde période commence très mal. La sono lance, au calme, l'intro de Kashmir, de Led Zep (je ne sais pas si encore le cas aujourd'hui, mais à l'époque elle résonnait au Vélodrome à chaque but de l'OM). Il n'en faut pas plus pour donner de vilaines idées à Gomis, qui fustige Costil après une erreur de Mexer. "Il reste du papier toilette ? Besoin de pleurer". Pas vraiment de révolte du côté de Rennes, des ballons filent en touche à la suite d'incompréhensions qui s'accumulent. Pedro Henrique, irréprochable en défense mais peu en vue offensivement, manque l'immanquable sur l'une des rares occasions. L'exclusion après la 94ème faute marseillaise redonne toutefois espoir. "On dit souvent malheur au vaincu, mais là l'arbitre a donné malus au Vainqueur !". C'est la contrepèterie que j'aurais aimé dire à mon père, mais c'est finalement Machach qui est sorti. L'espoir, donc, est vite douché par le jeu toujours trop statique proposé par Rennes jusqu'à dix minutes du terme. Même réduits à dix, l'OM n'a pas vraiment de mal à ressortir les ballons. En cause, le pressing "à la FIFA" de nos milieux, qui se ruent souvent à deux sur le porteur de balle mais sans aucune cohésion pour couper les transitions par de l'anticipation et du placement. Et puis arrivent ces dernières minutes complètement folles, provoquées par les bonnes entrées des trois remplaçants. Dans les faits, je tends mécaniquement le bras vers le point de penalty, tel un sourcier et son bâton, après le contrôle longuet mais non moins utile de Baal, et je lâche "spoil !" lorsque la sono lance, au calme, Depeche Mode dix secondes avant le but de Hunou. Dans les gestes, ceux après le but, beaucoup d'incompréhension pour mes voisins, j'imagine !
Difficile de décrire toutes les sensations et émotions vécues ensuite jusqu'au coup de sifflet final, et même un peu plus. Et c'est bien pour cette raison que ce sont les plus belles. Ou quand la fin justifie le moyen. Quant à nos amis venus de Fougères, Laval ou Vitré ? Ils repartent déçus, non sans avoir sifflé timidement le clapping Rennais, là où la Brigade Loire avait par exemple eu la distinction de partir (bien) avant il y a peu de temps. Incruste, saboteur et en plus malpoli : Go home "Marseillais", you're drunk.
Dernière édition de: Pippoinz (23-09-2016 01:31:46)
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J'ai l'impression de lire une version romantique de Kireg, ça transpire d'amour
Dernière édition de: Peewow (23-09-2016 02:43:06)
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Sympa Pipoing, je me retrouve vraiment dans ce que tu as écris sur le passage qui parle de ton père
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Entre les galimatias des forumeurs de l'école primaire, à vingt fautes d'orthographe par ligne, et les essais littéraires de Pippoinz, le spectre est large sur le forum SRO. C'est ce qui fait sa richesse.
À chaque époque, il est des gens qui ne pensent pas comme tout le monde, c’est à dire qui ne pensent pas comme ceux qui ne pensent pas.
-Marguerite Yourcenar -
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Et si je te disais que c'était moi la charmante stadière et que je t'attendais depuis bien longtemps? Tu me demanderais de venir partager ton chocolat chaud?
J'accepte!
[sub]Pendant ce temps, je vais relire ton message avec une musique en fond à la Bon Iver.[/sub]
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Merci Pippoinz Pour ce superbe texte.Le passage avec ton père m'a beaucoup touché. Cela me rappelle également mon enfance où on allait même voir les matchs amicaux en janvier. j'avais du mal à ouvrir la porte de la 404 tellement mes doigts étaient gelés. A l'époque, il y avait des matchs d'ouverture des amateurs et ensuite l'échauffement des joueurs pro. on arrivait 2h avant le début du match pro c'était ça l'ambiance à l'époque encore merci
Nous devons être prêts à nous débarrasser de la vie que nous avions prévue de maniere à avoir la vie qui nous attend. Joseph CAMPBELL
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Je ne partage pas votre enthousiasme quand à cette anecdote. Moi, mon papa il allait au Stade 20 ans avant ma naissance. Et quand j'étais en nage d'y aller accompagné, ben il purgait une peine de prison pour harcèlement sur la personne de Marie-Paule Belle.
Autant dire que le texte de Pippoinz m'a fait replonger pour 15 ans d'analyse.
Je propose à tout ceux qui comme moi ont traversés cette époque pas d'papa une expédition punitive.
Et pour cela je vais dévoiler l'adresse de ce vil personnage.
Pippoinz Rigluan, 9, impasse Sylvie Vartan à Mouflins.
Sus aux relations père-fils.
"Comment diable un homme peut-il se réjouir d'être réveillé à 6h30 du matin par une alarme, bondir hors de son lit, avaler sans plaisir une tartine, chier, pisser, se brosser les dents et les cheveux, se débattre dans le trafic pour trouver une place, où essentiellement il produit du fric pour quelqu'un d'autre, qui en plus lui demande d'être reconnaissant pour cette opportunité ?"
Bukowski
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Le mien m'emmenait voir Guingamp - Gueugnon... Je peux venir avec toi?
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Sinon quelqu'un pour m'expliquer les raisons des sifflets du public à la sortie du terrain de N'tep ?
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Le nombre important de footix marseillais en tribunes?
Sinon, très beau Pippoinz
"Le supporter voit ça comme un refus de jouer, mais indéniablement, cette passe vers l'arrière, c'est le début d'une nouvelle attaque"
Marcelo Bielsa
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Habitant en région Parisienne, mon envie de venir m'installer en terre Bretonne est une de ces raisons.
Aller avec mon fils, voir même ma fille, assister au match à domicile.. Partager ces moments de bonheur ou de tristesse avec eux et leur donner peut-être cette passion ou cette ferveur pour le SRFC.
Maintenant, pour les sifflets sur Ntep, de ma TV, il m'a semblé en entendre effectivement... Était-ce dû à son comportement à tomber trop facilement, ne pas se replacer assez rapidement, râler assez régulièrement ? Je ne sais pas, mais ça doit y être pour quelque chose.
Après, c'est vrai que lorsque nos ailiers montent avec l'intention de centrer, il y a très peu de monde à la réception, ce qui à dû l'énerver un chouya.
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Pippoinz toujours aussi excellent dans ses interventions, trop rares, mais ça vaut le coup de patienter.
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