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**censuré pour ne pas choquer Agecanonichou**
Dernière édition de: Anthony35 (22-08-2019 00:05:11)
Surprenant de mettre une photo de ce talentueux vieux cochon sur le topic de notre très jeune prodige. Explique-nous, Anthony.
À chaque époque, il est des gens qui ne pensent pas comme tout le monde, c’est à dire qui ne pensent pas comme ceux qui ne pensent pas.
-Marguerite Yourcenar -
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Il a le même agent que Dembele ?! Au punaise...
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Je rebondis la parce-que ça dérive un peu sur le sujet André Silva. Commeje l'ai dis avant j'ai du mal à comprendre que l'on veuille voir Camavinga sur 40 matchs, 30 serait déjà énorme à son âge. Il ne faut pas minimiser le risque de blessures. Contre Paris il se fait casser à plusieurs reprises alors que c'est une équipe plus habitué à prendre les coups qu'à les donner, ça va être quoi contre les autres. Camavinga devriendra très vite un grand joueur, aucun doute, profitons en mais protégeons le.
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Malheureusement, les coups, il en prendra, c'est inévitable. A vrai dire, ça fera même partie de son éducation footballistique : apprendre si possible à les éviter, ou à les amortir, apprendre à être un peu roublard, savoir quand il faut tomber ou pas, etc. Hélas, Sarr n'est plus là pour lui montrer toutes les ficelles dans l'art d'obtenir un pénalty!
Tant qu'il y a de l'espoir, il y a de la vie.
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Oui j'ai appuyé là-dessus aussi, on sera bien avancé si Cama est blessé pour 6 mois car il aura croisé la course d'un boucher ou simplement parce que son corps aura montré des limites.
L'avantage c'est que c'est Stephan et Létang qui font l'effectif et pas le forum de SRO et qu'ils ont sûrement ça en tête.
Il peut se faire découper par un boucher en ne jouant aucun match.
Je trouve que ce n est pas un argument.
JS et OL ont dit qu il doit être protéger aussi d ou la recherche d un milieu actuellement.
Il ne fera pas tous les matchs
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Bon à 18 ans on va encore mal le vendre ..15 millions et on se fera àvoir par Dortmund qui semble déjà se positionner.
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Tu rêves pour qu on le vende 15M€.
Camavinga sera s il continue sur ce chemin, la plus grosse vente du club
Dernière édition de: fly92 (22-08-2019 20:00:31)
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Il y aurait déjà des clubs qui prévoient d'acheter Camavinga cet été avec un prêt de 2 ans à Rennes dans la foulée...
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Source ?
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À chaque époque, il est des gens qui ne pensent pas comme tout le monde, c’est à dire qui ne pensent pas comme ceux qui ne pensent pas.
-Marguerite Yourcenar -
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perso je vois le Réal s'y intéresser de près assez rapidement. Pourquoi ? car F Pérez a pratiquement toujours eu les joueurs qu'il voulait dans ses effectifs. Et qu'un de ses joueurs préférés était Redondo. Si Camavinga continue sa progression il arrivera rapidement a un gros gros niveau. Et que le dernier milieu défensif gaucher avec un style aussi propre et efficace était l'argentin du Réal.Après si on peut le garder encore 2 ans au moins ....
When the seagulls folow the trawler it is because they think sardines will be thrown into the sea."
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Moi je vois bien Léonardo appeler son pote Létang pour lui parler football.
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Il y aurait déjà des clubs qui prévoient d'acheter Camavinga cet été avec un prêt de 2 ans à Rennes dans la foulée...
OK bah ça sera 80M minimum vu les tarifs de notre époque pour une pépite du football mondiale qui n'est pas majeure
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Et voici (enfin!) une belle analyse sur le profil et le jeu de Camavinga et c'est signé de Christophe Kuchly.
Et pour ceux qui ne peuvent pas cliquer sur lien:
LIGUE 1 – D'abord connu pour sa précocité, il est désormais vu comme un joueur capable de faire basculer une rencontre. Mais le Rennais, dont l'équipe va à Strasbourg dimanche, est surtout le prototype du milieu moderne.
LIGUE 1 – D'abord connu pour sa précocité, il est désormais vu comme un joueur capable de faire basculer une rencontre. Mais le Rennais, dont l'équipe va à Strasbourg dimanche, est surtout le prototype du milieu moderne.
