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costil
danzé mendes armand baal
fernandes andré
gourcuff
dembélé sio (à défaut) ntep
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Demain c'est grosse victoire ou grosse défaite !
Ou match nul. Voir petite défaite. Ou petite victoire.
Sinon je vois pas.
"Comment diable un homme peut-il se réjouir d'être réveillé à 6h30 du matin par une alarme, bondir hors de son lit, avaler sans plaisir une tartine, chier, pisser, se brosser les dents et les cheveux, se débattre dans le trafic pour trouver une place, où essentiellement il produit du fric pour quelqu'un d'autre, qui en plus lui demande d'être reconnaissant pour cette opportunité ?"
Bukowski
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Je suis déçu, tu as oublié match annulé.
Visiblement, Nice ne veut pas non plus de la 3ème place, autant la prendre...
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Zeffane c'edt une arnaque, perso je trouve que sur le dernier match il avait un niveau DSR.
Donc Danzé à défaut, qui se bat bien et sais quand même faire des contrôles, à l'inverse de Zeffane.
DSR Zeffane ? T'es sympa ! Si mon gamin fait ce genre de contrôle, je l'envoie direct faire du basket !!!!
Dernière édition de: skycool35 (27-02-2016 03:23:55)
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Anto logic a écrit:Zeffane c'edt une arnaque, perso je trouve que sur le dernier match il avait un niveau DSR.
Donc Danzé à défaut, qui se bat bien et sais quand même faire des contrôles, à l'inverse de Zeffane.
DSR Zeffane ? T'es sympa ! Si mon gamin fait ce genre de contrôle, je l'envoie direct faire du basket !!!!
PH alors, ou alors 1 ère div district aller!
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Compo OF : 442 à plat : Costil - Danzé Mendes Armand Mbengue - Dembélé Gelson André Baal - Henrique Sio
Compo L'Equipe : 433 : Costil - Danzé Mendes Armand Mbengue - Gelson André SLL - Dembélé Henrique Ntep
Faites vos jeux messieurs , tapez 1 pour OF, 2 pour L'Equipe, ou tapez autre chose ou quelqu'un, peu importe en fait tapez les !
Dernière édition de: Usgforever (27-02-2016 10:04:55)
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TOULOUSE - RENNES
In Hoc Signo Vinces Prison Break Pause Carcérale
Previously on the « Stade Rennais Show » :
« Asymbolie à la douleur. »
Voilà. C'est le terme scientifique du syndrome qui m'affecte depuis plusieurs années. Je ne ressens pas la douleur. La maladie prend de formes extrêmement variées. Je peux ainsi deviser sur la meilleure façon de torturer un canari avec la paume de la main posée bien à plat sur une plaque vitrocéramique chauffée à blanc. Je peux aussi boire une bouteille de muscadet ou de gros-plant sans ressentir de gêne autre que des saignements intestinaux et la desquamation profonde de la muqueuse buccale. Je peux également recevoir une décharge de chevrotine dans l'oignon depuis la chambre à coucher des voisins et franchir malgré tout le grillage de leur propriété, et ce, le caleçon sur les chevilles. Enfin, je peux manger des yaourts nature jusqu'à deux jours après leur date de péremption. Mais ça, bien sûr, je le fais rarement.
« Et donc, Jean-Louis, tu me disais que ton Yorkshire n'aime pas la moussaka ? »
Pour ceux qui ont suivi mes pérégrinations et la mésaventure dite « de la flûte traversière » de la semaine passée (http://tinyurl.com/jp3pael), sachez que l'administration bruxelloise a pris la décision de m'enfermer. Laissez-moi vous raconter le déroulement des évènements.
Immobilisé par les forces de l'ordre, je fus immédiatement conduit au tribunal de Molenbeek où le juge des comparutions immédiates voulut en savoir plus sur mon cas :
- Pourquoi êtes-vous là ? demanda-t-il, avec une morgue toute bernardhenrilévyenne. Vous aviez prévu d'atomiser l'Atomium ? De mettre une couche au Manneken-Pis ? Vous mettez du ketchup dans vos galettes-saucisses ?
