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#1 06-01-2010 23:29:11

Roudoudou
Agecanonix
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L'arbitrage vidéo

C'est dans les Cahiers du Football que j'ai trouvé ce vieil article, le plus structuré, contre l'arbitrage vidéo:

DOSSIER ARBITRAGE (1) LA VIDÉO, UN CRIME CONTRE LE FOOTBALL

mercredi 14 février 2001

Premier volet polémique de notre dossier, qui dénonce les illusions et les dangers de "l'arbitrage vidéo", aujourd'hui massivement réclamé mais dont les limites et les conséquences néfastes sont dramatiquement sous-estimés…

Continuellement remis sur le tapis des grands débats, "l'arbitrage vidéo" est une tarte à la crème de première importance dans le football. Presque toujours présenté comme inéluctable, emballé dans un joli discours promotionnel, il ne comporte qu'une minorité de mesures réellement applicables et indiscutablement positives: abordées dans la deuxième partie de ce dossier, il s'agit notamment de l'utilisation des images pour sanctionner rétrospectivement les joueurs, ou pour vérifier que le ballon est entré dans le but. Les autres sont illusoires et dangereuses.

Limites et mensonges de la caméra

L'erreur est immense de croire à l'infaillibilité des images vidéo, à leur capacité à résoudre tous les cas de figure. Le fameux exemple du Brésil-Norvège de Coupe du monde —où tous les ralentis accablaient Flo le simulateur (sauf, deux jours plus tard, celui d'une autre caméra placée dans les tribunes qui le disculpait totalement)— suffirait à prouver les dangers d'une telle crédulité. La solution miracle qui nous est vantée est très loin d'être aussi fiable et indiscutable qu'on le prétend, alors qu'elle devrait justement comporter une marge d'erreur quasiment nulle pour se justifier.

Si les deux tiers des actions peuvent êtres jugés sans doute possible, il en restera toujours une fraction ou la décision tiendra à des éléments extrêmement ténus. Ce sont justement ces actions qui posent déjà problème et que la vidéo ne résoudra pas mieux (fautes discutables, mains (in)volontaires, hors-jeu à la limite…). Combien de ralentis provoquent des interprétations totalement opposées? Combien d'autres produisent de véritables illusions d'optique (comme avec les "loupes", qui transforment les chocs les plus violents en heurts inoffensifs) ou faussent la perspective (des cours d'optique devraient être offerts aux commentateurs qui jugent les hors-jeu à vue de nez avec une assurance incroyable)? Certaines fautes apparaissent sous des jours complètement différents, selon ce que l'on veut bien projeter dans les images. Il n'est qu'à entendre les commentateurs ou les supporters qui s'auto-persuadent devant les ralentis et ne "voient" que ce qu'ils veulent, commettant des erreurs d'interprétation incroyables, proches de l'hallucination.

Dans le cas des hors-jeu, il est parfois impossible de tracer une ligne indiscutable qui départagerait attaquants et défenseurs. D'autre part, quelle sera la précision de la mesure du hors-jeu? Le mètre, le décimètre ou le centimètre? Enfin, pour obtenir une fiabilité suffisante, il faudra imaginer des caméras qui puissent se déplacer constamment dans l'axe du premier attaquant, ou des systèmes électroniques qui reconstituent virtuellement les positions, voire un système de "balises Argos" qui repèreraient exactement les positions de chacun… Avant que de telles solutions ne soient au point, vous pouvez bien remballer les caméras.


Un remède pire que le mal

De (trop) nombreuses décisions des arbitres soulèvent la colère des supporters, mais qu'en sera-t-il de celles qui seront prises de sang froid, à partir d'images que chacun pourra juger lui-même? Si une erreur dans le feu de l'action est compréhensible, une décision contestable édictée par un invisible jury provoquera une incompréhension plus grande et des réactions encore plus violentes. Exemple : le penalty sifflé contre Rabesandratana et au profit de Ravanelli avait suscité (et suscite encore) des versions irréconciliables. Si un "comité vidéo" avait dû en juger, dans un sens comme dans l'autre, le scandale et les ressentiments auraient été décuplés. On arriverait à un résultat exactement inverse à celui souhaité: les accusations de corruption, de partialité ou d'incompétence se multiplieraient, et l'atmosphère serait encore plus délétère.

