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Article du Télégramme:
Argent (3). Football, sport roi
20.000 à Rennes, 13.000 à Guingamp, 8.500 à Lorient et
Brest : si on en croit les dirigeants des équipes bretonnes de
Ligue 1 et Ligue 2, voilà les salaires moyens mensuels brut des
joueurs évoluant dans leurs clubs respectifs. Les footballeurs
bretons, eux, restent très discrets concernant leurs revenus.
Des revenus qui flambent - surtout en L1 - depuis 2000 et llexplosion des droits télé. « Sans cela, les joueurs gagneraient la moitié moins », souligne Noël Le Graët, président dEn Avant Guingamp et vice-président de la Fédération française de foot.
« Cest délicat den parler », « je préfère rester discret » ou encore « je nai pas très envie de dévoiler mon salaire » : interrogés sur leurs revenus, les footballeurs professionnels
bretons que nous avons pu contacter se sont poliment abstenus de répondre, utilisant leur joker sur la question. Certains, tout simplement parce quils ont jugé que cétait quelque chose de personnel. Dautres ont refusé par pudeur ou par crainte de la jalousie, tant les gains des footeux attisent les convoitises.
Charte. Ce quelle prévoit pour les footballeurs
Dans le monde des footballeurs, il ne fait pas bon être « à la charte ». Cest ainsi quon appelle la convention collective qui fixe les salaires mensuels (brut) minimums des joueurs. Autrement dit, le Smic du footballeur qui ne sapplique quaux tout jeunes joueurs, en L1 et en L2. Ce salaire minimum nest pas identique pour tout le monde : il est progressif sur les trois premières années de contrat et dépend du cursus (un joueur issu des rangs amateurs ne perçoit pas autant quun autre formé dans un centre de formation de L1).
- En National, un joueur signant un contrat ne peut percevoir moins de 1.560 la première année, 1.950 la deuxième, 2.340 la troisième.
- En L2, les valeurs sont les suivantes : 2.015 la première année, 2.470 la seconde, 2.990 la troisième.
- En L1, les valeurs sont de 2.600, 3.250 et 3.900 les années 1, 2 et 3 pour un joueur issu des rangs amateurs. Pour un joueur qui a suivi un cursus « élite », elles sont respectivement de 4.160, 4.680 et 5.200.
Rennes. « Entre 4.000 et... beaucoup ! »
On peut être titulaire au Stade Rennais et gagner «seulement » 4.000 brut (3.200 net). On utilise le terme « seulement », car quand on voit les revenus pharaoniques des stars du ballon rond, ou même le salaire moyen dun footballeur de Ligue 1 (34.600, source Union financière de France, Sport conseil), on ne simagine pas forcément quun joueur, aussi jeune soit-il, puisse démarrer avec 3.200 en L1.
« 20.000 de moyenne »
Mais quon se « rassure » : à Rennes (8e budget de L1 avec 37 millions deuros), ils sont nombreux à grimper bien plus haut. « Nous avons 27 pros. Chez nous, un joueur gagne environ 20.000 brut en moyenne (soit à peu près 16.000 net) », annonce Pierre Dréossi. Soit... Quant à connaître le montant du plus gros salaire... « Cest beaucoup », admet le manager du club breton, après avoir hésité avant de répondre. « On est quand même loin des 100.000 », affirme-t-il. Mais sûrement pas très loin des 70.000 net pour les quelques stars de léquipe, auxquels il faut ajouter les revenus des sponsors. « Aujourdhui, Rennes ne peut pas faire signer un seul joueur du PSG. Ils sont trop chers », selon le manager rennais. « Quant à Christian Vieri, par exemple, son salaire était plus élevé que celui de toute notre équipe réunie quand on a joué contre Monaco ».
1.000 la victoire
Le salaire, cest une chose, les primes, cen est une autre. A commencer par les primes de match. « Cest 1.000 la victoire en championnat, 500 le match nul », reconnaît le manager rennais. De largent de poche (ou presque) pour les joueurs à très gros revenus de léquipe. Un joli complément pour les plus jeunes quand on sait que le Stade Rennais, en fin de saison, a aligné huit succès en à peine deux mois. « Dans tous les contrats, il y a un fixe plus une prime dobjectif en fonction du classement en fin de championnat. Elle correspond à un pourcentage du montant total des primes de la saison », indique encore Pierre Dréossi. De quoi ajouter une louche de caviar pour certains, mettre un peu de beurre dans les épinards pour les autres...
Lorient, Guingamp, Brest. Des salaires très confortables
FC LORIENT. DE 3.000 À 12.000.