- Woh, ça va pas non ?! Et pourquoi pas de la mayo ? J'en sais rien moi de pourquoi je suis là. Et puis elle est trop vaste votre question. Je suis là, sur Terre, parce que mon père est un sacré baratineur et que ma mère supporte pas le bruit. Je suis là, en Belgique, parce que je trouve le néerlandais incroyablement sexy et que je fais une allergie aiguë aux rayons UV. Et enfin, je suis là, dans ce tribunal, parce que j'adore ces moments où je suis menotté en compagnie d'hommes coiffés de perruques blanches poudrées. Tu vois ce que je veux dire mon chou ? conclus-je en lui envoyant un baiser.
Bim, un mois ferme.
Pays de l'humour, mon cul.
Qu'on se le dise, dans la vie, celui qui a raison, c'est pas celui qui tient le Colt, c'est celui qui possède le petit marteau en bois à la con.
Quand la clé de la cellule tourna dans mon dos, je compris d'emblée que mon colocataire n'était pas du genre à faire la vaisselle pour deux. L'occupant des lieux, une sorte d'Averell Dalton qui aurait pété toutes les caillasses du pays avec une pioche en fonte de trois tonnes, me dévisagea l'espace d'un instant qui dura trois heures. Sans cligner des yeux. Sans broncher. Mais en émettant, par intermittence, des brames inquiétants. C'est bien simple, j'exerçai sur lui une fascination équivalente à celle d'un salon de coiffure du XVIème arrondissement sur Laurent Delahousse.
Coupé du monde, avec pour seule compagnie un bidet bouché, le gris sale des murs et donc le fruit gargantuesque de l'union incestueuse de Franck Ribéry et de sa sur, je décidai de mettre cette parenthèse à profit en tentant de ressasser les derniers buts marqués par mon Stade Rennais adoré. Mais la mémoire humaine tout comme la technique de Cheikh M'Bengue a ses limites. Du coup, pour m'occuper, je songeai plutôt aux lois fondamentales de la physique ; à l'accélération de la pesanteur, par exemple. C'est tout simple : dans un repère géocentrique, deux corps vont s'attirer selon une force qui va dépendre de leur masse. À vue de nez (tiens, cette expression me fait penser que Zlatan doit avoir une sacrée bonne vue), j'estimai le poids « P » de mon camarade de cellule à environ 2,3 kilonewton. (Pour rappel, à destination de ceux qui glandaient en cours de physique, P = m.g, où « m » est la masse en gramme et « g » la constante d'accélération en mètre par seconde par seconde ; constante que l''on peut arrondir à 9.8m.s-2 sur Terre, mais je suis bien d'accord avec vous, on s'en bat l'il, et tout ceci n'a absolument rien à faire ici. Et ça va vous sinon ?).
Bien au fait des principes qui régissent les mouvements de notre univers, c'est sans grande surprise que je vis Averell s'ébrouer enfin et me demander d'une voix digne du chanteur de Rotten Skunk of Purulence Metal :
- File-moi tes chaussures !
J'aurais aimé lui murmurer à l'oreille que lorsque l'on a enduré le Stade Rennais pendant près de vingt piges et, qu'a fortiori, on est étranger à la nociception, les menaces des armoires à glace toutes virulentes et patibulaires soient-elles on leur donne autant d'importance qu'aux messages lugubres des paquets de clopes « Un fibrosarcome tu dis ? Waw, ça fait peur. T'as du feu ? ».
- Tu veux pas plutôt mon slip ? m'entendis-je lui répondre.
La brute me tira violemment par la manche, déchirant ma chemise. Je ramassai mes bras autour de ma tête afin de parer les coups, mais rien ne vint. Au contraire, je vis le monstre reculer pour se blottir dans le coin le plus reculé de la pièce. Il se mit alors à geindre, à implorer mon pardon, ma compréhension, mon absolution, ma mansuétude, ma
- Onze lettres.
- Pas mieux.
- Allez-y.
- Magnanimité.
* Public qui applaudit *
ma magnanimité.
Bon, dans les faits ça sonnait plutôt comme ça : « Gniouuuurf, pas taper, pardon, je savais paaaaas, je savais pas, pardooooon ! ».
- Tu savais pas ? Mais tu savais pas quoi, misérable fiente ? fis-je, gonflé d'une assurance feinte (cette réplique vous est offerte par l'association « Les anagrammistes farfelus »).
- Ça, là, rétorqua-t-il, en désignant mon tatouage de son index tremblant.