Une dramatique bourde arbitrale relève de la fatalité, comme un poteau carré ou un mauvais rebond, aussi insupportable. De quoi relèvera une décision contestable émanant d'un comité? L'arbitre fait partie du jeu, est-ce le cas des ralentis? Aux promesses douteuses de la solution du tout-vidéo, on préfère finalement une bonne vieille erreur d'arbitrage, quand bien même certaines doivent entrer dans l'histoire et, douloureusement, dans les mémoires (Schumacher, Vata etc.). Ces terribles injustices (qu'une justice immanente parvient souvent à réparer au fil du temps) font la magie de ce sport, accentuent son caractère dramatique ou tragique et alimentent l'intensité des émotions qu'il procure. Est-il vraiment raisonnable d'imaginer une finale de Coupe du monde, ou n'importe quel match, dont le sort serait réglé par un groupe d'experts devant des écrans?

Un crime contre le jeu

Evoquées de façon abstraites, ces mesures posent déjà de graves problèmes, qui ne sont rien en regard des conséquences dramatiques sur le déroulement du jeu lui-même. On a toutes les raisons de craindre la transformation du football en sport américain, alors qu'une de ses qualités premières réside dans la continuité du jeu. Une continuité qu'il faut plutôt chercher à améliorer; les mesures concernant l'évacuation des blessés, le décompte objectif des arrêts de jeu (qui a un peu dissuadé les gagneurs de secondes) ou la mise à disposition de plusieurs ballons pour les ramasseurs sont allées dans ce sens. Les interruptions incessantes pour consulter les images constitueront une grave atteinte à ce principe, en hachant le jeu et en coupant le rythme. Le football américain ou le rugby sont deux disciplines qui alternent phases de jeu et pauses, et l'intervention de la vidéo ne remet pas gravement en cause leur nature. Les choses sont totalement différentes pour notre football, où ce ne seront plus seulement certaines équipes italiennes qui chercheront à casser le rythme pour préserver un résultat, mais le système d'arbitrage lui-même! La qualité du jeu en souffrira évidemment, mais aussi celle du spectacle, avec le supplice de constantes interruptions.

Car justement, où pourrait bien être fixée la limite, le seuil d'intervention du dispositif? Comment décider qu'une action mérite plus qu'une autre le recours à la vidéo? On sera vite entraîné à multiplier les allers-retours en régie, et rapidement, la moindre faute pourra être discutée. Il y a là une autre question sans réponse, et un autre vice du système. C'est enfin le plaisir lui-même de regarder un match qui serait bouleversé. Nous connaîtrions l'absurdité d'un but refusé un long moment après l'action (imaginez que celui de Wiltord en finale de l'Euro l'ait été), nous prendrions l'habitude de laisser toutes les actions aller à leur terme, pour qu'une sur deux soit finalement annulée.... La joie du but sera bien différente, puisqu'il faudra la mesurer en attendant le verdict des juges vidéo… Finies les explosions de bonheur (ou les déprimes instantanées) en voyant le ballon entrer dans les filets, il faudra surgeler ses émotions et attendre le moment crucial: non pas la reprise de volée en pleine lucarne, mais la sanction des vidéo-juges sur une position de hors-jeu.


À qui profite le crime?

L'utilisation de la vidéo bénéficie du travail du plus terrible des lobbies: la télévision. Depuis des années, et de façon croissante, les journalistes de télé en sont les premiers promoteurs, pour la simple raison qu'ils ont toujours utilisé la vidéo pour arbitrer les matches. Ce sont eux qui prennent un plaisir maladif à "disséquer" indéfiniment les fautes et surtout les hors jeux, passe-temps stupide qui consiste à épiloguer sur des actions achevées et jugées. Cette remise en cause systématique de l'arbitrage, ce procès "images à l'appui" du corps arbitral, lapidé à coups de ralentis et de phrases assassines, sont bien le fait de ces professionnels dont la "compétence" serait définitivement consacrée par l'introduction massive de la vidéo au cœur même du jeu.

La télévision impose progressivement ses technologies, ses mises en scène, ses exigences, et voudrait bientôt arbitrer les matches depuis ses régies, s'installer au cœur de l'action et de l'histoire. La transformation du football en pur spectacle télévisuel franchira alors une nouvelle étape. Est-ce bien ce que tout le monde réclame? Les partisans de la vidéo en appellent souvent à un chantage à la modernité, dénonçant l'archaïsme des méthodes d'arbitrage à l'heure des technologies de pointe. Le foot est pourtant un sport archaïque, sa longévité et son pouvoir de fascination ont certainement quelque chose à voir avec ces fondements. Ce réquisitoire n'a pas utilisé l'argument classique de l'impossibilité d'étendre cette mesure à tous les niveaux de pratique, alors que les lois du jeu sont toujours restées universelles jusqu'à présent. Cet argument est légitime, mais ne résiste pas au constat que le football d'élite mobilise déjà un ensemble de mesures d'exception, et qu'il n'est pas interdit d'en prendre d'autres.