Au FC Lorient, une chose est certaine : avec la montée du club en Ligue 1, les salaires vont forcément faire un bon en avant la saison prochaine. En attendant, les joueurs qui ont participé à cette accession se sont partagé lenveloppe globale qui avait été déterminée à lentame du championnat en cas de podium. Toujours concernant les primes, une victoire rapportait cette saison 675 (le nul 225) à chacun des 16 joueurs inscrits sur la feuille de match, quil entre en jeu ou pas. Si un 17e joueur était écarté au dernier moment, il touchait une demi-prime. Un système de prime spéciale avait également été mis en place lorsque les joueurs réalisaient une série de quatre matchs avec trois succès et un nul à lextérieur. Dans ce cas, la victoire valait 900, le nul 300 (les Lorientais ont réalisé cette série à deux reprises). Mais cest bien sûr le salaire qui était le principal revenu des joueurs : il sest étalé de 3.000 à peine pour un jeune pro comme Morel à 12.000 et environ pour les mieux payés.
GUINGAMP. EN HAUT DE LÉCHELLE.
Avec son budget de 15 millions deuros, Guingamp faisait figure de mastodonte cette saison en Ligue 2. Un budget qui, automatiquement, a eu des répercussions sur les revenus. Sans compter les plus jeunes ni les contrats privés avec Adidas dont disposent une quinzaine de joueurs, un Guingampais gagne aujourdhui 5.500 net par mois minimum. Soit à peine plus que ce que touchait un certain Didier Drogba à son arrivée à Guingamp. « Il était à environ 5.000 par mois », se souvient Noël Le Graët, avant de revenir sur cette saison 2005-2006 : « Le salaire le plus haut ? 21.000 brut (17.000 net environ) », répond le président guingampais, en ajoutant : « Il ny a jamais eu chez nous un salaire à plus de 30.000 ». Si les émoluments étaient en haut de léchelle, les primes de match étaient quant à elles au ras des pâquerettes. « Au minimum syndical. Par contre, si on était monté, chaque joueur aurait reçu une prime substantielle », indique Noël Le Graët, sans révéler son montant. Enfin, aucune prime à la signature, qui équivaut selon Le Graët à 2-3 mois de salaire, na été accordée lan passé. Pas plus que des avantages en nature.
BREST. RIBÉRY AVAIT 2.350 !
Si on excepte Matthieu Dinet, payé à la charte car cétait son premier contrat pro, les salaires net mensuels se sont étalés de 3.000 à 12.000 environ au Stade Brestois lors de la saison qui vient de sachever (salaire moyen : 7.000 net; 6.000 en 2004-2005). A titre de comparaison, lors de son passage à Brest en 2003-2004, Franck Ribéry, devenu depuis superstar à Marseille, ne touchait « que » 2.350 net par mois. Il est vrai que léquipe stadiste évoluait alors en National, la troisième division française. « Cette année, la plupart gagnaient entre 8 et 10.000 brut », confie Michel Jestin, le président du club finistérien, soucieux de ne pas avoir trop décarts de revenus entre ses joueurs. Comme partout, les primes de match sont monnaie courante. A Brest, elles étaient distribuées en fonction du classement de léquipe. Prévues pour aller du simple au double, elles nont dépassé les 550 par victoire du fait de la saison médiocre, alors que les joueurs se sont partagé 50 % des recettes de chaque tour franchi en coupe.
Le Télégramme - 22/05/2006
"De l'audace, encore de l'audace,toujours de l'audace"
Laurent Pokou
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Ribery il a gravé l'echelle social lui!
4 000 euros à Rennes c'est pas beaucoup quand meme...
Autrement en Bretagne on est pas les plus gateux, surement les plus raisonable...
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WE DON'T CARE !
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Merci pour cet article veloce, j'en ai fait une brève.
C'est dans Le Télégramme du jour ?
EDIT : autant pour moi, 22 mai. Bon, ça reste toujours d'actualité.
Webmaster - Fondateur de Stade Rennais Online
Consultant référencement freelance à Rennes
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Oui merci je sais bien...
Mais pour un joueur de foot en moyenne c'est pas beaucoup...
Comme dit Dreossi, on peut s'acheter aucun joueur du PSG et pourtant on est devant eux depuis 3 ans...
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Cela montre la honte des résultats des parisiens et de nos amis guingampais. Et les nantais, ils sont payés combien pour être relégables ?