Sur le terrain, ses gestes sont beaucoup plus nombreux que ses mots. À seulement 16 ans et avec moins de dix matches de Ligue 1, l'inverse serait étonnant. Pourtant, Eduardo Camavinga est déjà devenu un élément important du Stade rennais. Un patron, tel que le définit Xavi : "Si beaucoup de joueurs ne veulent pas le ballon quand la situation est difficile, Andrés (ndlr : Iniesta) la demandait toujours, expliquait le Catalan à Marca en mai 2018. C'est une bénédiction pour ses partenaires, c'est ça avoir de la personnalité et être un vrai leader." Camavinga n'est évidemment pas Iniesta et signerait probablement des deux mains pour avoir la même carrière. Mais il possède déjà un courage difficile à enseigner – et rarissime à cet âge où il est tentant de laisser ses partenaires assumer le poids de la construction.
Réguler et orienter
La notoriété de l'Angolais, jusque-là limitée, a explosé en un match. Une performance XXL face à Paris, où une superbe passe en profondeur rendue décisive par la tête de Romain Del Castillo a offert une victoire de prestige à son équipe. Un geste difficile à réaliser, qui ne reflète pourtant pas vraiment ce qu'il est. Car Eduardo Camavinga n'est pas un joueur de "moments" mais de régularité, un architecte plus qu'un artiste. Contrairement aux milieux de terrain qui cherchent à être décisifs en trouvant LA passe qui aboutira à une occasion de but, il prend peu de risques et son apport est d'abord dans la conservation. Une passe ratée sur quarante-deux à Montpellier, une sur quarante-et-une contre Paris : pour trouver du déchet, il faut bien chercher.
Prises sans contexte, ces statistiques ne disent cependant rien des zones d'utilisation du ballon et des choix de jeu en possession. Et c'est là que Camavinga sort du lot, et pas seulement parce que sa jeunesse autorise tous les rêves de grandeur. Face à des Parisiens qui imposent un gros pressing – à défaut d'être très intenses à cette période de la saison –, chaque erreur se paye cash et il faut une bonne dose de confiance pour tenter des passes avec plusieurs adversaires prêts à intercepter. Dimanche soir, le Rennais a pourtant multiplié les courses pour se rendre disponible, gagnant le temps suffisant pour s'orienter et servir proprement ses partenaires. Recours systématique en cas de problème, il a permis aux Bretons de tenir jusqu'au bout leur audacieuse stratégie de relance au sol qui a privé les Parisiens de munitions.
Cette volonté de toucher le ballon dans des zones à risque ne fait pas encore de Camavinga l'héritier de Sergio Busquets, habitué à être servi dos au jeu et immunisé à toute forme de pressing. Avec sa défense à cinq, Rennes est en effet en supériorité numérique sur la première relance et le milieu de terrain n'a généralement été trouvé qu'après une phase préparatoire permettant de créer un décalage. Parfois pris en marquage individuel, il a alors alterné : tenir sa place, réclamer le ballon et remettre en retrait… ou servir de leurre pour ouvrir des espaces à ses partenaires. Une attitude dénotant une vraie lucidité sur ses capacités, qui permet de masquer ses faiblesses actuelles.
Eduardo Camavinga, le phénomène de RennesPlacement et déplacement
Car, même si toute l'Europe du foot s'intéresse au prodige, il est encore loin d'être complet. Pas encore doté du dribble de dégagement que possède notamment Marco Verratti dans le camp d'en face, son placement devant la défense rappelle un peu celui d'İlkay Gündoğan à Manchester City lors des absences de Fernandinho l'an dernier : déplacements et disponibilité à la relance, passes simples qui font vivre le jeu, projections balle au pied quand l'espace s'ouvre et capacité à obtenir des fautes, mais aussi quelques incertitudes dans la zone à occuper en défense placée et une trop grande politesse dans les contacts. Et, donc, cette réticence à dribbler (deux réussis en trois matches cette saison).