Une véritable réflexion sur l'arbitrage est effectivement plus que jamais nécessaire. Mais avant d'évoquer des pistes beaucoup plus réalistes, il a semblé indispensable de commencer le dossier sur l'arbitrage en écartant d'emblée la pire des solutions (et malheureusement pas la moins défendue)…

                                                                                       oOo

Pour moi, il ne s'agit que d'arguments spécieux bien ordonnés, mais utiles à connaître pour comprendre les passéistes qui refusent l'arbitrage vidéo.
On ferait mieux, à mon avis, de commencer à réfléchir au domaine de compétence de la vidéo. Puis, éventuellement, au fil des années, on pourrait l'étendre peu à peu, en fonction de l'attitude du public devant ces ralentissements du jeu (mais, à mon avis, ces quelques moments d'attente feront vite partie du jeu, comme au rugby, avec le suspense qu'ils impliquent).  D'ailleurs, l'International Board of Rugby (l'instance internationale de l'ovalie) n'a t-il pas adopté le principe de l'arbitrage vidéo depuis déjà bien longtemps. Les arbitres ont recours aux images lors des matchs internationaux et des rencontres du Top 14 qui sont télévisées. Cependant, l'usage de la vidéo est bien délimité. Il n'intervient que lorsque l'arbitre a un doute sur la validité d'un essai (le joueur a-t-il bien aplati le ballon derrière la ligne ? N'a-t-il pas mis le pied en touche avant ?).

Dans ce cas, l'arbitre siffle et dessine un grand carré avec ses mains, symbolisant la vidéo. Le quatrième arbitre (qui assiste l'arbitre de champ et les deux arbitres de touche) observe l'action au ralenti sur un écran vidéo, dans une pièce isolée du stade, et communique sa conclusion à l'arbitre principal. Les images utilisées sont celles du diffuseur du match (TF1, Canal +, France 2, une chaîne étrangère...)- Le quatrième arbitre observe l'action au ralenti et décide s'il y a essai ou non.

La vidéo renforce considérablement la crédibilité des arbitres. Alors que tout le monde, chez soi, a la possibilité grâce aux ralentis télévisés de voir si le ballon a été aplati, pourquoi l'arbitre serait-il le seul à ne pas pouvoir bénéficier de cette technologie ?

La caméra met fin au doute. Son utilisation est particulièrement adaptée au rugby puisqu'elle ne ralentit en rien le jeu. L'action est de toute façon terminée une fois la ligne passée.

Frédéric Thiriez, ne demande pas autre chose et monte une nouvelle fois au créneau pour dénoncer la technophobie des grandes institutions : «En Ligue 1, six buts valables ont injustement été refusés la saison dernière. Je demande seulement le recours à la vidéo pour juger du franchissement du ballon sur la ligne. Avec une microcaméra placée sur chaque montant, le système de visionnage que je préconise nous aurait préservés de ces erreurs. Le jour où elles se produiront lors d'une rencontre décisive de Coupe du monde, les instances internationales devront se rendre à la raison. La querelle entre les anciens et modernes penche toujours du côté des derniers cités

Contre Platini, on peut déjà citer Platini lui-même (regardez, ça vaut son pesant de cacahuètes):

http://www.teepik.com/video-9463-platin … o-ans.html

Mais aussi:

Jean-Pierre Escalettes:

«La vidéo pour le franchissement de la ligne de but, on va y arriver un jour, c'est certain. Sur le hors-jeu, je ne vois pas trop comment, en revanche. Ça serait trop long, trop compliqué à mettre en place. Problème, il représente 95 % des cas litigieux. Dans le football, il y a deux cas de hors-jeu. Un, le joueur l'est, l'arbitre n'a pas sifflé, la vidéo dit que oui, on arrête le jeu, on repart. Deux : le joueur n'est pas hors-jeu, l'arbitre siffle. Qu'est-ce qu'on fait alors ? On repart au même endroit ? Cela risque d'être compliqué. Notre projet n'était pas passé devant le Board. La France ne va pas se faire suspendre à cause d'expériences. Une certitude, il faut aider les arbitres. Et cela passe déjà par un changement dans leurs relations avec les joueurs, les entraîneurs et les présidents..»