Apprenez que l'ennemi n'est pas forcément celui contre qui l'on se bat
Mais celui qui profite des dégâts (Bambi Cruz)
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Sur le maillot du TFC, qu'est-ce que le "sponsor" "Free - ???.com" ? Est-ce une pub contre la censure ?
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c'est surtout moche comme pub...
la pub au départ c'est 888.com un truc de pari sur internet...
Mais je crois qu'il l'avait hier leur pub sur leur millot sans les points d'intérogations...
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Un peu de lecture...
Voici un article qui fait un peu réflechir sur les ravages du rêve, du football et de l'argent dans le monde.
Les enfants perdus du football
Par Fwedo, le-foot-selon-fwedo
le 25/05/2007Chaque année, de très jeunes footballeurs africains sont attirés en France et dans d'autres pays d'Europe par des agents véreux. La plupart de ces gamins se retrouvent sur le carreau, sans papiers et sans argent. Chronique d'un scandale par La Vie.
Didier, 20 ans, originaire du Cameroun, est arrivé en France quand il en avait 16. Un agent français, prénommé Marc, se réclamant du centre de formation de l'équipe de foot de Rennes, était venu convaincre ses parents du "talent immense" de leur fils, de la nécessité de saisir cette chance unique de devenir footballeur professionnel en Europe. "Il roulait dans une grosse voiture, il nous racontait comment vivaient les pros, et même que certains africains lui devaient leur carrière. Il m'a aussi donné un maillot du Stade Rennais. On l'a tous cru. Et bien sûr, il disait qu'il serait toujours là pour moi, qu'il serait comme un grand frère." Profitant de la crédulité de la famille, ledit agent exigea quelques 1500 euros pour le billet d'avion... "Tout le monde a donné quelque chose", se souvient amèrement Didier, dès lors investi de la mission de ne pas décevoir.
Entre 500 et 1000 lettres de sortie par an
"Le footballeur professionnel est le seul homme à pouvoir être acheté et vendu sans qu'on lui demande son avis", affirmait déjà Raymond Kopa, footballeur dans les années 50, quand le football n'était pas encore dominé par l'argent. Ce propos prend toute sa dimension à l'heure où des milliers de joueurs africains voient leurs rêves de réussite se briser sur les récifs du très haut niveau.
Les chiffres communiqués par les différentes fédérations africaines donnent en effet le tournis : "Chaque fédération délivre entre 500 et 1000 lettres de sortie par an, regrette Jean-Claude Mbvoumin, 33 ans, ancien footballeur professionnel (Beauvais, Dunkerque) et international camerounais devenu président de Culture foot solidaire, une association qui vient en aide à ces oubliés du ballond rond. Sans oublier tous ceux qui ne sont pas licenciés." La majorité de ces talents de 12 à 20 ans ne reviennent jamais auprès de leurs proches. Par manque de moyens financiers. Ou par honte d'avoir échoué. "Je préfère qu'ils me croient mort" souffle Simon, un Guinéen de 19 ans, déjà en bout de course. Abandonné en région parisienne, comme tant d'autres, par un de ces agents non officiels qui sillonnent le continent africain à la recherche de la perle rare, celle qui rapporte beaucoup d'argent.
10 euros par jour pour vivre
Pour Didier, notre futur footballeur rennais, le début de la fin intervint dès l'arrivée... à l'aéroport de Yaoundé. "Je n'étais pas tout seul, il y avait trois autres jeunes avec moi. Dont un qui faisait deux têtes de moins que moi." A l'atterrissage à Roissy, direction l'hôtel. Un Formule 1, deux par chambre. "J'étais avec le petit. Il était mal. Moi, ça m'aidait, je faisais le fort. Mais je ne savais pas ce que je faisais là. On y est resté trois, quatre jours. Marc passait nous voir le soir pour nous donner dix euros chacun. Il nous disait 'Alors, ça va les Formule 1 ?' Il nous encourageait, nous disait de nous préparer à donner le meilleur. Puis il repartait. La journée, on jouait au foot sur le parking. Et on attendait..."
Contrairement à ce que l'agent avait annoncé, les quatre "Formule 1" n'allèrent jamais en Bretagne. Le Stade Rennais n'était qu'un mirage. Pendant quelques semaines, ils disputèrent quelques tournois, participèrent à des journées de sélection. "Où ? Je ne sais pas, plutôt dans le Nord. On a beaucoup roulé. Un d'entre nous est resté à Sedan. Il a réussi à entrer au centre de formation. Mais je n'ai plus de nouvelles." Le courageux agent n'a rien trouvé de mieux que de disparaître dans la nature, au terme d'un stage de détection au PSG. "Le matin, il nous avait dit que c'était notre dernière chance, que si on n'était pas retenus le jour même au PSG, il nous ramènerait au Cameroun. En fait, il avait déjà décidé de nous abandonner. Ensuite, on a été séparés. Je crois que le plus petit a été rapatrié au pays. Moi, j'ai voulu rester pour continuer d'y croire. Et si je n'ai pas percé, c'est à cause du froid. Ca me coupait les jambes."