Ce profil assez singulier dans le championnat de France a vu ses limites exposées lors du Trophée des champions. Placé à gauche du milieu à trois, Clément Grenier occupant alors l'axe, Camavinga s'est souvent retrouvé bloqué par la ligne de touche. Obligé d'adapter ses déplacements à ceux de son partenaire et de s'orienter vers l'axe, il a eu des difficultés à gérer les mouvements de Pablo Sarabia et à trouver des solutions pour construire. Lui qui est capable de créer des trois contre deux en envoyant le ballon dans la bonne zone ne gagne pas encore de un contre un lorsqu'il est à l'arrêt, et ne peut donc pas s'ouvrir facilement le terrain. Lors du match suivant, un succès 1-0 à Montpellier, Grenier et Camavinga ont naturellement échangé leurs positions, le pied de l'international complétant la vision à 360 degrés de son benjamin.
Toujours juste dans ses choix avec le ballon, une constante depuis ses débuts professionnels, l'Angolais avait alors également montré une bonne volonté défensive (six tacles réussis contre les Héraultais) et de vraies capacités à répéter les efforts. Un "moteur" essentiel dans un football moderne où les créatifs Christian Eriksen et Bernardo Silva courent plus que les travailleurs de l'ombre, qui permet de rattraper d'éventuelles erreurs de lecture. La semaine suivante, tiraillé entre l'envie d'empêcher Verratti de construire le jeu et celle de défendre sa zone, éternel dilemme entre défendre le passeur ou la passe, il a parfois eu le don d'ubiquité : monter au pressing pour forcer le Parisien à donner le ballon, puis revenir pour embêter le porteur. Avec une certaine timidité dans le duel à l'épaule mais une vraie capacité à anticiper les trajectoires.
Contexte et perspectives
À ce stade, Eduardo Camavinga est probablement loin d'être un produit fini mais il a déjà suffisamment d'atouts pour espérer viser plus haut. Avec sa capacité à prendre immédiatement l'information pour adapter son jeu et à maintenir un niveau d'intensité élevé, il coche les principales cases pour occuper l'entrejeu dans un grand club. D'autant que sa qualité de passe, faite pour les équipes de possession, s'accompagne d'une capacité à percuter quand l'espace s'ouvre essentielle en transition. Entouré de bons joueurs mais d'aucune superstar qui serait systématiquement prise à deux, il se crée seul les espaces qu'il utilise pour animer le jeu. De quoi espérer encore mieux dans un collectif de plus haut niveau et notamment un avenir comme relayeur où, contrairement au Trophée des champions, il ne serait sollicité qu'une fois dans le camp adverse.
Au-delà de sa capacité à confirmer sur la durée, ce que n'a pas fait un Maxime Lopez dont on a vite oublié les excellents débuts dans un rôle similaire il y a trois ans, Camavinga a encore quelques étapes devant lui. La capacité à défendre en avançant d'abord, qui dépendra de la volonté de Julien Stéphan de presser ou non et requiert des attitudes différentes de la défense en bloc médian/bas – notamment la capacité à faire la décriée mais si utile faute tactique. La sûreté dans le dribble ensuite, qualité qui fait passer Frenkie de Jong de très bon joueur à fuoriclasse tant il peut manipuler la structure de l'adversaire en prenant des initiatives individuelles. L'adaptation à différents systèmes enfin, celui à cinq défenseurs le mettant dans les meilleures conditions pour évoluer en meneur reculé.
Désormais bien identifiée, la menace sera traitée avec attention par les prochains adversaires du Stade rennais, qui pourraient lui assigner un joueur en marquage individuel comme ceux de Chelsea l'ont fait avec Jorginho… ou au contraire se replier et le laisser jouer les quaterbacks face à une défense regroupée. Un nouveau test pour le gaucher, dont le principal atout n'est pas le pied mais ce qui le commande. "On peut apprendre à tirer et à contrôler le ballon, mais être conscient de tout ce qu’il se passe sur le terrain, c’est quelque chose avec laquelle on est né ou qu’on n’a pas", a un jour dit Juan Román Riquelme au site de la FIFA. Il doit encore grandir mais, sur ce point, Eduardo Camavinga semble être bien né.
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beaucoup devraient lire l'excellent article sur l'équipe sur les joueurs qui démarrent (très) jeune, ça devrait vous ramener sur terre...