Incrustées à l'encre noire sur mon épaule gauche, deux hermines se faisaient face, un ballon de football dans les pattes. Sous elles, menaçante, la mention « Stade Rennais Football Club 1901 » dissipait les derniers doutes. L'épiderme en étendard ; le cuir comme dernier avertissement avec ce blason qui ferait couiner le plus endurci des Hells Angels. Car oui, je fais partie de la caste des damnés. Oui, je suis le serviteur stipendié de la malédiction. Oui, je cale mon pas sur celui de la désolation. Oui. Je suis un Roazhon Cursed.
Démasqué, je m'avançai vers le geignard, tout pisseux dans son marcel raidi de crasse. La pathétique montagne, déjà bien érodée, s'affaissa encore sous mon ombre. Je m'accroupis à un bon mètre de lui, mais avant que je pusse faire montre de la moindre tendresse, un gardien sans doute averti par quelque caméra de surveillance logée dans les faux-plafonds se rua sur notre geôle, hurlant des ordres confus. Je m'allongeai paisiblement ventre contre terre. Le froid du ciment griffa mes sens. Quand je levai le cou, les lèvres ourlées autour d'un sourire carnassier, mon codétenu lâcha les dernières amarres de sa dignité, ses fripes assombries par une flaque azotée aux relents doucereux.
« Plein de charme, à deux (bons) pas du métro, cette petite studinette saura vous séduire (prévoir travaux et pièges à rats) »
On me transféra.
Ma réputation me précéda au sein du quartier de haute-sécurité de Bruges, prison la plus surveillée du royaume. En ces lieux troubles, où se côtoie la lie du crime et du grand banditisme j'allais frayer avec les bracos de haut vol, les délinquants sexuels, les meurtriers, et les détraqués qui posent le couvercle sur le pot de Nutella sans le visser et que-quand-toi-tu-veux-le-saisir-il-te-glisse-des-mains-et-se-répend-au-sol-dans-un-millier-de-tessons-gluants, mais qu'on crame ces tarés ! Merde !
D'entrée, inquiets du chaos que je pourrais faire régner, on m'installa dans une cellule plus confortable que bien des appartements de banlieue : canapé, télé avec chaines sportives, bidet non bouché. Byzance ! Enfin, peut-être pas. Plutôt Constantinople en fait. Mouais, nan, plutôt Istanbul finalement. Ouais, voilà, un quartier décent d'Istanbul. En prenant possession de ma nouvelle demeure, je m'exclamai donc « Quartier décent d'Istanbul ! » ce qui, je vous l'accorde, sonne bizarrement.
Très vite je compris que je devrais tirer mon épingle du jeu dans ce nid de guêpes. Aussi, portai-je uniquement des T-shirts laissant apparaître le tatouage de mon clan. Tous baissaient la tête sur mon passage, des golgoths néonazis aux géants des gangs latinos. Même le nain, sorte de mascotte locale, et condamné pour une complexe histoire de comptes de campagne, inclinait la nuque sur mon passage, ce qui vous l'admettrez est un foutu non-sens.
Seul un pensionnaire refusait de se soumettre à mon autorité sourde, un certain « Cam ». Profitant de la promiscuité du réfectoire, je demandai au nain l'identité de ce rebelle :
- Dis-moi, Niko, c'est qui ce type chauve qui me reluque comme on mate un pole dancer dans un conclave ?
- Lui, boss, c'est Cam ! C'est lui qui chapeautait la boutique avant que vous ne débarquiez.
- Hum. Et Cam, c'est pour Camille ou Kamel ?
- Nan, c'est pour Cuillère À Melon. Le mec a dézingué toute sa famille avec une cuillère à melon et en a fait des sortes de petits sorbets qu'il a vendus sur le marché de Saint-Gilles. Il est pas très aimable.
Je plaquai un regard glaciaire sur le coquelet déchu, comme un miroir à son irrévérence. L'autre ne se démonta pas. Le jeu aurait ainsi duré des heures si un larbin ne m'avait glissé à l'oreille : « 1-0 pour Caen. Match terminé. » De rage, j'enfonçai six ou sept fois la fourchette dans le dos de ma main. Insensible à la douleur, je vis nettement mon adversaire fléchir sous cette démonstration de folie furieuse.
C'est ainsi que je gagnai le respect absolu de cette faune ceinte de quatre miradors.