Didier évolue désormais dans un club amateur de la région parisienne, pour 500 euros par mois. Sans papiers, il dort chez des amis camerounais dans une petite chambre, avec un autre footballeur africain dans la même situation. Retourner au Cameroun ? "Pas question." Lui aussi préfère faire le mort. "Je m'en suis plutôt bien sorti. J'en connais plein qui dorment dans la rue."
L'eldorado des clubs français et européens
Face à cette situation, que dit le milieu professionnel ? "Il est totalement scandaleux que des enfants de 13 ou 14 ans, par des filières opaques que nous n'arrivons pas à remonter, finissent dans nos bureaux à Paris, Lyon et Marseille, et puissent être vendus comme des marchandises", s'est élevé Robert Beroud, le responsable pédagogique de l'Olympique Lyonnais, lors de la dernière conférence internationale du jeune football africain. Cette forme d'immigration clandestine et bon marché fait le plus grand bonheur des clubs français et européens, qui n'ont qu'à se servir dans le vivier de talents fréquentant leurs stages de détection, ou dans des stades situés à la périphérie des grandes villes. La France, dont le système de formation est l'un des plus réputés au monde, attire notamment les jeunes africains francophones qui, souvent, dissimulent leur âge pour augmenter leur valeur marchande.
Et ces transferts font vivre une partie non négligeable du microcosme, les fameux intermédiaires : entraîneurs recyclés, agents véreux, avocats, dirigeants, ou encore anciens joueurs. "Les clubs professionnels sont de véritables aspirateurs déplore Jean-Claude Mbvoumin. Les institutions font mine de regretter cette situation, mais ce n'est qu'un moyen de se donner bonne conscience. Notre association a recueilli plus de 700 joueurs, les plus en difficultés, pour les rescolariser, pour les aider à s'insérer. Mais nous sommes très loin de contrôler le phénomène. Des milliers de joueurs parcourent l'Europe pour trouver un club." De longues années seront nécessaires pour endiguer le fléau. D'ici là, combien d'autres Didier, de destins brisés et de familles déchirées ?
Article extrait de La Vie, édition du 29 mars 2007 - Le football, miroir aux immigrés par Johann Harscoët.
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Je ne savais pas trop où placé ça mais je voulais absolument le mettre
Le milieu de terrain de l'AC Milan, Gennaro Gattuso (Photo Presse-Sports), a estimé, jeudi, que des réductions des salaires des joueurs peuvent permettre à certaines équipes de survivre pendant la crise. Très engagé dans l'association des joueurs professionnels italiens, Gattuso se dit même prêt à réduire son propre salaire (4,5 millions d'euros par an) car la crise « touche tout le monde et, nous les joueurs, nous avons le devoir de réduire nos exigences. »
bravo
gatusso
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C'est bien effet.
C'est un Milanais en même temps .
Il faut quand même savoir que certains joueurs (très peu c'est vrai) refusent d'avoir de gros salaires.
Il y a même un joueur de Série A italienne qui avait demandé à être payé comme un ouvrier...
Dernière édition de: Gus10 (23-03-2009 20:33:15)
Moi je suis Edson André Sitoe, mais toi t'es qui putain ?
Twitter : @Martin_Chois
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Gattuso aurait-il la même réaction à 20-25 ans ??
C'est facile de dire ça quand les comptes en banque sont pleins juste avant la retraite,
mais un jeune (aux dents longues) accepterait-il ces réductions de salaire ?
Cependant très bonne idée de Gattuso.
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Enfin ceci dit c'est plus un problème de fond qu'il faut régler avec l'argent dans le football.
Gattuso je l'aime bien, là il dit quelque chose d'interessant mais après à mon avis ça ne restera malheuresemnt que des paroles.
Moi je suis Edson André Sitoe, mais toi t'es qui putain ?
Twitter : @Martin_Chois
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Vaste coup de filet contre des manipulateurs de paris sportifs
j'ai entendu ca ce matin à la radio dans un demi-sommeil et j'avais pas trop fait gaffe. Lemonde.fr en parle ce soir.
...
Vous croyez que M.Hansson avait misé sur un nul entre la France et l'Irlande...?
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