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C’est une posture que j’ai un peu du mal à comprendre, peu importe finalement ce qui se passe en arrière fond. Pour moi la stabilité officielle (sans pour autant tomber dans le paraître et la langue de bois non plus) sont de la responsabilité de la direction. Je regrette souvent qu’on ne laisse seul l’entraîneur face aux crises de résultat, même si je peux comprendre la répartition des rôles et responsabilités, mais ici il y a des enjeux de communication, de l’institution, qui doivent dépasser cela.
Ce qui importe ce sont les résultats, et le meilleur moyen d’obtenir des résultats favorables c’est de protéger ceux qui peuvent les apporter. Que l’on croit ou non en Beye ou en l’équipe, faire bloque face à l’adversité apportera toujours plus que susciter des divisions.
Personne ne bénéficie de situations conflictuelles en internes…
Et cette non prise de parole, c’était évident que ça ouvrirait la porte atout un tas d’interprétations, d’analyses, qui sont pour la grande majorité orientée par des volontés négatives.
Dernière édition de: roazhon67 (Aujourd'hui 07:58:34)
Hopla!
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Difficile de savoir ce qui se trame en coulisse
Après on peut tout interpréter dans un sens ou dans l'autre :
- le silence des dirigeants on peut l'interpréter négativement
- mais à l'inverse si les dirigeants parlaient on dirait que l'entraîneur a perdu le contrôle. Et lorsque des dirigeants apportent leur soutien à un entraîneur ce n'est jamais très bon non plus, souvent il est viré quelques matchs après
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C’est vrai, ce curseur n’est jamais simple à passer entre trop présent et pas suffisamment.
Mais je suis d’accord pour dire que finalement c’est souvent interprété de manière négative
Hopla!
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