Que Camavinga soit précoce, soit. Qu'il ait un énorme talent, c'est indéniable... Mais partira-t-il pour 80M dans un top club pour autant ? fera-t-il une carrière à la Viera pour autant ? Rien n'est moins sur à l'heure actuelle
Laissons le progresser
I just can't get henaff
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Oui, et Le Monde en va également de son portrait avec ce petit article ce jour
Et toute la problématique de son temps de jeu résumée par Landry Chauvin:
"Tant qu’il n’y aura qu’un match par semaine il n’y aura aucun souci, parce qu’une semaine est très bien calibrée. C’est surtout quand il y aura la Coupe d’Europe qui va apparaître qu’il y aura une rotation à faire », estime Landry Chauvin. « Eduardo, contrairement à d’autres, n’est pas précoce musculairement parlant, il est complètement dans son âge, il a encore à se développer et c’est là où tout le suivi qui est fait par la cellule performance du club sera important. »"
Stéphan a l'habitude de cocher des jeunes joueurs, il doit savoir ce qu'il fait et comment le préserver tout en l'intégrant pleinement à l'équipe première.
Mais c'est vrai que tant que ses matchs sont parfaits c'est compliqué de le laisser sur la touche. Au moins il ne joue pas en sélection pour le moment, ce sera toujours ça en repos supplémentaire.
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Je me demande si le contrecoup de tout ce battage c’est pas que maintenant il est devenu obsédé par le fait de marquer son premier but en L1.
Saine obsession pour un footballeur, mais qui peut devenir contre-comproductive (j’ai loupé son action d’aujourd’hui).
L’idéal serait qu’il y arrive, ce qui semble pouvoir arriver rapidement, mais j’imagine que Stéphan surveille ça (avec peut-être des consignes plus défensives?).
Sinon ça fait plusieurs fois que je vois Landry Chauvin dans les interviews, finalement son départ s’est il si mal passé qu’on le suppute?
Dernière édition de: Anthony35 (26-08-2019 01:31:02)
Mouais sauf que ce n'est pas vraiment son rôle à la base..Juste un bonus. En tout cas il se retrouve souvent en bonne position pour le faire mais il ne faut pas qu'il se prenne la tête avec ça, ce n'est pas un joueur offensif.
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Je l’ai trouvé un peu en dedans aujourd’hui notamment après sà perte de balle de la fin de première mi temps qui nous a mis en danger, heureusement sans conséquences.. Faut dire que c’était un match de bourrins des deux côtés aujourd’hui pas simple pour lui qui découvre la ligue 1 et qui est plutôt un gabarit fin et technique.
C’est le métier qui rentre... Laissons le grandir tranquillement ce genre de matchs va le faire progresser.
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Faut dire qu'il a été pris en individuelle par Corgnet et qu'il a été beaucoup moins rayonnant dans le jeu. C'est vrai que c'est plus difficile pour lui dans un match comme ça, il est encore un peu léger. Mais c'est le métier qui rentre, j'espère qu'il est conscient que la vague d'articles de presse c'est ultra éphémère et ça veut pas dire qu'il est arrivé
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Match plus compliqué pour lui car plus fermé, beaucoup plus virulent aussi. Néanmoins, ce qui change tout, c'est sa faculté à enchaîner les courses et à se rendre disponible dans les espaces.
Il fluidifie vraiment le jeu cette année.
Match qui va lui faire du bien à la tête.
Le mépris est une pilule que l'on peut avaler mais que l'on ne peut pas mâcher...
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A un moment donné, un des commentateurs à dit qu'il serait notre HBA de cette année, et là je me suis dit, merde, c'est pas con... Il se projette moins certes (surement les consignes d'ailleurs) mais c'est vrai qu'il a cette même facilité a dézoner, se débarrasser de son vis a vis pour proposer une solution, partout, tout le temps, une liberté et une orientation de jeu qui fluidifient les actions rennaises, permettent à l'équipe de se replacer, bref, il est plus meneur de jeu reculé que 6 a mon sens, une seule récupération hier par exemple, ce n'est pas un chiffre de 6 pur ça...
Du coup je me demandais, on ne le tenterai pas devant ses deux compères du milieu plutôt que derrière ?
Dernière édition de: Ankou (26-08-2019 12:28:49)
"A travers les innombrables vicissitudes de la France, le pourcentage d'emmerdeurs est le seul qui n'ait jamais baissé."
"J'ai divisé la société en deux catégories : mes amis ou mes cons à moi et les cons des autres que je ne supporte pas."
"Les Français m'agacent prodigieusement, mais comme je ne connais aucune langue étrangère, je suis bien obligé de parler avec eux." Michel Audiard
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