La veille de ma libération, je notai toutefois des signes avant-coureurs d'une impertinence sous-jacente. Je mis ceci sur le compte d'un départ imminent qui déliait les langues et distendait les laisses. Il n'en était rien.
Un nouveau cador venait de faire son entrée dans la cour.
Tandis que je récupérai mes effets personnels au sas de sortie, je croisai mon successeur. Pas de doute, les types restés à l'intérieur allaient sérieusement en chier.
Des yeux torves.
Une lenteur terrifiante.
L'air de soumettre jusqu'à l'atmosphère alentour.
Et sur son biceps gauche, à l'encre fanée, un tatouage du Téfécé.
Et puisque rien ne nous arrêtera avant la mort, voici quelques commentaires badins sur notre adversaire du soir : le Téfécé ; club d'une ville où le raffut est plus à chercher du côté de l'ovalie que du côté de fans violets saoulés jusqu'à la lie.
- Il se dit que le personnel en charge de la sécurité du Stadium vient régulièrement se former en Belgique, pays pionnier pour tout ce qui touche à l'interdiction des Ultras Violets.
- Les footeux de la ville rose jouent donc en mauve ; tout comme ceux d'Anderlecht. C'est toutefois plus logique pour ces derniers, personne ne voulant être un Flamand rose.
- Si les joueurs de Toulouse sont mauve et blanc, les nôtres sont mauvais tout court.
- En revanche, leur équipe en rouge et noir rafle tout. On devrait peut-être se mettre au rugby. Surtout que M'Bengue a déjà commencé les drops.
- Un match Toulouse-Rennes, c'est le paradoxe du chat beurré appliqué au football (http://tinyurl.com/z6txz77). https://fr.wikipedia.org/wiki/Paradoxe_ … ed_cat.png
- « Arribagé », ça me fait penser à une petite souris mexicaine qui aurait réussi une interception. Voilà, débrouillez-vous avec ça.
- To lose, to lose Le dire, c'est bien. Le faire, c'est mieux. Mes petites Occitanes, vous risquez d'être surprises par le Stade Rennais.
- Vous le savez, n'allez surtout pas demander un pain au chocolat au boulanger du coin, on vous pourrira comme le premier Parisien venu. Pour vous donner une idée, ça leur fait le même effet que « crêpes salées » chez nous.
- Car oui, on dit « chocolatine ». En revanche et pour être exhaustif sur tout ce qui à trait à la pâtisserie, la viennoiserie et les mignardises du sud de la Garonne , « croissant » se dit « croissant », « pain aux raisins » se dit « paing aux raisings », et « une bien cuite s'il vous plaît » se dit « cette chèvre de Jean-Armel me semble hors de forme ».
- Jean-Armel Kana-Biyik, Étienne Didot, Tongo Doumbia Ça fait plaisir de voir que nos anciens joueurs peuvent aussi être mauvais ailleurs.
- Tiens, d'ailleurs, je suis certain que Jean-Mamelle vote Alain Juppé, maire de Bordeaux. Il a toujours eu le sens de l'à-propos, ce jeune trublion.
- Le tèf prend but sur but. Quarante-cinq en tout. Pour stopper l'hémorragie, il leur faudrait un mec à temps plein ; une sorte de noue-garrot.
Allez, c'est tout pour moi.
Et quoi qu'il arrive, souvenez-vous :
« It's fun to lose and to pretend »
nous touchons au Nirvana.
Vive la vie.
Vive le palm muting.
Vive les hiboux qui ne sont pas ce qu'ils semblent.
Love.
K.
Dernière édition de: Kireg (27-02-2016 14:50:04)
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Il me semble qu'on a déjà joué Toulouse cette année ...
Quelqu'un peut me rappeler les résultats ?
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C'était lors de ce qu'on appelle un match aller pour une victoire 3-1.
Et pis on a perdu ensuite en Coupe à Moustache.
Kireg
Nociception, c'est le plus beau mot que j'ai lu depuis Habib Habibou.
"Comment diable un homme peut-il se réjouir d'être réveillé à 6h30 du matin par une alarme, bondir hors de son lit, avaler sans plaisir une tartine, chier, pisser, se brosser les dents et les cheveux, se débattre dans le trafic pour trouver une place, où essentiellement il produit du fric pour quelqu'un d'autre, qui en plus lui demande d'être reconnaissant pour cette opportunité ?"