Pascal Garibian:

«La vidéo est un outil supplémentaire d'aide à la décision comme l'oreillette ou le drapeau électronique. Elle me semble inéluctable pour savoir si un ballon a ou non franchi la ligne. Elle peut être utile aussi dans le cas des hors-jeu. J'espère qu'on pourra un jour l'expérimenter dans une Coupe de la Ligue par exemple. Je suis en revanche contre l'arbitrage vidéo pour juger les fautes éventuelles dans la surface. On tomberait alors dans un débat sans fin. Vous pouvez faire dire beaucoup de choses aux images. Elles ne donnent pas la solution pour savoir si un joueur a triché ou pas. C'est trop subjectif. Deux arbitres derrière les buts ? Je suis perplexe. Cela pourrait vite dégénérer car ils tourneraient le dos aux supporters. L'arbitrage à deux, pourquoi pas ? Mais les erreurs d'arbitrage ne sont pas toujours dues à l'éloignement

Bixente Lizarazu:

«Il est urgent d'aider les arbitres. Le recours à la vidéo dans certaines circonstances pourrait concourir à limiter un certain nombre d'erreurs. Il s'agit d'expérimenter différents types de solutions puis de les évaluer. Il convient ainsi de prêter une attention particulière aux 18 m avec deux arbitres supplémentaires de surface. Les arbitres de touche pourraient se concentrer spécifiquement sur le hors-jeu. En revanche, je ne suis pas favorable à l'idée de mettre un arbitre de chaque côté du terrain, cela nuirait à l'unité psychologique de l'arbitrage. La vidéo paraît être une solution évidente pour juger du franchissement du ballon sur la ligne de but. Mais, on doit fixer un cadre à cette assistance technologique. Il me semble impossible de l'utiliser sur l'ensemble du terrain.»

Et 89, 73% des internautes[/b] du Figaro.fr qui sont pour la vidéo (sur 3 177 votants).

Et vous?

Dernière édition de: Roudoudou (07-01-2010 00:00:40)


À chaque époque, il est des gens qui ne pensent pas comme tout le monde, c’est à dire qui ne pensent pas comme ceux qui ne pensent pas.
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#2 06-01-2010 23:33:44

Zvon
Bombe à retardement
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Re: L'arbitrage vidéo

L'éternel débats qui est toujours aussi prise de tête.

Je suis pour l'arbitrage vidéo sur :

-ballon franchi ligne ou pas
-Péno. Si l'arbitre hésite, il arrête le jeu et demande l'arbitrage vidéo.


Pas d'accord pour :

-les fautes hors de la surface (genre coup franc à proximité de la surface)
-Hors-jeu

Dernière édition de: Zvon (07-01-2010 00:10:07)


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#3 06-01-2010 23:37:47

Simao
Le Parrain
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Re: L'arbitrage vidéo

Sur RMC dans l'After, Brisbois, Riolo,Gautreau, Pérès et d'autre animent cette semaine spéciale arbitrage vidéo, chaque jour a 22h.

Zvon a écrit:

-Carton rouge (par exemple Gyan).

Je ne suis pas d'accorde, si la vidéo sert pour sa alors les arbitres regarderont a chaque fois la vidéo pour tout verifier afin de jamais se tromper, les coach, public etc exerceront une pression énorme et le match serait completement haché.

Dernière édition de: Simao (06-01-2010 23:43:20)

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#4 06-01-2010 23:42:50

Mélou22
Kembinho
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Re: L'arbitrage vidéo

J'aime bien l'after ( pas autant que vous lol ) mais c'est toujour la même chose,  riolo ne veut rien n'entendre, il faut la vidéo, donc des qu'un auditeur qui est contre  intervient il le rembarre.

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#5 07-01-2010 00:09:48

Zvon
Bombe à retardement
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Messages: 32 469

Re: L'arbitrage vidéo

Simao a écrit:

Sur RMC dans l'After, Brisbois, Riolo,Gautreau, Pérès et d'autre animent cette semaine spéciale arbitrage vidéo, chaque jour a 22h.

Zvon a écrit:

-Carton rouge (par exemple Gyan).

Je ne suis pas d'accorde, si la vidéo sert pour sa alors les arbitres regarderont a chaque fois la vidéo pour tout verifier afin de jamais se tromper, les coach, public etc exerceront une pression énorme et le match serait completement haché.

Oauis, on va dire que ça arrive rarement les injustice concernant les rouges, en général, quand il y a rouge, c'est que ça le mérite. Donc j'enlève.

On va dire que l'injustice concernant le carton rouge de Gyan est énorme mais ces erreurs sont trop rares pour en faire tout un plat.


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#6 07-01-2010 00:35:05

Nils
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Re: L'arbitrage vidéo

Il existe déjà un sujet sur l'arbitrage en général.

Par conséquent, je ne pense pas qu'il soit nécessaire d'en ouvrir un nouveau sur l'arbitrage vidéo en particulier.

Roudoudou, je constate par ailleurs que tu as l'air coutumier du fait puisqu'en matière d'arbitrage, tu avais déjà créé un sujet spécifique sur Eric Poulat wink


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