Bukowski
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Compo OF : 442 à plat : Costil - Danzé Mendes Armand Mbengue - Dembélé Gelson André Baal - Henrique Sio
Compo L'Equipe : 433 : Costil - Danzé Mendes Armand Mbengue - Gelson André SLL - Dembélé Henrique Ntep
Faites vos jeux messieurs , tapez 1 pour OF, 2 pour L'Equipe, ou tapez autre chose ou quelqu'un, peu importe en fait tapez les !
Et encore une innovation tactique ? J'en peux plus de cette saison, faites que ça se termine sur 10 défaites et que Courbis dégage.
Dernière édition de: Rossoneri (27-02-2016 10:53:05)
No one likes us, no one likes us, no one likes us...
WE DON'T CARE !
We are Roazhon, super Roazhon ! We are Roazhon, from Breizh !
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À confirmer, mais on se dirigerait effectivement vers un 4-4-2 à plat, avec Baal à gauche et Henrique en soutien de Sio.
C'est en tout cas ce qu'a tweeté Benjamin Idrac, avec la réponse d'Edouard Carona : "bravo benjamin d'avoir trouvé la bonne équipe !!"
Dernière édition de: Pippoinz (27-02-2016 11:40:54)
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Mais qu'on vire Montanier, j'en ai marre de ces compos pourris, qui changent à chaque match!
Déjà le jeu était pas terrible avant, maintenant c'est le NEANT.
C'est vraiment l'arnaque du siècle ce Philippe!
Dernière édition de: stefa (27-02-2016 12:51:07)
Compo OF : 442 à plat : Costil - Danzé Mendes Armand Mbengue - Dembélé Gelson André Baal - Henrique Sio
Ah ouais, quand même.
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C'est bien connu, il faut changer les joueurs et le système quand ça marche à l'extérieur!
Dernière édition de: stefa (27-02-2016 13:13:59)
Mbengue a un crédit aux yeux de Courbis qui est assez hallucinant......
Travail pour tous, mariage pour les poneys.
#Danzénotinmyname
#NafissatouDanzé
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Compo OF : 442 à plat : Costil - Danzé Mendes Armand Mbengue - Dembélé Gelson André Baal - Henrique Sio
Philippe Montanier est redevenu coach du Stade Rennais?
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On va perdre 1-0 à la pause, Courbis sortira M'Bengue pour faire entrer N'Tep à la pause et le moins bon des 2 de devant pour faire entrer Gourcuff avant l'heure de jeu et on gagnera 3-1.
Allez le SRFC et la TA Rennes!!!
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Ça paraît quand même étonnant de pas commencer avec Gourcuff qui a besoin de temps de jeu
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Gourcuff s'est entraîné tout seul et est rentré prématurément au vestiaire jeudi, d'après plusieurs tweets.
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Je sais vraiment pas si on le verra à 100% d'ici la fin de saison
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Le match s'annonce comme d'habitude à mourir d'ennuie si c'est bien cette compo... Sinon le CM du Stade Rennais a l'air d'y croire https://twitter.com/staderennais/status … 7915943936
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Donc en fait on va se priver d'un 10, on remet Baal ailier, M'Bengue toujours là, il va continuer à foutre Henrique à un poste qui n'est pas le sien. Non mais bordel qu'est-ce qui a changé depuis Montanier ? Gourcuff est pas au top apparement, Quintero absent, mais c'est pas comme si on avait SSL et Janvier sous la main . Je le dis, c'est quasiment certain, on va se planter sur cette fin de saison et le renvoi de Montanier (aussi tardif et nécessaire fût-il) n'aura servi à rien ... On va quand même avoir sacrément mal aux fesses et pourtant on va regarder le match quand même !
Heureusement on a les postes de Kireg pour se remettre de bonne humeur avant les matchs
"La guerre des classes existe, c'est un fait, mais c'est la mienne, la classe des riches, qui mènent cette guerre et nous sommes en train de la remporter" - Warren Buffet (25 mai 2005)
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Henriqué et Sio titulaires! Bon bien Rennes va jouer à 9 contre 11. Pas facile.
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Courbis fait n'importe quoi là. On se retape le double latéral, PH en pointe à un poste qui n'est pas le sien, seulement un ailier alors que c'est notre atout, un milieu qui aura du mal à construire, Mbengue toujours titulaire...
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